Gilet de sauvetage et norme ?

Bonjour,
à ce prix là, tu en achètes trois avec un seul poumon ce qui te permet d'en crever deux... 😂
VdB

Euh... prix en couronnes suédoises, environ 94 €...
La Suède n'est pas en zone Euro...

Non, cela ne sont pas autogonflable par contacte avec l'eau, et le harnais chez a fond les formes c'est 70 euros bas de gamme !

La n'est pas la question pour un marin a moins qu'il soit d'eau distille, la question est le boot sur la barre en cas d'homme a la mer ...

On peut boire l'eau distiller par chauffage ?

Un peu hors sujet mais ça concerne la norme .
Prenons le cas d’un gilet à déclenchement auto dont la « pastille » arrive en fin de période de validité . Je le passe en mode manuel avec un capuchon étanche qui couvre la pastille ( système spinlock pour le deckvest 6 d et percuteur uml pro élite )
Je ne suis pas obligé de changer la pastille non?
🤔

pareil que si c'est un gilet à déclenchement manuel ?

@Jolly rodjer la question porte sur le réglementaire ou sur l'usage?

Sur un système à pastille, tu maitrises pleinement le risque. La pastille périmée, le seul risque c'est un déclenchement intempestif. A toi de juger si c'est un risque acceptable ou pas, si tu as du rechange ou pas
Sur un hydrostatique, une fois la péremption passée... nul ne sait ce qui se passe dans la boite noire.

La réglementation demande un nombre de gilets fonctionnels à bord, rien de plus.

@yannbis

Merci de ta réponse
Je m’interrogeais réglementairement parlant , car avec un gilet auto il faut que la pastille soit en cours de validité

La règle est que le gilet doit rester conforme à son approbation d’origine, si on passe un gilet automatique en système manuel cela doit être précisé dans sa norme d’homologation, c’est le cas pour certains gilets employés pour les transferts plateforme en hélicoptère ou pour les ostréiculteurs, ça c’est pour être pinailleur, ce qui est sûr c’est que l’argument qui consiste à dire que son gilet auto avec déclencheur périmé est fonctionnel avec le gonflage buccal n’est pas accepté par les autorités 😂
Pour ceux qui sont joueurs je conseille l’essai du gonflage par l’embout buccal, pas facile de souffler dans le tube avec les narines dans l’eau, normalement cela se termine par le rinçage à l’eau de mer du nez, excellent pour le rhume !

Si le kit manuel est de la marque il n'y a pas d'ambiguïté, ce qui peut poser un problème c'est le gilet auto avec percuteur périmé avec l'argument que la partie manuel suffit à gonfler le gilet, on a fait pas mal d'essais avec des gilets manuels pour pallier le problèmes des déclenchements intempestifs, les "cobayes" avait beaucoup de difficultés à trouver la tirette une fois dans l'eau, il faut chercher a taton, impossible à
visualiser sauf a mettre la tete sous l'eau, certain déclencheur était très dur (ancien Hammar) ce sont des choses à prendre en compte quand on est en situation de stress.

Pour les dates :
Système Hammar et bloc Moulder la date indiquée est une date de péremption
Bobine Halkey Robert c’est une date de fabrication, idem pour la cartouche Co2.
Inconvénient de dépasser les dates, lenteur au déclenchement pour les systèmes avec cellulose, et risque de déclenchement intempestif avec les pastilles à dissolution (Halkey, Secumar, Cotten, Lalizas)

La péremption de la cartouche est décrétée par l'organisme de vérification au vu de l'état extérieur jugé mauvais ou d'une pesée hors standard.

