la France veut durcir les normes contre la pollution par les navires

c' est une proposition qui a été faite à Marseille. On pourrait dire , enfin ! mais ça n ' est qu 'une proposition .( je ne sais pas si ce lien peut fonctionner )
premium.lefigaro.fr[...]mes.php

L'équipage
19 jan. 2019
19 jan. 2019

Enfin....il y en a 2 ou 3 qui osent parler de ce probleme.

19 jan. 2019

On avance c'est bien, jai cru comprendre que les armateurs partent vers le GNL pour réduire les taux quid de l'augmentation du prix avec la demande ?
Je nai jamais compris pourquoi on obligés pas ces gros à fonctionner au diesel au lieu du fioul lourd en zone portuaire et côtière... hâte que Nice (Et villefranche) perdent 8microg de particule

20 jan. 2019

Bonjour @Le-relou-raleur, bonjour à toutes et à tous,
" A quai, les navires stationnant plus de deux heures sont tenus de passer au diesel marin contenant un taux de 0,1% de SOx ce qui représente encore un taux 100 fois plus élevé que le diesel des voitures (0.001% de soufre). "
www.actu-environnement.com[...]09.php4
Bien cordialement

19 jan. 2019

je crois que le port autonome est en train de faire des prises electriques spéciales pour alimenter à quai les paquebots , ainsi plus besoin de leurs groupes electrogènes .

Le port de Southampton est équipé de prises, mais les paquebots ne les utilisent pas ... trop cher disent-ils ...

je ne sais pas quel est le pouvoir coercitif d'une municipalité qui reçoit autant de paquebots dont la Cunard face à la ressource financière qu'apportent ces bateaux.
En tout cas certains jours cela tousse en ville, au propre bien sur mais aussi au figuré.

26 jan. 2019

Je ne crois pas du tout à cet argument.
Il y a surtout des problèmes de standards en terme de puissance mais aussi celui relatif au 50 ou 60Hz.
Et ce n'est pas le moindre.

Car il y a aussi la puissance disponible à quai qui n'est pas du tout la même pour un cargo, pour un ferry ou pour un paquebot.
En général, il y a de quoi tenir le bord actif.
Sur un paquebot la demande est très nettement supérieure à celle d'un cargo.

Et je n'imagine pas du tout un port comme Southampton dépenser de l'argent pour aménager des posts tout en laissant les armateurs décider de les utiliser ou pas selon leur bon vouloir.

19 jan. 2019

Ce n’est pas trop tôt, je suis passé entre deux paquebots au mouillage et Cannes l’année dernière, c’était irrespirable.
C’est incroyable qu’on ait toléré ça pendant des dizaines d’années.

19 jan. 2019

l'ennui est que comme d'habitude ça va tomber sur les petits (nous) mais que les gros, vont y échapper.
Au fait ! la Royale ? (notre marine de guerre) elle utilise quoi comme antifouling ?

19 jan. 2019

Quand l effet pavlovien fait des ravages ....

20 jan. 2019

si c'est pour faire tourner une centrale électrique (nucléaire ou thermique) à un autre endroit du réseau... le bilan est tout aussi nul.

19 jan. 2019

L'intérêt de l'alimentation du bord par du courant "terre" est que cela ne consomme pas de potentiel des groupes (pour de l'électricité).
Mais cela a des contraintes: il faut les mêmes prises sur les quais à Toulon et à Brest.
Et puis les bords sont en 400 V.
Et il faut que les "rallonges" soient manutentionnables à la main. Pour CDG, c'était, au moins au début, une soixantaine de câbles à connecter. Dommage que le choix du conteneur transfo HT => BT à poser sur le pont à l'escale n'ait pas été retenu.

19 jan. 2019

L'intérêt de l'alimentation du bord par du courant "terre" est que cela ne consomme pas de potentiel des groupes (pour de l'électricité).
Mais cela a des contraintes: il faut les mêmes prises sur les quais à Toulon et à Brest.
Et puis les bords sont en 400 V.
Et il faut que les "rallonges" soient manutentionnables à la main. Pour CDG, c'était, au moins au début, une soixantaine de câbles à connecter. Dommage que le choix du conteneur transfo HT => BT à poser sur le pont à l'escale n'ait pas été retenu.

