la cerise sur le bateau [livre]

Merci Toualenver,

c'est vrai que lorsqu'on veut parler, ou faire la promo d'un truc, d'un bidule ou d'un bouquin (là c'est bien plus rare) autant donner les BONNES infos UTILES !
:topla:

En observant le travail des énarques, je pense avoir fait le bon choix en me contentant du « Certif ». Il ne me restait plus qu'à friser les dames ou créer une société de distribution informatique. J'ai fait les deux, un long cheminement interdit aux paresseux. Et pourtant, j'en suis un. C'est en cherchant un moyen de cultiver ce vilain défaut - loin du tumulte professionnel -, qu'un départ vers le large s'impose à moi, comme un évident remède aux sempiternelles contraintes. Seulement voilà, ce soin n'est que palliatif... Ce que je ne sais pas, c'est qu'en voulant maintenir un voilier à flot, je vais nécessairement couler sous un déferlement de tâches dues, en partie, à mon ignorance, mais aussi au milieu dans lequel je vis, l'usure prématurée des pièces, la cupidité de certains ou l'incompétence des autres... Après six années passées dans les marinas, sur les mouillages et les océans, plus la somme de toutes mes rencontres - fortuites, arrangées, brèves ou prolongées... -, une quantité d'anecdotes, d'histoires et de mésaventures remplissent mon livre de bord, mes carnets de notes et ma mémoire... Puisque la parole est à la défonce, je ne vais pas me gêner...

www.amazon.fr[...]6820116

le gus semble être géniassilemment abruti, un mec bien donc ^^

Merci pour le lien

Ca fait rien, c'est beau aussi, merci !

amazon. Je l'ai telecharger en kindle pour quelques roros..
toualenver, manquerai plus que je me tape tout le boulot !! Je lance kes limiers sur la piste.. taïau !!!

non, sérieux, vous allez mourir de rire, le mec, c'est un sketch à lui tout seul !! M^eme les situation les plus tordues vont vous arracher un sourire.. De quoi dédramatiser !! A coté de ça, l’auteur livre des tuyaux qui pourrait servir la plupart d'entre nous. C'est le récit d'une longue navigation, autour des iles sud américaines, avec embarquement de passager, description des cotes, ports, marinas etc..
Je précise que je n'ai aucuns lien avec l'auteur, juste que j'ai assé un excellent moment de lecture avec ce livre et que je souhaitais partager ça avec vous.
Il ne s'agit pas de promotion , toualenver, juste de partage..

sur amazon je pense que c'est de la vente directe par l'auteur, en tous cas ce n'est pas amazon qui le vend, je l'ai commandé aussi! ;-)

je confirme ce que j'ai écrit hier, livre reçu aujourd'hui, expédié en direct par l'auteur.

t'as raison c'est misurarca qui l"a dit.. mileuzescuzessss

si vous aimez les dialogues à la audiard , San Antonio et berrurier, vous allez vous régaler.. A certains passages, j'étais mort de rire.

je pense pas . c'est un sun kiss 47

Tout ça c'est bien tentant, je le commande chez mon libraire !
(Chez lui, un mail suffit, je n'ai pas à me déplacer, il a confiance en ses clients)

@Shazzan,
Désolé, je commande...
Et je viens le chercher et payer dans la librairie.

Pas chez amazone/google/etc, je ne cautionne pas ces ogres mondiaux qui détruisent les commerces de proximité et construisent des centres logistiques immenses à la place des champs agricoles et forêts...

Sauf que ton libraire il commande les livres chez amazone :-)

Parait qu'il faut aussi d'immenses usines pour refroidir le système mondiale de données qu'héberge internet , mais si c'est pour la planète, Grand bien te fasse.... :alavotre: :mdr: :mdr: :mdr: :star2: :cheri:
Pascal :alavotre:

@Che;
:mdr: :mdr: :mdr:

Maison-Brest; environ 1100km.
Maison-Toulon; environ 970km
Maison-mer baltique (Allemagne); environ 700km
Maison-Calais; environ 650km mais je ne suis pas sûr que ce soit vraiment la mer là bas, plutôt un canal à portes-containers et ferries, non ?

Ce qui est bien, c'est que j'ai le choix entre l'Atlantique, la Méditerrannée, la mer du Nord et la mer Baltique, je suis donc bien chanceux, ceux du sud de la France n'ont que la mer Mediterrannée !
:mdr:

@Pierre 2;
pas sur que mon libraire commande sur Amazone, qui prend sa marge et est la plupart du temps plus chèr pour le client final en général, sauf peut être en France qui a une loi du prix fixe pour les bouquins;
Je dis cela car il m'a souvent dit qu'il attendait une réponse de l'éditeur pour savoir si le bouquin était dispo.

Lorsque ce sont des petits éditeurs, ou micro-éditeurs, ou édition à compte d'auteur, le temps de réaction est parfois très long.

En général les "gros" libraires refusent de commander les bouquins de petits éditeurs... Trop compliqué à gérer pour eux.

bah.. ca t'embete si je la garde ??

