Connaissez-vous des expressions maritimes pour caractériser la bêtise ?

Il existe des expressions pour caractériser la bêtise … ou dit plus crument, la connerie.
Certaines sont très imagées et les utiliser quand on peste contre quelqu’un (dans son dos, c’est moins risqué !), ça fait du bien.

Voici celles qui me viennent à l’esprit :
- Bête comme une oie.
- Bête à manger du foin … et à croire que c’est des nouilles.
- Bête à coucher dehors … avec un billet de logement.
(Les armées en campagne imposaient souvent le logement chez l’habitant. Les soldats se voyaient alors attribuer un billet de logement mais les plus bêtes étaient probablement incapable de trouver la bonne adresse … voir aussi les articles « à coucher dehors » et « billet de logement » sur Wikipédia qui donnent un contexte un peu différent).
- Bête comme ses pieds.
- Con comme un balais.
- Con comme manche à couille.

Ou encore :
- il n’a pas inventé le fil à couper le beurre,
- il n’a pas inventé la poudre,
- il n’a pas inventé l’eau chaude,
- il n’a pas inventé l’eau tiède (c’est plus complexe en effet qu’inventer l’eau chaude car cela suppose un mélange eau chaude eau froide – je précise cela pour les mal-comprenant … mais il n’y en a pas sur ce forum).
(Les Hisse-et-Ho-euses apprécieront le fait que je n’ai pas écrit « elle n’a pas inventé … » , et pourtant, parfois …)

Mais voilà, je n’ai dans mon répertoire aucune expression proprement maritime, ou plus strictement voileuse.

Pouvez-vous m’éclairer ?

L'équipage
30 déc. 2020
30 déc. 2020

Zut ... j'ai fait une faute d'orthographe : " ... étaient .... incapableS ....".
Il y en a peut-être d'autres.

30 déc. 2020

Il y a " éléphant", pour désigner un débutant, mais c'est plus pour souligner l'incompétence que la bêtise .
( Quoique souvent, les deux vont de pair... )

30 déc. 2020

tout le monde sait que ceux qui vont sur l'eau ne sont pas bêtes ,il n'y a qu'à voir les manœuvres
dans les ports en été pour s'en convaincre .
mais acheter un bato ce n'est pas de la bêtise c'est de la démence .
et malheureusement pour certains c'est incurable .
et tout réfléchi je crois en faire partie et depuis longtemps .
donc pour moi c'est cuit
Alain

30 déc. 2020

Triple buse !!!

30 déc. 2020

Dans le registre nautique ou maritime, "être un bulot" est gentiment employé pour désigner un idiot, un imbécile.
Avoir le QI d'une huître est aussi intéressant... et de saison.
Un "pousse-pied" est une personne... disons collante, profiteuse. S'utilise à l'encontre de ceux qui ne connaissent pas cette charmante bestiole.

26 jan. 2021

j'ai récemment entendu : " il est con comme un but. Normal il est pêcheur"
et d une pierre 2 coups...

26 jan. 2021

con comme UN BUT. Satanée correction automatique !

27 jan. 2021

Un sac de sable : un équipier pas très doué

30 déc. 2020

Un vrai manchot......pour désigner quelqu'un qui ne sait pas ou ne veut pas se servir de ses mains.

Des yeux de Merlan frit ou de hareng de six nuits

30 déc. 2020

_hareng de six nuits _ ça, je ne connaissais pas !

30 déc. 2020

C'est une expression qui se dit dans le pays de caux. Etretat, Fécamp, Dieppe

30 déc. 202030 déc. 2020

Faut voir la gueule du hareng après 6 nuits.🚑

30 déc. 2020

Hello,

Il me semble évident de devoir ajouter à ce glossaire:
- Bachibouzouk
- Moule à gaufre
- Mille millions de mille sabords
- Zouave interplanétaire
- Mérinos mal peignés
- Cyrano à quatre pattes
- Bougres de faux jetons à la sauce tartare
- Coloquinte à la graisse de hérisson.
- Ectoplasme à roulettes
qui sont surement d'authentiques injures nautiques puisque ce sont les préférées du Capitaine Haddock.
Indiscutablement un vrai marin. Notre modèle à tous.

