Oubli irréparable après le départ.
Le sujet "Quelque Chose qui ne sert jamais à bord est ce nécessaire quand même ?" m'en a inspiré un autre dans le même esprit.
"L'objet que vous avez vraiment regretté d'avoir oublié après avoir "hissé le grand foc".
Je commence avec mon duvet 😥.
Heureusement la femme du skipper (qui n'était pas de la balade) m'en a apporté un, descendu au bout d'un cordage lors du passage de l'écluse du barrage de la Rance.
Encore merci à elle 🙏
Moi, le weekend dernier j'ai oublié la bouteille de rhum arrangé ... impardonnable!
Une fois aussi j'ai pressé tout le monde pour partir de la maison et une fois arrivé au bateau ... j'avais oublié les clefs du bateau à la maison ... moment de solitude ... (un peu hors sujet car du coup on à pas pu partir tout de suite)
Plus 1, ça m’est arrivé aussi, depuis j’ai toujours un double dans la voiture, même si ce n’est utile ni au ski, ni en randonnée 😂
Mon équipier! La marée n'a pas fait de sentiments quant à l'heure de départ et sa capacité à rejoindre le bord!
une fois avec 4 copains on part de Lorient destination St Malo ..
le matin casse croute mais le soir ??? pas grand chose j'avais tout oublier dans le frigo à la maison !!! il a fallu faire une escale à Audierne et aller au resto ..
il y en a un qui à laissé par étourderie sa femme sur le quai ,
il a reflèchi un moment avant de faire demi-tour .
Déconne pas, moi, j'ai oublié le chien à l'Estartit.
Je m'en suis rendu compte deux heure après. Demi-tour. Le chien confiant m'attendait assis bien sagement devant le poste qui m'avait été affecté pour la nuit. Quand il a vu le bateau, il a remué la queue frénétiquement. Le chien, ce n'est pas rancunier. Je n'ose pas penser à ce qui se serait passé si ça avait été mon épouse...
VdB
ça aurait pu être ta femme qui t'aurait oublié sur le quai, et revenant te chercher, elle aurait vu que, comme le chien, tu remuais la ....
Le tire bouchon un week end où j'avais invité des amis. Quand j'en ai emprunté un le voisin m'a demandé : "vous n'avez pas appelé le Cross" ?
Un tire bouchon, c'est un appareil optionnel, on arrivera toujours à ouvrir une bouteille sans en avoir
Le tire bouchon !! erreur tragique heureusement j'avais des vis et une pince
Le tire-bouchon est facilement remplaçable, surtout sur un bateau. Au pire, tu l'enfonces.
Je rajouterai qu'oublier le tire bouchon, c'est un oubli réparable alors qu'oublier la bouteille, ça, c'est le véritable oubli irréparable
Le seul tire-bouchons digne de ce nom: le Campagnol "Big", surnommé "de Gaulle".
je vous ai compris
Pas oublié mais ai plié mon tangon de foc en début de croisière estivale suite à une manoeuvre idiote. Il m'a vraiment manqué pour le reste de la croisière lors des bords de vent arrière.
Spi WF en 93 ou 94, en JOD. Le premier jour 40 kn. Le soir, on met le solent à sécher à la maison. Le deuxième jour, arrivé sur la zone de départ " et m.., on a oublié le solent" .On était le seul sous tmt. Le vent est monté à 55 kn. On était 1 à la bouée au vent😁.
L'inverse, on était sous ORC et c'est l'heure de mettre le tourmentin. On sort le plus petit sac, affalée de l'ORC, hissage du TMT, c'était un ORC...
A la question où est le TMT, le skipper à répondu "au pied de mon bureau je pense".
Il y a fallu faire avec..
Un ouvre-boîte avec des conserves sans la tirette pour les repas rapides.
L'an dernier, au départ de 3 semaines de nav en Manche, j'ai réalisé à la première escale que j'avais oublié le câble de recharge de mon portable... Heureusement, mon charmant voisin de ponton en avait un en rab (prévoyant, lui) et me l'a gentiment prêté pour la suite de ma croisière.
Faire une sortie pèche et se rendre compte qu'on a oublié les appâts au frigo à la maison.
