Sur ce forum,les plus fervents defenseurs du deriveur

sont en mediterranée ,vous ne trouvez pas cela paradoxal? :reflechi:

L'équipage
12 déc. 2010
12 déc. 2010

c'est le rêve
En atlantique il se vend beaucoup de DI mais ils vont presque tous au port le soir. Nous avons eu un DI pendant plus de 20 ans avec lequel nous avons écumé de St Mâlo à Figari. Et bien c'était, dans chaque bassin de navigation, toujours les mêmes que nous trouvions, soit donc une grosse vingtaine de DI sur la côte atlantique (sauf bassin d'Arcachon) et une petite dizaine en Méditerranée.

Le dériveur c'est surtout l'idée qu'on s'en fait et les possibilités que l'on pourrait éventuellement exploiter... mais qu'on ne fait pas ou peu. Chacun son rêve.

12 déc. 2010

si completement
mais en manche , chez nous , un voilier qui remonte mal au vent , c est vraiment genant !

et puis le grand tirant d eau ne m a jamais empeché de faire ce que je voulais .

;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

12 déc. 201016 juin 2020

Tout dépend de ce que tu voulais !
Si tu voulais par exemple passer la nuit confortablement dans le port de l'ile de Batz avec un GTE, tu serais "marron", poil au menton ;-) ;-) ;-)
Cordialement

13 déc. 201016 juin 2020

Ou à Bréhat, la Corderie....
Salut Philippe.
L'as-tu mis à la niche, ton boutou koat ?

13 déc. 2010

Oui mais....
J'avais précisé "confortablement" et c'est toute la différence ;-)J'ai pratiqué le mouillage d'attente de Roscoff dont tu parles (35 ans de quillard) Faut pas avoir le sommeil léger !!

Par ailleurs, tu as raison, tu feras incontestablement un meilleur près que moi.

Il n'en reste pas moins que :

  • Le sauvignon est reconnu bon marcheur dans la brise
  • j'évite autant que possible les 30 nds (sauf si pris dedans bien sûr),
  • Depuis que j'ai ce dériveur, je découvre de superbes coins inaccessibles auparavant,
  • ...et enfin, j'ai le temps, j'suis en retraite !

Ceci dit, ce sont des choix personnels qui peuvent évoluer en fonction de la zone de nav, de l'âge,etc... la preuve , il y a encore 10 ans, je ne voulais pas entendre parler de dériveurs pour les raisons que tu évoques d'ailleurs, et pourtant...

12 déc. 2010

Ou à Brignogan...
poil aux dents.

Salut Denis
Philippe

12 déc. 201016 juin 2020

Ou à Brignogan...
Poil aux dents!
Salut Denis
Philippe

13 déc. 2010

Oui, ça y est
Salut Denis
Il a retrouvé son terre plein à St Pol. Le moteur est chez le docteur pour un sérieux lifting: c'est pas pratique de devoir accélérer à fond pour embrayer en avant (surtout quand tu as le ponton à 5 cm...) Il n'avait jamais été déposé en 30 ans d'existence. Et dire qu'il y en a qui prétendent que le RC 12 D est infréquentable! Moi je l'aime bien: il démarre tout seul, boit peu et fait un vrai bruit de moteur marin.
Vivement qu'on sorte des miz du et qu'on puisse à nouveau s'étaler sur les plages écrasées de soleil de notre cher Léon!
Amicalement
Philippe

13 déc. 2010

dans ce coin là , Lezard
pour la nuit on peut mouiller ou prendre une bouée a l entrée est du chenal à terre de Batz ou alors aller à primel où il y a toujours moyen de trouver une boule !

ce qui est vraiment important quand tu as un quillard en manche , c est d etre a l aise avec les calcul de hauteur d eau , c est le secret pour ne pas avoir d ennuis !

par contre le jour où il faudra avancer au pres serré avec 25/30 nds , je peux te dire que tu nous envieras .....