19 jan. 2019

Au fait la Royale... c'est 40 navires à Toulon et 30 à Brest +10 outre mer ... cma cgm c'est 450 navires , maersk 650...bref sachez que les navires de la royale sont alimentés en electricité par la terre à) quai à Toulon ou Brest ce qui n'est pas le cas pour tous les navires en escale dans la plupart des ports du monde. Que respirez vous quand il y a 4 ferry dans le port de Toulon ....Au fait l'antifouling c'est le meme que vous.

19 jan. 2019

Honnêtement de toute les substances toxiques que l'armée rejette je pense que les particules fines de fioul lourd devrait être le cadet de nos soucis :-p

19 jan. 2019

Non , ce coup ci c' est du sérieux mais ça se mettra en place dans 5 à 10 ans et par étapes .

19 jan. 2019

Surprenant ! Quand les sous marins étaient à Lorient il fallait presque se battre pour détourner un peu de leur antifouling qui durait 2 ans minimum dans les mers chaudes.
Le même que le nôtre ? C'est sur ça ?

19 jan. 2019

Légende..depuis 1992 il n'y a plus de sous marins à Lorient. J'utilise de l'antifouling Jotun et je carene tous les 2 ans, c'est vrai je suis dans une mer chaude la med!!
@lerelou la Royale n'utilise pas de fuel lourd quant aux substances toxiques, guère moins que le paquebot qui est mouillé à Villefranche....

20 jan. 2019

Ça c'est sûr les paquebots font pas mieux... pour ma culture , ca tourne à quoi un navire de guerre ? nucléaire of course... et ? Kérosène ?

20 jan. 2019

j'ai bien écrit: "étaient" ce qui ne veut pas dire qu'ils ne le font plus. LA tradition ...

20 jan. 2019

Les émissions de CO2 :
Porte containers : 10 à 32 g par tonne par km
Camion : 92 g par tonne par km
Avion : 140 g par passage par km

20 jan. 2019

@setubal,
"En résumé : Le transport maritime est un secteur polluant. L’essentiel du problème porte sur les émissions de particules fines et de gaz NOx et SOx. Le chiffre de 16 cargos polluant autant que toutes les voitures du monde était un chiffre théorique selon les normes de 2009 et ne concernait que la pollution aux oxydes de soufre."
www.liberation.fr[...]1677714
Bien cordialement

21 jan. 2019

Bonjour @setubal, bonjour à toutes et à tous,
Oui au plan de la connaissance scientifique mais pour les terriens revenons en aux enjeux de la COP 21 assorti d'un plan d'accompagnement des pays émergents et des solutions humaines pour les migrants climatiques.
Bien cordialement

21 jan. 201921 jan. 2019

c'est lié, la démarche française est inspirée de débats de la COP 21 et la France a lancé une démarche pour la réduction de la pollution des navires marchands.

Le TRANSMIN Français est mobilisé, des démarches ont été effectuées mondialement, mais bien sur faut convaincre et c'est difficile. Encore un long chemin avant que ça devienne une instruction de l'OMI

21 jan. 2019

à Ajaccio c'est une catastrophe aussi, les ponts noircis et gras ne sont pas le plus grave mais ces nuages dégoutants font des allez retour avec les brises l'été et en fait stagnent, une etude de la Dreal avait montré une carte qui donnait une pollution sérieuse

20 jan. 2019
21 jan. 2019

que vient foutre la COP 21 dans ce fil ? la première des politesse est de ne pas polluer les fils par des hors sujets .

21 jan. 2019

Ca , je ne le sais pas . Par contre je sais que les marseillais dont les habitants de l ' Estaque se sont fortement mobilisés contre la pollution engendrée par les paquebots dont certains sont geants . On en a entendu parler dans toute la presse , écrite ou télévisée . Il serait agréable d' entendre que pour une fois les citoyens de base ont été pris en compte

20 jan. 201920 jan. 2019

Je suis quand même très surpris que les matelots d'H&O de la région de Marseille ignorent complètement que leur port est le premier en France (et en Méditerranée) à avoir investi pour équiper plusieurs postes du port de commerce de branchements électriques.