Les tranches de roastbeef froid pour le casse croute ont superbement fait l'affaire. Nous on s'est contenté de la charcuterie et du poulet froid. Mais au finale, une très bonne pèche ; dorades à gogo ^^
Bonjour,
Il y a quelques années, un voisin de mouillage à GROIX est venu tout penaud me demander un briquet...
Son équipage, tout content de ne pas manger du cassoulet froid, m’a offert une bouteille en me rendant le briquet !
Bonne journée,
Patrice
La barre, amenée à la maison l'hiver pour vernissage et oublié de la ramener, j'ai acheté un manche de pioche que j'ai coupé à la bonne longueur et vogue le Biloup 😊
Lundi dernier j'ai oublié de couper le bambou qui devait me servir de tangon ,le vent arriere a eté dur a tenir !
Un classique en partant de sa place en marina : oublier d'enlever le cordon électrique qui alimente le bateau. Ca m'est arrivé une fois et heureusement que mon voisin s'en est aperçu, lui, et l'a enlevé de la borne puis il a pu me l'envoyer car j'étais en train de sortir de ma panne !
@chomsioul : ça m'est arrivé deux fois de laisser le cordon secteur branché en partant... La première fois, j'entends un CLAC, et je récupère le câble qui traînait dans l'eau, avec la prise au bout. Je craignais d'avoir à moitié arraché la borne, mais non, tout était bien. La deuxième fois, c'était beaucoup plus grave : je récupère le câble, mais coupé : il s'était coincé sans doute entre deux planches du ponton. Ca voulait dire que peut-être, sur le ponton, traînait un bout de câble dénudé, encore branché au 220 V ! J'ai imaginé avec horreur un gosse courant pieds nus... Ne pouvant faire demi-tour à temps, j'ai contacté la capitainerie qui a fait le nécessaire...
Depuis, "check-list" avant chaque départ !
Bonjour
Il y a quelques années avec mon premier voilier (Lanaverre 630)
Après avoir hissé la grand voile pour un départ sous voile depuis mon mouillage,
je largue les amarres..... et là je m'aperçois en revenant à l'arrière du bateau, que j'avais oublié de remettre le gouvernail.
Et oui, après chaque sortie, le gouvernail était stocké dans la cabine.
très vite, je chope la gaffe et arrive à prendre un autre mouillage une vingtaine de mètres plus loin.
Ouf.
Deux remèdes à vos problématiques, habiter à bord et arrêter d'être tête en l'air...😁
Le pire : oublier sa vareuse ! cf Entre ciel et terre - Jón Kalman Stefánsson
Je crois que c'était arrivé à Hasselin, skipper de PRB au départ d'un Vendée Globe. Il s'en rend compte juste avant le départ, alors qu'il était déja sorti du chenal.
Pas grave, son sponsor lui file la sienne avant de quitter le bord.
Pour se rendre compte qu'il avait laissé ses clés de bagnole, ses papiers d'identité et sa carte bancaire dans la poche...
Il les a récupéré à l'arrivée d'Hasselin, 5 mois plus tard.
il y a la même chose à la première course autour du monde
en équipage en escale en australie ,
en se baladant dans le bush en 4X4 l"équipage à heurté un kangourou ,il ont cru l'avoir tué ,et on pris des photos avec
un des équipier lui a enfilé son blouson ,le kangourou sonné à repris ses esprits et est parti avec évidement avec les papiers et le pognon du mec .
Ca ne fait que 4 ans que l'ai le bateau, et celui-ci en a presque 20. Ce qui fait que, même si j'essaie de tout connaître et si j'essaie de faire le tour de ce qui pourrait péter, y'a régulièrement un petit souci.
Du coup, lorsque je pars en croââsyaiiire 😎, j'embarque la caisse à outils quasi complète, la perceuse, la pince à riveter...
Ca a été le cas cet été, et j'ai voulu tangonner. Tangon carbone, rivets de la poulie qui fait entrer le bout commande de la machoire bouffés de rouille, poulie partie dedans.
Pas grave, j'ai ce qu'il faut !😇
Ah ben non, j'ai oublié les rivets... et toute la visserie, la boite est à la maison au pied de l'escalier.
Pas grave, j'achète des rivets à la première escale.
Etape suivante, on est au portant, content je sors le sac du spi, et je cherche les écoutes... qui ne sont pas à leur place, ni nulle part ailleurs sur le bateau.