Amicalement.
FX

30 déc. 2020

Tu m'as précédée... c'est ce que j'ai pensé en lisant le lancement du fil !

30 déc. 2020

Bon Dieu ! Mais c'est bien sûr !

31 déc. 2020

t'as été plus rapide que moi ;)

03 fév. 2021

Dito,
Mais il y a aussi... Sapajou, ornithorinque et meme jocrisse, qui viennent en memoire de mes lectures passees.

30 déc. 2020

"Tête de gobie" se dit à Marseille, d'un jeune (ou moins jeune) qui a l'air béhat et/ou légèrement niais. Des grands yeux tout ronds et une machoîre un peu tombante.
C'est d'usage commun, pas seulement chez les marins.
L'accent est sur le "GObie", et contribue à l'impact de l'insulte qui, somme toute, reste relativement affectueuse le plus souvent.

Disclaimer : je ne suis pas marseillais d'origine donc certaines nuances peuvent m'échapper.

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30 déc. 2020

Marin d’eau douce😎

30 déc. 2020

Et aussi, pd comme un foc, car « les imbéciles » écrivent phoque...

30 déc. 2020

Intéressant... et en quoi un foc serait-il pédéraste ?

30 déc. 2020

et même un phoque, Flora ;-)

(pour info, PD = gay, homo, alors que pédéraste = pédophile – la nuance est énorme)

30 déc. 2020

Je sais parfaitement ce que signifie PD... merci Catherine !
Ce sont ceux qui emploient PD comme insulte vis-à-vis d'un homo qui ne le savent pas...

Ma question s'adressait à ellargo.

30 déc. 2020

Je reprends simplement une expression de Renaud dans sa chanson : Paroles en cloque :

www.nostalgie.fr[...]0147277

et dans laquelle, il est dit que le phoque en serait... pédéraste ?!

30 déc. 2020

Parce que le foc caresse le grand mat.
Et c'est bien le foc dont il s'agit dans l'expression, pas du tout du phoque.

30 déc. 2020

Dans la vieille marine à voile, les voiles carrées ne prenaient le vent que d'un coté. Au contraire du foc, seule voile de l'époque qui en fonction de l'allure le prenait d'un coté ou de l'autre.

L'imagination des matelots ayant fait le reste...

21 jan. 2021

le foc est une voile qui a tendance a prendre le vent par l'arrière

30 déc. 2020

Nous sommes bien d'accord que nous parlons de bêtise et que Ellargo s'est laissé distraire car ce fil ne concerne pas du tout le fait de marcher à la voile et à la vapeur. Avec respect quelles que soient donc vos orientations et amicalement.

30 déc. 2020

Plate comme une limande...pardon.

30 déc. 202030 déc. 2020

Thon,
morue,
maquereau
requin,
mais pas dans le sujet de la bêtise.

30 déc. 2020

Oui effectivement, j'ai tout faux.

30 déc. 2020

Du temps de la vache folle, on parlait du requin marteau !

30 déc. 2020

Accoster à l'anglaise, quand tu casses du bois ! 👹

30 déc. 2020

Empannage a la chinoise

30 déc. 202030 déc. 2020

Un bat-la-lame, c’est un matelot lambin et mollasson. Celui-là il ne faut pas le mettre à la barre ou aux empointures. On peut aussi l’appeler cabillot.
Contrairement à un bat-la-houle ou un tosse-mer qui est un valeureux marin.

Estrasse ou fatras, c’est un bon à rien qui gêne tout le monde.

Pelletas ou pelta est le surnom donné par les marins aux longs cours aux terre-neuvas, supposés être plus pêcheurs que marins.

Le bouchon-gras est le mécanicien, toujours sale.

Le pharmacien ou le buraliste est celui qui, à bord, ne s’intéresse pas aux choses de la mer.

Le négociant est le fénéant qui gagne de l’argent en ne faisant rien.