@mike pas du tout !

J'ai pas dit moins bien, j'ai dit pareil !!!! Ça n'apporte rien de plus de mon point de vue cette 2eme partie.

Mais faut lire la fin que je raconterai pas !

bepey, c'est pas moi qui ai dit que c'était moins bien dans la deuxième partie !!

@mike : ben non c'est moi !!
justement parce que je partage aussi une "certaine lassitude de l'auteur face aux ennuis à répétition" (ça c'est toi qui l'a dit LOL)

Tu as raison sur l'avertissement, le bilan, et ce qu'on apprend, ça remet bien les choses en place pour de vrai ...
Pour une fois c'est tout sauf "c'est formidable il fait beau on se baigne on a plein d'amis les enfants sont heureux l'eau est belle c'est pas cher ici kesskonestbienenbateau ...

Conclusion : faut le lire !!! Et jusqu'à la fin, même si en 2eme partie on peut sauter -j'ai sauté- des pages ... reLOL

Si avec tout ce raffut il en vend pas autant que le Goncourt...

Tout d'abord, merci à toutes et à tous de vos appréciations et commentaires pertinents.
Je vous devais quelques confidences sur l'histoire de ce livre. Il trouve sa source dans les anecdotes de mon livre de bord, écrit (presque) au quotidien entre novembre 1997 et novembre 2003. Tous les faits racontés au fil des pages sont authentiques; je le jure !
Au fil du voyage et des escales, j'envoyais des mails aux amis, histoire de leur raconter notre quotidien. A notre retour, certains m'ont pressé d'en faire un livre...
Si la navigation hauturière s'agrémente d'activités annexes, quotidiennes, récurrentes et, parfois, désespérantes...celle de l'écriture, pour un non-initié, prend des allures "chronophagiques" : "La cerise sur le bateau" a été réécrit sept fois avant sa publication ! Pourquoi me direz-vous ? Afin d'assurer l'homogénéité de mon livre ! Entre 1997 et 2003 le propos avait évolué et si les changements de style n'avaient aucune conséquence dans des lectures épisodiques, cette différence ne pouvait s'accepter dans un récit continu. La première remise en forme s'est déroulée de 2003 à 2005. A la relecture de ce premier manuscrit, une différence était encore présente entre la première et la dernière page. Inacceptable ! A la différence d'un nommé Boileau qui disait "vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage", je ne m'y suis repris que sept fois ! Pourquoi sept fois ? Car entre les relectures de mes correcteurs, les annotations et remarques d'amis, qui le sont toujours...s'est écoulé encore cinq années. J'ai passé, parfois, plusieurs jours sur les mêmes paragraphes manquants, à mon goût, de rythme ou de punch et, parfois, plusieurs heures sur des détails permettant d'affiner le rendu final.
Même si le "comique" de certaines situations n'était pas évident sur le moment, il le devient dans le récit car la dérision existe dans toutes les situations, même les plus dramatiques, ce qui en fait souvent la force . Reste à trouver le ressort de cette "dérision"...
Sur l'aspect "marketing" - un bien grand mot concernant la promotion de mon livre - j'ai décidé de l'éditer à compte d'auteur car les conditions imposées par les maisons d'éditions, aux "jeunes" auteurs si le manuscrit les séduit, dépossèdent littéralement l'auteur de son œuvre. Pour tout dire, je n'en ai sollicité aucun, connaissant d'avance les conditions léonines de ces sociétés. Le livre se vend depuis 2010 par différents biais, sans pub et sans apport médiatique, mais le bouche à oreille et les critiques des lecteurs, sur les forums ou des supports comme Amazon, restent assurément le meilleur moyen d'assurer sa promotion : quelques centaines d'exemplaires vendus en cinq années !
Si vous preniez quelques instants à donner votre ressenti, par exemple sur Amazon, comme vous l'avez fait aimablement sur ce forum, je vous en serai reconnaissant.
Dernière chose que je devais corriger, les adresses des sites de la page 331 et de la quatrième de couverture n'existent plus. Un blog supplée à ce manque, un site pictural en liaison avec les pages du récit (donc un complément du livre), plus quelques infos concernant mes goûts et mes passe-temps. Tout ceci est amené à évoluer...
cerise-sur-le-bateau.monsite-orange.fr[...]ex.html
Amitiés à tous

Bonjour,
le l'ai commandé par Price minister et je l'ai reçu en 4 jours accompagné d' une petite carte manuscrite de l'auteur (Winch 56),très sympa !