Vous saurez presque tout : les postes 68, 70 et 74 du port maritime sont alimentés en 11 kV/50Hz, courant fourni par le port ensuite transformé à bord des navires en 380V.

Ces postes sont régulièrement utilisés par les 3 Ropax de la Meridionale depuis … 2015.

Côté navires, ceux équipés pour se connecter sont le Kalliste, le Girolata et le Piana.

Les 2 premiers ont été transformés au CNM de Marseille.
Le coût pour le Kalliste : 1,5 million €.
Coût de ces emplacements pour le port : 1,7 million €.

Ces trois navires représentent à eux seuls : 500 escales/an et une consommation de 2150 tonnes de carburant utilisées généralement la nuit à quai.

Il y a un autre projet en cours pour les navires de croisières pour un coût de 4,4 million€.

PS : ces infos sont celles de l'état de l'art en janvier 2017. Elles datent donc de 2 ans et j'ai la flemme d'actualiser.

24 jan. 201924 jan. 2019

Tiens
www.ecologique-solidaire.gouv.fr[...]itation

Qualité de l’air en Méditerranée : la France poursuit son action en faveur d’une zone internationale de limitation de la pollution des navires (ECA)
Partager Tweeter Publier Imprimer
Le Vendredi 18 janvier 2019
A l’occasion de la présentation aujourd’hui à Marseille du rapport évaluant le bénéfice d’une réglementation plus stricte sur les émissions des navires, François De Rugy et Elisabeth Borne annoncent la volonté de la France de mettre en place une zone internationale de limitation de la pollution des navires (ECA) à l’échelle de la Méditerranée afin de réduire la pollution atmosphérique du secteur maritime.
La pollution de l’air issue des navires nuit à l’environnement et à la santé des habitants du littoral. La densité du trafic maritime et de la population en Méditerranée en font un enjeu majeur pour les pays de cette région. A Marseille par exemple, les émissions de polluants atmosphériques liées au transport maritime représentent 20% des émissions d’oxydes d’azote, 70% des émissions d’oxydes de soufre, et 2% des émissions primaires de particules fines (PM10).

La France est très mobilisée pour faire évoluer la réglementation au niveau international et pour soutenir le déploiement des propulsions propres. L’abaissement de la norme de souffre, qui passera de 3,5% à 0,5% à l’horizon 2020, va constituer à ce titre un progrès majeur. Les acteurs du transport maritime sont mobilisés pour accomplir cette transition et participer à la lutte contre la pollution atmosphérique.

En février 2016, les pays méditerranéens ont adopté une stratégie régionale de prévention et de lutte contre la pollution marine provenant des navires. Elle prévoit notamment la possibilité de faire reconnaître la mer Méditerranée comme une zone de réduction des émissions (zone ECA), à l’instar des zones qui existent déjà dans la Manche ou en Mer du Nord. Une telle zone permet d’introduire une réglementation plus stricte en matière d’émissions des navires, avec une norme de soufre abaissée à 0,1% dans cet espace.

Alors que la création d’une telle zone doit s’appuyer sur une étude d’impact, la France a pris l’initiative de la réalisation de cette étude couvrant l’ensemble de la Méditerranée et dont les résultats viennent d’être présentés.

Pilotée par l’Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques), associé avec le Citepa (Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique) et le Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), l’étude montre les bénéfices d’une zone ECA sur la réduction de la pollution atmosphérique et sur la santé publique. Elle permettrait ainsi d’éviter près de 1730 morts prématurées chaque année sur l’ensemble du bassin méditerranéen.

« Cette étude est une étape importante sur la voie d’une zone ECA. L’objectif pour la France est maintenant de formuler, à l’horizon 2020, une proposition commune avec les pays méditerranéens auprès de l’Organisation maritime internationale. La qualité de l’air c’est aussi l’affaire du transport maritime comme de tous les modes de transports » ont indiqué les ministres.