Les marins méprisent les soldats, les écrevisses de rempart ou, pire encore, les soldats du pape.

Ils méprisent aussi les terriens ou culs-terreux.

Un cocher de fiacre est un paresseux et hautain. C’est un grave insulte.
Un gouin, une crasse de meule ou un culot de gargousse est un moins que rien.

Un gabier de poulaine est un matelot qui vole et trahit ses compagnons. On l’expulse du poste d’équipage et il doit se réfugier aux chiottes.

Une rouille ou une raille est un marin lâche, qui fait des coups tordus tout en étant rancunier.

Le rat de cale ou le rat de quai est un personnage louche et dangereux.

Mais l’insulte suprême est figure.

Un officier maniéré et peu compétent est un gants-jaunes.

30 déc. 2020

"crasse de meule " etait un adjectif courant dans ma boite qui voulait dire bon a rien pas fiable

31 déc. 2020

Excellent, Lulu2 !

31 déc. 2020

Rendons à César...

escales.wordpress.com[...]naires/

• Le buraliste n’est pas un tenancier de bureau de tabac. C’est un type qui ne fait pas grand chose, un paresseux assis sur son rond de cuir et qui guette la pendule. Il somnole dans son bureau. Traiter un matelot de buraliste est assez méchant. Un sacré buraliste, celui-là.
• Le cocher de fiacre est un peu du même genre, la morgue en plus. Juché sur son véhicule, en uniforme, il regarde son monde de haut alors qu’il n’a d’autre boulot que tenir les rennes et agiter son fouet. C’est le feignant aussi suffisant qu’insuffisant. Pour le marin, il inspire le mépris. Un cocher de fiacre que tu es !
• Le négociant est l’image-même de celui qui ne fout rien ; pire que le buraliste. Il se contente de vendre d’une main ce qu’il a acheté de l’autre. C’est un intermédiaire qui laisse à d’autres le soin de faire le vrai travail. Une sorte de parasite, quoi. Va donc, eh, négociant !
• Le pharmacien, lui, brille par son incompétence. C’est un incapable qui se trompe sans arrêt, est inutile, et ne rend service à personne. Tout comme le potard du village dont les remèdes sont d’une inefficacité reconnue. Un nul… Dis donc, c’est un vrai pharmacien le second…
• Le soldat est un personnage à part. Depuis toujours, le marin nourrit une aversion pour ce métier qu’il déteste, et auquel il a donné plusieurs surnoms : porteur de fusil, biffin, écrevisse de remparts, mousquetaire. Traiter quelqu’un de soldat est un affront grave qui peut s’alourdir encore en soldat du pape qui, comme chacun sait, n’est même pas un soldat… T’es rien d’autre qu’un soldat du pape, gast !
Le marin d’autrefois usait savamment de ces nuances, qu’il appliquait à chaque situation ou interlocuteur.