;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

12 déc. 201016 juin 2020

ami curé
un peu de patience et je vous rejoins, sans doute avant Noël, si le père Noël n'est pas une ordure

:pouce:

13 déc. 2010

le père Noël
sera juste un peu en retard pour moi,un DL sur le traineau c'est pas facile à son age !!!!
:pouce:

12 déc. 2010

est-ce un paradoxe
ou le phantasme du dériveur, il suffit de les voir dans les ports... Avec un tri dans les pertuis, le petit TE n'a que des avantages.

pourquoi fantasme ?
personnellement mon deriveur est toujours mouillé dans des petites criques avec tres peu d'eau !

12 déc. 2010

sauzon ...
or not sauzon ??

12 déc. 2010

1 ou 2 m de tirant d'eau, c'est 30 à 45 mn d'attente en plus
Les OVNIS sont nombreux en Manche mais je ne me souviens pas en avoir vu échouer à Chausey!

C'est surement lié à la peur du ressac, ou de s'échouer sur un rocher.

Pour moi, avoir 2.5m ou 1m de tirant d'eau change peu de chose en Manche et ne m'empêchent pas de passer à travers les Minquiers, par exemple. Il suffit de savoir calculer la hauteur d'eau.

Dans une région où le marnage est fréquemment supérieur à 10 m, 1 m de plus ou de moins ne représentent que quelques dizaines de minutes d'attente.

En Mediterranée, moins de tirant d'eau permet d'approcher du rivage.

12 déc. 201016 juin 2020

Très peu d'eau
ou pas du tout et dormir tranquille

13 déc. 2010

Sauzon
Bien sur!!!

12 déc. 2010

bah ...
moi, ce que je défend, c'est les petits TE.

Pour le moment en Biquilles, mais pourquoi pas en dériveur plus tard.

C'est vrai que ça peu paraitre paradoxal en méd mais en fait non, il y a pleins d'exemples qui montre que c'est pratique partout.

Comme me le faisait remarquer le gars de chez Dehler au Salon, entre 1.90 et 1.60 ça ne fait pas de différence il faut prendre le grand TE, et je pense qu'il a raison.

Par contre (et la c'est moi qui le rajoute) entre 1.90 et 0.60 la la différence est énorme et ça change tout pour aller se planquer dans les petits coins ! ;-p

A+,

12 déc. 201016 juin 2020

.
Salut,

Ben moi j'ai un DI en bretagne Sud et dès que possible je vais échouer dans un petit coin pénard. J'évite au maximum les marinas bondées. Le mien remonte au vent comme un quillard, par contre j'ai moin de raideur à la toile qu'un quillard, après c'est une question de choix de navigation et surtout d'escale.
Vive les dériveurs.

12 déc. 2010

ilforde,tu me surprends tout de même!
"le mien remonte au vent comme un quillard" :tesur:

oui
le mien aussi !

12 déc. 2010

Ilforde
on dirait Le Conquet, non?

12 déc. 2010

Je penche
pour Le Conquet (Konk Leon) également !

12 déc. 2010

A propos de dériveur,
Quelqu'un connait il les aptitudes a remonter au près d'un feeling 416?

12 déc. 2010

.
La série des feeling 346,496, 416 etc... ont des dérives profilé, ça contribue aux bonnes performances de ces voiliers. Ils sont aussi conçu dès l'origine pour être des dériveurs. Ce ne sont pas des adaptation de quillard en dériveur.
Je persiste à dire que pour l'instant je n'est pas vu de différence au près avec un quillard. Peut être que dans le gros temps... à suivre...

12 déc. 2010

non,
je me souviens d'avoir mouillé dans de tous petits ports en Corse avec mon Ovni 32 (les autochtones se préparaient à rigoler un bon coup en me voyant évoluer dans 1 m d'eau...) alors que les quillards se faisaient secouer à l'extérieur.
Mais j'ai maintenant un quillard, et je ne reviendrai pas au dériveur, j'ai beaucoup plus de plaisir en navigation...

12 déc. 201016 juin 2020

dérive profilé feeling
une photo.