Qualité de l’air en Méditerranée : la France poursuit son action en faveur d’une zone internationale de limitation de la pollution des navires (ECA)
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Le Vendredi 18 janvier 2019
A l’occasion de la présentation aujourd’hui à Marseille du rapport évaluant le bénéfice d’une réglementation plus stricte sur les émissions des navires, François De Rugy et Elisabeth Borne annoncent la volonté de la France de mettre en place une zone internationale de limitation de la pollution des navires (ECA) à l’échelle de la Méditerranée afin de réduire la pollution atmosphérique du secteur maritime.
La pollution de l’air issue des navires nuit à l’environnement et à la santé des habitants du littoral. La densité du trafic maritime et de la population en Méditerranée en font un enjeu majeur pour les pays de cette région. A Marseille par exemple, les émissions de polluants atmosphériques liées au transport maritime représentent 20% des émissions d’oxydes d’azote, 70% des émissions d’oxydes de soufre, et 2% des émissions primaires de particules fines (PM10).

La France est très mobilisée pour faire évoluer la réglementation au niveau international et pour soutenir le déploiement des propulsions propres. L’abaissement de la norme de souffre, qui passera de 3,5% à 0,5% à l’horizon 2020, va constituer à ce titre un progrès majeur. Les acteurs du transport maritime sont mobilisés pour accomplir cette transition et participer à la lutte contre la pollution atmosphérique.

En février 2016, les pays méditerranéens ont adopté une stratégie régionale de prévention et de lutte contre la pollution marine provenant des navires. Elle prévoit notamment la possibilité de faire reconnaître la mer Méditerranée comme une zone de réduction des émissions (zone ECA), à l’instar des zones qui existent déjà dans la Manche ou en Mer du Nord. Une telle zone permet d’introduire une réglementation plus stricte en matière d’émissions des navires, avec une norme de soufre abaissée à 0,1% dans cet espace.

Alors que la création d’une telle zone doit s’appuyer sur une étude d’impact, la France a pris l’initiative de la réalisation de cette étude couvrant l’ensemble de la Méditerranée et dont les résultats viennent d’être présentés.

Pilotée par l’Ineris (Institut national de l’environnement industriel et des risques), associé avec le Citepa (Centre interprofessionnel technique d'études de la pollution atmosphérique) et le Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), l’étude montre les bénéfices d’une zone ECA sur la réduction de la pollution atmosphérique et sur la santé publique. Elle permettrait ainsi d’éviter près de 1730 morts prématurées chaque année sur l’ensemble du bassin méditerranéen.

« Cette étude est une étape importante sur la voie d’une zone ECA. L’objectif pour la France est maintenant de formuler, à l’horizon 2020, une proposition commune avec les pays méditerranéens auprès de l’Organisation maritime internationale. La qualité de l’air c’est aussi l’affaire du transport maritime comme de tous les modes de transports » ont indiqué les ministres.

25 jan. 2019

Bonjour @jeanlittlewing, bonjour à toutes et à tous,
La volonté française est démontrée mais J'espère que les conclusions de l'étude d'impact payée, me semble t-il, par la France et mise en oeuvre par des structures, apparemment, françaises uniquement ne seront pas contestées par l'OMI. Les densités élevées des populations des pays bordant la méditerranée devraient être un critère important au même titre que ja densité du trafic ou la fragilité de l'environnement côtier,...
Bien cordialement

25 jan. 2019

Ce sont nos voisins italiens et espagnols qui vont etre contents Genes et Barcelone vont récupérer les bateaux que les français ne voudront pas accueillir
La france et les français sont tellement riches que nous n avons pas besoin de ca

25 jan. 2019

ça s’accompagne d'une démarche mondiale pour faire bouger l'OMI, c'est compliqué le multilatéralisme

25 jan. 2019

Ça m’étonnerait que les croisiéristes renoncent à la côte d’Azur...