la suite sur :
escales.wordpress.com[...]rieres/

Il est très offensant de traiter un matelot de culot de gargousse, relief poussiéreux, et sale qu’on retire du canon après la décharge. La victime est désignée comme malpropre, souillon, mal dégrossie. Dans le même registre on relève aussi crasse de meule, le destinataire est comparé à rien de moins que ce résidu répugnant qu’on trouve au fond des auges de meules à affûter. L’intéressé y voit toujours une insulte grave, il va se fâcher.
On change de registre avec rouille ou raille qui qualifie le marin à l’esprit tordu, le cœur vil, c’est un lâche, un rancunier, un perfide qui rumine sa vengeance et ronge son frein comme la rouille ronge les ferrures. Rouille est délibérément blessant, ce n’est pas un mot qu’on lance sans y réfléchir, il faut prendre quelques précautions, on ne sait jamais.
Jusque-là, on ne risque pas trop la bagarre, mais si vous le traitez de gabier de poulaine, qui signifie littéralement gabier de chiottes, il y a un risque. L’attribut est dur, il s’applique à celui qui a volé les autres matelots ; c’est un larron, mais aussi un salopard qui a trahi ses compagnons. Les matelots l’expulsent du poste d’équipage, et l’envoient se réfugier dans les cabinets d’aisance. Il est banni, d’où son surnom nauséabond. Ça va cogner…
Plus graves, les injures impliquant le reniement, le non-respect de la parole donnée ou l’accusation de meurtre : les face de Judas, renégat, figure marquent la limite du supportable, l’interlocuteur n’a pas intérêt à aller plus loin, sinon, c’est le marron en pleine poire.
Avec rat de cave, rat de cale, rat de quai, on atteint la limite du supportable. Ces délicats vocables désignent un personnage très louche, dangereux, toujours à l’affût d’un mauvais coup. Un rôdeur qui n’hésite pas à jouer du couteau. Les marins détestent les rats, qui sont des parasites, sournois, porteurs de maladies. C’est pourquoi, quand la discussion s’envenime et qu’un matelot en traite un autre de rat (de cave, quai ou cave), planquez-vous, il y a du pugilat dans l’air…
La bagarre éclatera sûrement si le rat de quai réplique par failli chien! failli bouchon gras ! ou failli n’importe quoi ! ; c’est failli qui est intolérable. Failli, c’est celui qui ne tient ni son rôle ni ses engagements, celui qui est en banqueroute morale, professionnelle, humaine… un pauvre type qui ne mérite pas le pain qu’il mange. Failli ! Mot terrible, définitif, meurtrier qu’on ne peut pardonner. Une fois le mot lâché, les couteaux brillent sous la lune…
Porthos

31 déc. 202031 déc. 2020

J’avais puisé une grande partie de ces éléments dans un intéressant petit livre « Des mots de voile et de vent . Un langage disparu » de Maurice Duron (mais je n’avais pas fait un copier-coller, moi 😜).

Sans doute une source commune ?

31 déc. 2020

Une source commune, certainement. (mais que j'ai citée, moi :-)

De quand date l'édition du bouquin ?

01 jan. 202101 jan. 2021

Une des sources communes est probablement : Us et Coutumes à Bord des Longs Courriers du capitaine Armand Hayet, cité par C. DROÜIN dans une publication de l’association des pêcheurs plaisanciers de Rothéneuf dont voici le lien :

www.appr35.fr[...]es.html

01 jan. 2021

Faby, dixit Zézette, celui qui somnole dans un bureau est un burelier et non un buraliste !

02 jan. 2021

Source Armand Hayet ; un peu passé quand même tout ça ;-)
Cdlt
JM

30 déc. 2020

Vous nous épatez Lulu2, ça c'est de la culture !
Si l'on devine l'origine de "cocher de fiacre", de "culot de gargousse", de "terrien" ou "cul terreux", ... il est difficile de comprendre l'origine de "figure". Une explication ?

30 déc. 202030 déc. 2020

Là je ne sais pas.

Peut-être par référence à la figure de proue. Bien qu’elle soit plutôt dans les bonnes grâces de l’équipage en général, elle reste un ornement peu utile pour les matelots qui sont des êtres pragmatiques.

Ou alors une figure n’est qu’une image, pas un personnage réel. Une sorte d’ectoplasme ou d’hologramme.

Mais ce ne sont là que des hypothèses personnelle.

28 jan. 202128 jan. 2021

"US ET COUTUMES A BORD DES LONGS COURRIERS" de Armand Hayet, éditions Denoël, achevé d'imprimer le 12 septembre 1969, page 55:
Mais devant "Figure!", j'amène pavillon.
Car je n'ai pu obtenir d'aucun érudit de la dunette ou du gaillard d'avant, y compris mon maître Yves Larbarc'h, d'aucun dictionnaire ou glossaire nautique le plus petit semblant d'explications quant aux raisons qui ont fait de ce mot embarqué une des plus révoltantes injures dont un matelot puisse cingler un homme.
Donc appel aux rats de bibliothèques!

