Enlever les algues de la quille et du safran (à traduire)

l'article est en anglais tu peux faire un copier collé vers un traducteur sur ton moteur de recherche de l'anglais au français...

Ce n'est pas toujours très clair pour moi, mais en résumé voilà.
5 astuces pour se débarrasser des algues ou des casiers
Si le bateau n'avance pas alors qu'il est nickel, il s'agit peut-être d'un paquet d'algues ou de la ligne d'un casier. Evidemment, à titre préventif, le bateau doit être bien propre, et on assurera une veille pour éviter tout débris, casiers, etc... Si ça se produit tout de même, 5 techniques.
1) S'arrêter, ou pas ?
Ca dépend. Plus la course est courte, moins on a tendance à s'arrêter ; plus elle est longue, plus on a intérêt à se débarrasser rapidement de "la chose".
De la peinture fluorescente sur l'arête du safran et de la quille peut être utile pour repérer les algues ou les débris.
2)
Une méthode bien connue : utiliser un bout pour frotter l'arête de la quille. Ce n'est pas aussi efficace avec les quilles modernes en T ; avec les quilles en L d'autrefois, le bout, passé tout le long de la quille, emportait vers l'arrière l'objet indésirable.
Le bout doit être assez long pour aller, sous l'eau, d'un bord à l'autre, avec une longueur suffisante pour le tenir en plus. Attacher le bout (muni de noeuds tous les mètres) au liston à la hauteur des haubans, prendre l'autre extrémité en main, mettre le bout à l'eau à l'avant du bateau ; lotsque le bout atteint la quille, donner un mouvement de va et vient pour déloger les algues. (croquis)
3) le "baton à algues" (clair comme du jus de chique). Si je comprends bien, ils ont commencé par recouvrir la quille de plastique, puis ils ont pris une longue latte souple, l'ont appliquée contre le bateau jusqu'à l'axe longitudinal pour qu'elle épouse la courbe, et l'ont stratifiée. Ils ont mis un bon capiton à l'extrémité, puis un bout ; et une poignée à l'autre extrémité. Ca permet, grâce à un mouvement de va et vient le long du safran, de déloger l'objet indésirable (voir le même croquis).
4) Routine en mer
Suffit d'utiliser un endoscope. Avec un passe-coque à tous les endroits qu'on va vouloir vérifier.
Il faut avoir aussi à bord un masque et des palmes. On réduit la vitesse à 2 noeuds, le plongeur saute à l'avant et peut ainsi enlever les débris quand le bateau passe au-dessus de lui. Le plongeur est attaché par un bout, et il y en a un autre qui traîne à l'arrière, à tout hasard. Il est préférable de discuter avant la course pour décider qui serait mangé, euh, pardon, qui sera le plongeur.
5) Casiers
En espérant qu'il n'y a pas de pêcheurs pour lire ceci... la façon la plus facile et la plus fiable de se débarrasser des casiers consiste à couper la ligne. Si c'est impossible, il faut passer en marche arrière et mettre quelqu'un à l'eau.

C'est mal traduit, je sais ; mais franchement, pour ce que ça risque de nous être utile... J'aime particulièrement la routine en mer et les casiers.

Oui, j'ai oublié de le mentionner, c'est dit dans l'article (technique 1) ; mais le paragraphe porte surtout sur l'opportunité de se ralentir ou non.

C'est que je retourne dans ma petite tête leur solution (fort compliquée me semble t-il) bricolée ; Comment cela peut-il fonctionner ?
Merci tardif, monsieur Carthage.

C'est pas facile, l'article m'a paru assez confus. Et il s'agit de techniques de course, avec des voiliers et des équipages qui n'ont sans doute rien à voir avec les nôtres ; par exemple l'utilisation de l'endoscope, avec des passe-coque conçus pour cet usage, ou la fabrication d'un "bâton" moulé sur la coque, stratifié, muni d'accessoires, pour pouvoir aller chatouiller le safran... Dans ce contexte, il y a manifestement toute une stratégie très rodée et très cohérente. Mais en essayant de transposer ça pour le mettre à la portée du régattier lambda, l'auteur de l'article fait de la bouillie pour les chats, me semble-t-il.
Et puis tout de même, la technique pour les casiers (y compris le voeu qu'aucun pêcheur ne la lise), ça se fait peut-être, mais aller jusqu'à la conseiller !!!

Mais de rien, monsieur bmayer.

Il faut noter que les TP52 sont concues pour le trajet Californie-Hawaii. Les algues dont ils parlent, c'est le Kelp qui pousse sur la cote de Californie - les longues feuilles peuvent atteindre jusqu'a une trentaine de metres. Certains de ces bateaux ont les vitres (ce ne sont pas les hublots, quoi) pour regarder l'avant de la quille pour voir s'il y a qqchose. D'autres ont des "balaies" qui passent a travers la coque a ce que je comprends pour essuyer ces algues encombrants.

fabuleuses images, et commentaires croulants. Tous des dingues !

une caméra étanche.
perso, un appareil photo d'une marque japonaise... en mode photo ou mode film.

J'ai une longue tige avec un V pour nettoyer le bord d'attaque de la pendule du régulateur, on s'aperçoit très vite quand il y a des algues.
Une fois fenomène très curieux: la nuit une espèce de grosse prairie toute luminescente, le bateau avançait comme dans une soupe, le régulateur a tout de suite attrappé ces choses, j'ai dû sortir la pendule pour le nettoyer, il y avait des espèce de trucs gélatineux plus ou moins rectangulaires qui étaient littéralement collés dessus. Je n'imagine même pas ce qu'il pouvait y avoir sur quille et safran.

Un régatiers figaro2 m'a expliqué la corde à noeuds pour quille à bulbe : corde 15 20 mm 20mts,un noeud tous les metres
1 amarrer sur un winch aller à l'étrave avec la glène et la balancer au plus loin sur l'avant du bord opposé
2 revenir au winch et mouliner pour récupérer l'aussiere.
Le problème ça bousille le bord d'attaque de la quille qui doit être blindé pour résister.
Les safrans dégagés avec une perche idoine.

Merci ! c'est de la très grosse corde ;+)