26 jan. 2019

Bonjour @jeanlittlewing, bonjour à toutes et à tous,
Magnifique que des bonnes intentions sans coercitions pour les récalcitrants.
Bien cordialement

26 jan. 201926 jan. 2019

On est pas seul en Europe ni dans le Monde et meme si on pouvait l etre on ne pèserait pas et on serait boycotté par les compagnies etrangeres resterait la CMA CGM et basta
Imaginons que toi tu sois exemplaire dans ta rue, panneaux solaires eolienne toilettes seches et whatever
Ça sert à quoi si tes voisins se chauffent au fuel ( c pas leur faute c comme ça) !
:non: :scie: :doc:

25 jan. 2019

La démarche entreprise par le ministère des transports 'appelle la démarche "sails" je ne retrouve plus le lien

25 jan. 201916 juin 2020
26 jan. 2019

La France a au moins le mérite d’essayer quelque chose et ce texte en trois langues remis et soutenu dans le monde entier par le réseau diplomatique permettra je l espere de convaincre l’OMI de durcir les normes, un seul pays c bien mais insuffisant

27 jan. 2019

Bonjour jeanlittlewing, bonjour à toutes et à tous,
Le jour où l'OMI pourra imposer des taux de fret différents aux transporteurs maritimes selon les pollutions des navires dans l'air et dans l'eau les BE innoveront et calculerons des retours sur investissements, la clef pour investir car les prix de location des bateaux aux armateurs augmenteront et le prix du jean, entre autres, aussi évidemment. Mais des projets de fabrication locale de jeans sur des chaines automatisées, avec très peu de personnel, hélas, verront le jour.
Bien cordialement

27 jan. 201927 jan. 2019

A Jeanlittlewing un post plus haut :
Ca sert à deux choses ( outre ton bien être) :
- Les petites gouttes font les grandes rivières
- Ça sert d'exemple pour tes voisins qui, sans doute, ne connaissent pas bien tout ces " nouveaux " trucs. Combien de fois j'ai entendu " Ah bon, c'est possible? "... :tesur:

25 jan. 2019

@ solent Marseille c est pas la cote d azur

25 jan. 2019

La France veux durcir ..........Elle veux en faire des choses la France !!!

25 jan. 2019

Elle essaye mais il faut convaincre c dur

27 jan. 2019

@Yves,
"Et je n'imagine pas du tout un port comme Southampton dépenser de l'argent pour aménager des posts tout en laissant les armateurs décider de les utiliser ou pas selon leur bon vouloir".

C'est pourtant ce qu'il se passe sur les avions de CDG, tout les postes avions sont électrifiés, long combat CHSCT pour permettre aux travailleurs de piste de conserver leurs oreilles abimées a cause des GPU toujours en route.
Les armateurs, les pilotes et ADP n'en n'ont rien a foutre quant aux arguments coercitifs, tu vois ce que je veux dire...
Résultats, les avions en escale de 3/4 d'heure laisse leur GPU en route.
Je vous raconte pas le bruit et la pollution.

(GPU, Groupe power unit, en principe, petit réacteur électrogène dessous la dérive.)

27 jan. 2019

En effet, obligatoire depuis 2012.
www.legifrance.gouv.fr[...]exte.do

Et le rapport de l'Ademe n'est pas très loquace sur le bilan (chapitre 5.2) :
www.ademe.fr[...]018.pdf

27 jan. 2019

Si tu supportes le bruit des réacteurs tu ne travailles pas dans un aéroport tu travailles pas dans un aéroport
si tu supportes pas la chaleur tu n es pas cuisinier
si tu supportes pas le chant du coq tu n habites pas la campagne
si tu supportes pas la mer tu n es pas marins

les français ont peur de tout presque tous ambitionnant de finir en ehpad atteint par elzheimer c est super

27 jan. 2019

c'est sur qu'avec ce genre de raisonnement , on serait toujours à l'âge de pierre.

27 jan. 2019

Parce que tu appelles ça un raisonnement ?
Pour moi c'est plutôt un résonnement (de fond de culotte) !

27 jan. 2019

C'est sûr, si tout le monde avait la possibilité de choisir son boulot, ça serait tout de suite plus facile!
:reflechi:

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