Y'a des fois comme ça, faut pas insister.🙄
partir en oubliant (réellement, je croyais que ma femme avait payé) de payer à sainte marie (scillie)
mais le zod du port n'a pas mis longtemps à venir me rafraîchir la mémoire ... la honte !
cet été, nav associative, bateau de loc: nous avons fait un drive avec une belle check-list comme d'habitude. mais il ya des choses que nous apportons pour éviter de racheter : torchon, huile...
Il manquait le sel.... Vu le prix du gaz et le manque de temps nous avons préféré aller demander au voisin de mouillage sur la grande plage de Houat que d'évaporer l'eau de mer!
Ça me rappelle cette interview d'un grand navigateur qui expliquait (certainement après une question fort à propos du journaliste) "faire ses pâtes avec 1/3 d'eau de mer".
Mais pourquoi 1/3 d'eau de mer insiste le journaliste?
"parce que sinon, c'est trop salé".
CQFD
Atlantique, Mer du Nord, Groenland, Mer Morte, Méditerranée, Aral, Mer de Sable, Mer d'Alors, tout dépend où on fait cuire son riz
la mer d'Alor n'a pas de "s"😁(fr.wikipedia.org[...]ki/Alor )
le gonfleur de l'annexe ...
Variante: les bouchons de valve...
Les clopes, seul les fumeurs connaissent l'angoisse d'être en rade. Comme nous vivons à bord, il y a toujours la "réserve" mais à force de taper dedans, elle se vide.
Nous partons de Honfleur direction les sables pour le VG. Ma moitié sort du carré arrive avec un tas d'explications. L'horreur il reste un paquet. Changement de cap, vers Deauville, gros ravitaillement, nouveau départ pour les sables. Maintenant les cartouches ou sceaux de tabac (avec les tubes), sont dans la check-list
Autre solution : s'arrêter de fumer pour de bon, et profiter du bon air à pleins poumons...
Un beau Jeudi matin, je pars de bonne heure de StMalo avec la marée pour « de bon » (je ne suis effectivement revenu que 2 ans aprés). La veille j’ai fini de plier mes affaires « civiles », vidé mes poches de tout l’indispnesable quotidien (briquet, clés diverses, portefeuille , carte d’identité, permis etc) que j’ai mis de côté dans un sac en plastique. Dernier café le Jeudi matin, j’en profite pour mettre à la benne de la capitainerie la derniére poubelle. Et le largue les amarres ! Sortie du sas, chenal…. Une bonne heure aprés, une fois clair des eaux resserées, ça y est, je suis vraiment parti, tout baigne, je mets le pilote, une p’tite chanson, je me fais un café pour bien savourer le moment, puis me mets à mettre le bateau en ordre, notamment ce sac qui contient les choses précieuses. J’ouvre le sac… comprends pas: ce sont les ordures. Ca me prend une bonne minute pour l’admettre, mais j’ai benné le mauvais sac. J’ai envie de faire une croix dessus et continuer, mais dans le portefeuille j’ai un chèque en blanc que mon père m’a confié, je ne peux ignorer ça. La mort dans l’âme je fais demi-tour, je remonte le chenal, contre la marée c’est super-lent, en plus je dois repasser le sas… En plus, c’est stressant parcequ’il faut que j’arrive avant que les éboueurs vident le container… Je m’ammarre enfin au quai, je cavale, j’ouvre le container … vide.
Cerise sur le gateau, un ami est en train de bricoler sur son canote (un Jeudi matin: il aurait du être au boulot ! ) , il me balance d’un air goguenard « ah ben t’es déja revenu ?».
Bref. Je suis quand même reparti.
La veille d'un départ en Espagne pour 3 semaines je réponds à un appel sur le ponton et je referme mal mon sac qui s'ouvre sur le catway quand je monte à bord. Je ramasse tout et je n'y pense plus, jusqu'à ce que je réalise avant de me coucher que mon téléphone était sans doute tombé à l'eau et sans doute enfoui dans la vase.
C'était le bon temps où on trouvait des cabines téléphoniques et j'ai préféré m'en passer que différer mon départ.
Dans le genre oublis à la con: Ne pas mettre de flotteur sur les clefs de la Twingo! S’en est suivis d'une petite plongée dans le port... Si on avait été moins c*n, on aurait fais la connerie en été.