Voilà du temps d'écriture récompensé triplement : par ton temps d'appréciation, ton temps de plaisir et ton temps de le dire... merci de ton partage ! Amicalement, Jean-Loup

Audiar, Frédéric Dard (alias San Antonio), Albert Simonin sont les immortels du dialogue argotique, du "français qu'on cause" (les langues vivantes de comptoir dont ils s'inspiraient), des impressionnistes du texte, des ciseleurs de formules...des géants qui m'ont donné le goût de la lecture et du cinéma. Plus tard, et dans d'autres registres, des personnages comme Desproges, Coluche ou Baffie sont devenus, eux-aussi, des références, dont l'esprit et le talent restent encore à surpasser... Au pays de l'iconoclastie, références incontournables de l'humour, de la citation et de la formule qui flingue, voilà mes têtes de liste. Winch56 a voté !

juste un tout petit reproche pour ceux qui ne voient pas bien c'est imprimé trop petit ....
Gilles

Ouais, c'est un bouquin sympa (pas encore fini).
Pour le prix littéraire c'est pas encore gagné, bien que le style soit souvent sympa, avec quelques passages plus banals...

Quand l'auteur se lache, attention !
Au moins voilà un auteur capable "d'en sortir des pas mal" sans trop rougir !
:mdr:
On doit pouvoir rigoler avec un spécimen comme ça à bord, j'imagine.

Mais parfois l'abus de termes abscons (au minimum) ou imaginés par l'auteur ou juste usités à son ponton ou son quartier du sud de la France ne peuvent être compris par tout le monde, c'est le moins que l'on puisse dire !
:mdr:
...Ca fait parfois travailler les méninges !

Je ne l'ai pas fini (j'avoue en lire plusieurs à la fois, je sais c'est pas bien) mais c'est un bouquin de plaisancier vivant et qui change un peu de ceux sur lesquels on peut tomber habituellement.
Et pour l'instant ça m'a pas mal fait rigoler !
:mdr:

...Pour l'instant moins de catastrophes qu'annoncées dans ce fil...
Et surtout que dans "All is lost" avec notre ami plaisancier Robert Redford !
:mdr:
(mais lui c'est un taiseux, il a pas sorti de bouquin sur cette navigation là)

Fini et bien aimé le style, malgré un peu de mal à suivre le récit du voyage proprement dit et quelques manque sur l'histoire du projet.
J'y ai découvert une "tradition marine" dont j'ignorais tout, celle de "ne pas attribuer un nom de bateau avec des jambages vers le bas", quelqu'un peut-il m'en dire plus en particulier sur la justification ?
Gilles

je l'ai reçu et commencé à le lire ,
je ne trouve pas ça très jubilatoire ,mais décevant par moments ,le langage" d'jeun" me dérange un peu heureusement que ce n'est pas du verlan .moi qui m'applique à avoir un orthographe irréprochable,je suis servi.
je préfère les termes maritimes appropriés.
bonne lecture à ceux qui le liront
c'est comme le loto tous les gagnants ont joué
alain

Bonjour à toutes et à tous,
Il m’arrive parfois, très rarement je l’avoue, de naviguer avec des amis, sur leur bateau ou sur "une location", histoire d'immerger mes équipiers dans des coins connus, genre cartes postales in situ.
Là, je persiste et je signe en disant que rien n’a changé dans le microcosme plaisancier. Les choses se sont même plutôt aggravées, en termes d’encombrements (marinas blindées, mouillages sur-blindés) et de coûts. Alors là, les amis, sur ce dernier point, côté cagnotte, va falloir déblinder vos petites bourses. Ne vous méprenez pas, je parle bien de vos caisses de bord dont le désencombrement est inéluctablement assuré. Au Marin, en fin d’année, avec mon ami Gérard, j’ai constaté que la gravité était plus que jamais de mise : même en louant deux mois par an, tarif « négocié » réparti entre équipiers, une location se justifie pleinement. Et je n’ai aucun intérêt dans une société de location, quelle qu’elle soit : je le jure sur la tête de…mât. Cette affirmation ne concerne que les propriétaires naviguant (je dis bien "naviguant") moins de deux mois par an. Y-en-a !
Dans la plupart des marinas, professionnels et plaisanciers se tiennent par la barbichette, les premiers étant dans une quasi-situation de monopole et les seconds dans la supplique du « que ferais-je sans toi ! ». De grands moments.
Certains l’auront remarqué, côté écriture, j’ai depuis longtemps renoncé à toutes les palmes, même subaquatiques. Je me limite à ce que je sais faire, « le français qu’on cause », parfois grossier, toujours grotesque, indéniablement provocateur, mais jamais « djeun », n’ayant aucune qualité, mais vraiment aucune, à manier les : « pécho, on s’capte, s’la pète, mdr, lol… » et j’en oublie, assurément.
Un grand merci à toutes celles et tous ceux qui manifestent leur l’intérêt en donnant leurs avis dans vos pages, ainsi que sur Amazon. Je n’ai jamais écrit ce livre dans l’espoir d’intégrer la « littérature universelle », mais l’objectif de témoigner d’un vécu, sous une forme provocatrice et dans un style que quelques-uns ont la perspicacité de comparer, toute modestie gardée, à un écrivain de polar ou un dialoguiste des années 60. Ils m’ont inspiré, assurément. Courtoisement vôtre. JL