12 déc. 2010

le près
Le notre de DI faisait du près mais pas tout à fait autant qu'un quillard, on se rattrapait aux autres allures. Nous régations aussi.
Depuis que nous avons un DL nous nous sentons un peu plus en sécurité dans le mauvais temps mais ce n'est peut-être qu'une impression.

Cependant depuis notre retour en Atlantique le DI nous manque cruellement car nous ne retrouvons pas nos escales préférées. Vrai aussi qu'avec la faune qui traîne sur les plages des criques isolées l'été ça n'est peut-être pas plus mal.

13 déc. 2010

Expérience
J'ai eu un DI pendant 5 ans (Via 42). Pas mal d'avantages, mais ne remonte absolument pas au près en conditions musclées (genre 1100 milles au près sur la Mer Rouge avec 25 kn réels et plus établis). Dans ces conditions, un dériveur doit avoir un bon moteur, capable de marcher avec 20 degrés de gite pour appuyer la GV à 1 ris.
Si on intégre ces données, ca reste un bon choix.
Un peu sceptique cependant sur la sécurité d'un dériveur avec un HB..L'idéal, ca reste un quillard relevable, ou pour le moins, une dérive fortement lestée (pour les petits bateaux, par ex un Bjet).

13 déc. 2010

suis pas sur le marché mais si je devais acheter un bateau
qui peut échouer à l'occasion, le biquille performant serait mon choix, rien de mobile, bien meilleur au pres qu'un dériveur, moins lourd, pratique pour les lmises à sec et l'antifouling, pas cetet dérive à probleme

13 déc. 2010

tout à fait,pierre2
d'ailleurs,il n'y a aucune polémique quant au choix de chacun ;-)

13 déc. 2010

justement c pas une question de gout
vu de l'exterieur, le bi quille moderne me parait le plus complet/pratique en particulier à l'entretien
mébon ça s'arrete la

13 déc. 2010

bonjour,
pierre 2, quand çà commence à faire du bruit, celà signifie qu'il est temps de réduire et l'on gagne en confort, vitesse et cap. 20/25° degrés de gite, au-delà, la quille au vent fait beaucoup de remous. :-)

13 déc. 2010

j'ai navigué une fois sur un biquille anglais appartenant à
un vétéran US, entre la galice et le portugal, une M....

mais je lis des essais de RM et surtout du Django qui a l'air vraiment bluffant

chacun ses gouts
perso le pres dans la brise ça me gonfle !je fais du bateau pour le plaisir et ma foi dans le medium mon deriveur marche tres bien au pres ,quand je dois tirer des bords dans la brise je mets le moteur et fait route directe :question de philosophie ;-)

jean
quand tu auras fait du pres dans la brise avec un biquille tu comprendras !il y a un drole de bruit sous la quille au vent ,des fois c'est enorme !

et moi je navigue souvent
sur un gibsea 7 M 50 biquille !

13 déc. 2010

Moi j'ai pas aimé (Golf du Morbihan)
J'ai eu un dériveur intégral Gibsea 262 pendant 5 ans, mais j'ai pas trop aimé, depuis je suis passé à un PTE.

Je suis dans le Golfe du Morbihan, et navige principalement en Bretagne sud. Le seul coté vraiment génial du dériveur c'est que quand je touche (trois tours de winch) et je repars. Le dériveur c'est donc l'outil idéal pour aller voir si ça passe ou non; remonter une rivière; aller au fond du port vide (même le weekend du 15 aout). Passer la nuit dans 40cm d'eau, bien caché dans un rabit-coin.

Par contre échoué complètement en navigation cotière reste l'exception. D'une part c'est pas forcement simple quand on ne connait pas le coin. D'autre part il faut attendre la marée pour repartir ce qui n'est pas forcement pratique. Bien sur pour aller à Sauzon, ou sur une plage hors saison quand c'est pas interdit, c'est génial.

Malheureusement coté NAV c'est l'enfer. Ca ne remonte pas au vent. Comme en nav côtière on doit souvent rentrer à la fin du weekend, et qu'on ne peut pas attendre trois jours pour que le vent tourne, ca fini au moteur.