Première chose, une sous-cutale, elle peut être ajoutée facilement avec un mousqueton et une sangle d'escalade.
Étant resté coincé dans une échelle à crinoline avec un gilet "a pastille" qui s'est gonflé inopinément, je regarde ce système avec suspicion.
La tendance est de fabriquer des gilets auto-gonflants de plus en plus près du corps, de façon à faciliter leur port en condition normale, je ne suis pas sur que leur port en condition gonflée, même si réglementaire, soit des plus efficace. Voir la forme gonflée des gilets SOLAS, les volumes sont bien plus importants et d'une répartition assurant bien mieux le retournement.
Manipuler des cordons et des longueurs de velcro à désolidariser une fois qu'on est à l'eau, avec potentiellement des gants, n'est pas des plus facile, tracté au bout d'une longe avec un gilet ramené au niveau des oreilles, sous-cutale ou pas, devient mission impossible. Facteur 2 si vous êtes en ciré, plus ou moins boudiné de poches d'air et d'eau qui vous immobilisent progressivement.
Donc il faut rester à bord, harnais incorporé, longe et points d'ancrage solides. En cas de gros mauvais temps (relativement à la taille du bateau), gilet de fort volume avec un harnais, des poches à accessoires, lampe, sifflet, couteau, mini vhf étanche éventuelle. Toujours prêt à servir, pas de révision et formidable pare-choc tant à bord que lors du passage par dessus bord. Le port du casque n'est pas interdit.
Ce qui n'empêche pas le petit gilet "mode" auto-gonflant pour emprunter l'annexe, être en veille sur le pont de nuit par temps calme ou faire des acrobaties en hauteur ou hors des filières le tout sous contrôle des coéquipiers.
Petit addenda pour achever de troubler les esprits, plusieurs naufragés se sont trouvés coincés dans des épaves retournées, plaqués "au plafond" par leur gilet gonflés et incapables de plonger pour gagner la sortie.Vaste sujet entre les adeptes du manuel et de l'automatique.

je rajouterai:
il *faut * équiper les gilets d'une lampe automatique à déclenchement dans l'eau, absolument indispensable au moins de nuit, la SNSM et les pilotes de l'aéronavale insistent sur ce point.

./.

Un petit complément pour une situation vécue et s'étant mal terminée. Extraits du rapport BEA Cap Horn du 17/09/22.
Il est préférable de lire tout le rapport mais il ressort des conclusions que les gilets auto-gonflants "en libre service" (donc non ajustés à la morphologie du marin) et portés sans sous-cutale peuvent entrainer des accidents.

Juste une précision, la sous cutale est vivement conseillée mais pas obligatoire au sens réglementaire, certains gilets la possèdent d’origine d’autres seulement en option, le mieux étant la double sous cutale.
Effectivement un gilet doit être ajusté pour être efficace, d’où la nécessité de vérifier que la ceinture se règle facilement, ce qui n’est pas une évidence pour beaucoup de produits.

Selon les activités il y a les gilets à flottabilité inhérente (kayak,dériveur..) les gonflables manuels, et les gonflables auto, aucun n'est meilleur ou moins bon,
Le gilet en mousse se contrôle aussi (obligatoire pour les école de voile) la mousse se détériore dans le temps et cela affecte la flottabilité, l'essai se fait avec un poids pour vérifier si la flottabilité correspond à la valeur d'origine (exprimé en Newton)

Bonjour,

J'ai recu cela comme accessoire :
www.amazon.fr[...]dxQrqgg

La lampe Led ne va pas (elle prend dans le globe de l'eau, mais continue a fonctionner, je trempe pendant une demis heure cela vous semble bon ?), je cherche une qui se declenche au contacte de l'eau, j'en ai une autre qui est etanche, mais l'ennuit est que c'est des batterie litium, et de facto, il faut faire un protocole de recharge tous les x temps , enfin il manque les bandes reflechissantes ....
J'ai celle-la rellement etanche :
krisskydd.nu[...]cklampa

Philippe

Privilégier les modèles automatiques muni d’un interrupteur,

Oui les contacts eau de mer mettent en route la lampe (il suffît d’un contact à l’eau seulement) et elle reste allumée en permanence, d’où l’utilité de pouvoir l’arrêter, il y a des modèles pourvues d’un petit câble électrique avec deux électrodes ce câble est immergé et met en route la lampe, si on sort le câble de l’eau la lampe s’éteint mais ces lampes sont assez chères , on retrouve ce système sur beaucoup de radeaux.

Je n’arrive pas à ouvrir le lien qui m’envoie sur un Facebook (je ne suis pas inscrit)

@POLMAR, c'est un objet de luxe !