Conclusion: je suis passé au PTE (1.45m) c'est juste assez pour ne pas me retrouver coincé comme les GTE qui n'ont plus de place dans les ports en été, et dans le Golfe je passe presque n'importe ou, même à marée basse. Au final pour moi un PTE avec béquille serait sans doute idéal, les qualité de remonté au vent des biquilles ne m'impressionnant pas plus que ça.

13 déc. 2010

Pourquoi les plus ardents défenseurs, etc.
C'est pas juste que les bretons sont taiseux et les sudistes grandes gueules ?

Parce que c'est pas demain la veille qu'il y aura le même rapport dériveurs/quillards en Med, qu'en Bretagne !

pour développer, je pense après 1 quillard, trois dériveurs et un biquille, que la solution idéale pourrait être le dériveur en Med (pour aller très près du bord) et le biquille en Bretagne (pour se poser sans pièce mobile)

A+
Vincent

les bretons sont taiseux !!!!!
mort de rire !parle en a aliguen lol ;-)

13 déc. 2010

Heu....;
pas défenseur !

J'ai un dériveur, il me convient parfaitement, je ne suis pas près d'en changer, mais il ne me viendrais pas à l'idée de faire du prosélytisme.... ;-)

13 déc. 2010

@ guillemot...
"... la solution idéale pourrait être le dériveur en Med (pour aller très près du bord) et le biquille en Bretagne (pour se poser sans pièce mobile) ..."

je suis d'accord avec ton analyse, ça me parait bien résumer le sujet et coller avec ma façon de voir.

Évidement, avec mon biquille en med, je fais l'inverse pour l'instant, mais ça, c'est les hasards de la vie et puis Now conviens assez bien à mon programme pour le moment ;-)

A+,

13 déc. 2010

a bateau égal
le dériveur va forcément remonter moins bien que le quillard (a moins que les lois de la physique démontrent que je me trompe).

Je pense par contre que nous avons peut-être ici de très bons barreurs de dériveurs, capable d'en remontrer a de moins bons sur quillards. On ne m'enlevera pas de l'idée que barrer au près, faire le meilleur cap possible (ou le meilleur compromis cap vitesse), c'est beaucoup plus difficile à faire qu'à d'autres allures. J'ai souvent des novices à bord, on leur donne un cap, du travers au grand largue, il n'y aura pas grande différence entre le novice et moi-même si les conditions sont praticables.

Par contre, si je donne un cap au novice au près avec de la mer par force 5, il va sans doute réussir à aller ou on lui demande, mais ne passera pas la vague de la même façon et ne passera certainement pas son temps à jouer des surventes pour lofer le plus possible comme un barreeur plus "fin" le ferait.

13 déc. 2010

au près : le bateau et le barreur
Très juste, jullnevermind, il y a pas mal de paramètres plus important que le choix (dériveur ou quillard) qui vont définir si le bord de près est bon ou mauvais :

  • le gréement (son type et son bon réglage)
  • la qualité des voiles et le type d'enrouleurs
  • la forme de carène et son équilibre au près
  • la capacité de réglages de voilure du "régleur"
  • la capacité du barreur à barrer en finesse
  • la capacité du barreur à barrer en finesse longtemps (plus que 1 ou 2 heures ;-) )

etc ...

Alors, ce serait intéressant de voir si tous ces paramètres sont toujours bien optimisés sur les bateaux des inconditionnels du quillard pour cause de meilleur près ... et si leur propriétaire a déjà pratiqué régulièrement la régate pour être certain que son "toucher de barre" et le près de son quillard est si bon qu'il le croît :heu:

PS1: je provoque un peu, hein :langue2:

PS2: j'ai utilisé plus de quillards que de dériveurs, pour le moment j'ai un dériveur mais c'est un peu le fait du hasard.

13 déc. 2010

sacrilège ?
mais chez moi le pilote barre bien plus souvent qu'à l'heure de l'apéro ... Ce n'est plus du sacrilège, c'est du blasphème permanent , j'irai droit dans l'enfer des marins guignols d'opérette à l'heure du grand saut (sot ?)

13 déc. 2010

le canote ne fait pas tout
mais un contessa, y'a pire pour faire du près :-)

13 déc. 2010

robert
analyse très juste et beaucoup plus poussée de ta part : j'avais lu sur un fil l'histoire d'un type qui avait un Aquila PTE qui remontait mieux et plus vite qu'un GTE...mais comme tu le souligne le même barreur sur le même bateau avec les mêmes voiles, un pataras un poil détendu et une tension peu affinée du gréement, et le bateau et son barreur passeront pour moins bons...

13 déc. 2010

Le plus important
c'est que celui(ou celle) qui a choisi un dériveur soit content(e) et que celui (ou celle) qui a choisi le quillard soit aussi content(e) ;-) :-p :-| :-D

13 déc. 2010

robert
une chose est sûre,c'est qu'à l'heure de l'apero , mes paramètres sont pas du tout optimisés et c'est le pilote qui barre.sacrilège,faudrait pas louper l'heure!!! :alavotre:

13 déc. 2010

Sois rassuré robert
on s'ra au moins deux

13 déc. 2010

Je ne sais pas
Si je suis un bon barreur, bon régleur, bon navigateur ou,si j'ai la chance d'avoir un bon voilier de près, mais sur l'eau au près. Il n'y a pas beaucoup de voiliers qui me rattrape et quand c'est le cas ce n'est jamais un dériveur et la plus part du temp un "gros" 40 pieds genre course croisière moderne avec des voiles tip top genre 3D moulées.

13 déc. 2010

Le seul dériveur
qui marche en Med, c'est le Neptune 99, le reste est de la daube!

Et pour ceux qui l'ont oublié, les plages en Med (française) c'est pour les baigneurs...
J'ai eu un Etap 23, il y a une vingtaine d'années, avec sa quille relevable, on pouvait approcher la plage, sauf qu'on se faisait déjà sortir comme un malpropre !

Alors aujourd'hui avec les tels mobiles pour dénoncer aux Affmar ceux qui passent à l'intérieur des 300m...

ah!!
j'aime bien le neptune 99 mais je ne pense pas que mon bateau soit une daube et dans le var il y a plein de petites plages ou on peux mouiller sans craindre les affmars ! ;-)

13 déc. 2010

il présente de l'intérêt partout finalement
Effectivement l'intérêt du dériveur réside dans le fait qu'il plus adapté aux zones à marée, qu'il offre la possibilité de remonter assez haut dans les rivières pour trouver des mouillages sympas et moins chers.
Coté port ou crique, on peut arriver le dernier et prendre le mouillage au plus prêt des restos ou de la côte ( pour l'avoir expérimenté dans de nombreux ports de la méditerrannée) tout comme la crique ou les bateaux se regardent pendant des heures pour savoir comment ils vont éviter, le dériveur avec ses quelques mètres de chaîne donne une zone d'évitement plus réduite au plus près de la côte
Si coté cap c'est pas terrible, coté grosse mer c'est plutôt mieux par le fait que rien n'accroche et pour le faire giter dangereusement
Dans certains ports on peut sortir à toute heure et emprunter les canaux (Hollande)
Coté découverte d'une zone, je pense que c'est plus facile en dériveur pour appréhender le relief sous marin

13 déc. 201016 juin 2020

Quille relevable
Merci monsieur Finot nous faire des bateaux avec une quille relevable: au près, ça marche comme un quillard à grand tirant d'eau, et quille relevée, ça échoue comme un dériveur(avec béquilles)

13 déc. 201016 juin 2020

plus q'un PTE
un icéo 6.90 échoué sur une plage,c'est pas ou:heu:

Le phare du Creac'h à Ouessant, un soir d'automne (1985, image argentique, ce qui explique le grain)

Phare du monde

  • 4.5 (171)

Le phare du Creac'h à Ouessant, un soir d'automne (1985, image argentique, ce qui explique le grain)

2022