30 déc. 2020

Con comme une bi..e . Je vous laisse mettre un ou deux T 😁

30 déc. 2020

@ zoom : comme une bielle ? 😁

30 déc. 2020

" chien de vase" : l'équivalent du traîne-savate sur le littoral

30 déc. 2020

Tête de nœud, encore faut il savoir de quel nœud il s'agit :-)

30 déc. 2020

ma préférée: figure de proue.

30 déc. 2020

Il faut aussi parler des "tapas", mot masculin désignant le navigo à qui il manque toujours un outil.
(t'as pas une clef de 10 ? T'as pas une mince-étau ?) etc... Etc...

31 déc. 2020

membre d'h&o
alain 😂

31 déc. 2020

Face à un stagiaire pénible, tu peux lui donner pour instruction "d'écoper le puit de dérive". Tu devrais être tranquille pour un bon moment !

31 déc. 2020

C'est pas "remplir le puits de dérive" plutôt ? 😉

31 déc. 2020

Ou de lui demander la clef pour remonter le baromètre

22 jan. 2021

La clé pour remonter le baromètre :

31 déc. 2020

C’est de la même veine que demander d’aller chercher le marteau à bomber le verre, le manche de la bisaigüe, la lime à en remettre, la clé du champ de tir, etc.

31 déc. 2020

+1 Alain !
Oups ...
:-)

31 déc. 2020

Plein de bonne volontée, mais peu de moyens
Des idées, mais mal arrimées

31 déc. 2020

Je n'ai pas vu, "avoir le QI d'une huitre"...

31 déc. 2020

@sylvz1, je l'ai donné plus haut, tant pis pour toi... !
:-)

31 déc. 2020

Vu...😌😉

31 déc. 2020

C.. comme une bastaque mal choquée. En vigueur sur les côtres des Glenans, la Sereine et le Glénan.Il y a... un certain temps.

31 déc. 2020

Je me souvient pour mon stage en entreprise du "Tristan, va me chercher la pompe pour gonfler l'hélice!" et de lui rétorquer "tu veut pas l’échelle de Beaufort avec?" y mon plus trop embêter avec leurs conneries ensuite :-)

06 jan. 2021

Sauf que "la pompe pour gonfler l'hélice" existait bien !!!

Il y avait dans les années 30' une membrane dans le cône d'hélice des avions performants pour mettre la pression, afin de décoller au petit pas puis ensuite passer au grand pas.

06 jan. 202106 jan. 2021
06 jan. 2021

A ouaiiiis (reconnais que pour un chalutier traditionnels ça fais bizarre)

31 déc. 2020

Un bec de moule
Une tête de tangon mal brassé

:-)

01 jan. 2021

Une gueule à vent debout quoi...

09 jan. 202109 jan. 2021

« Chéri tu montes faire un p'tit carton / Pour toi ce sera seulement quarante ronds / Quarante sous pour une gueule à vent d'bout / Comme la tienne... fumier d'baleine» 😉

31 déc. 2020

l'éternel "Marin comme un fer a repasser" pour les gros yacht trapus et qui tiennent pas la mer comme un clou

31 déc. 2020

Un gars un bien rougeaud est parfois qualifié de gueule de fanal bâbord.

31 déc. 2020

un plus con que lui dans une vitrine il la casse pour prendre ça place

08 jan. 2021

"bande de cons à toi tout seul" expression émise par un éminent permanent de la célèbre école à l'intention d'un barreur à l'occasion d'un virement de bord vent debout manqué d'un "Chose"se terminant par une magnifique marche arrière dans le lagon devant Fort-Cigogne.

"se faire avoir comme un tacaud dans la vase"

21 jan. 2021

Du même: "congre debout !" (contrepèterie)

08 jan. 2021

Dans le pays de caux, on dit de celui qui ne cherche rien et qui ne trouve donc pas, un peu le neuneu de service

''t'irais à Dieppe que tu n'y trouverais pas un galet ''.

08 jan. 2021

Chez moi: ‘face de caisse de sèches’
Et toc !

21 jan. 2021

Frais comme un hareng qui a 15 jours de sel (au lendemain d'une virée dans les bars)
Avoir des yeux de merlan frit.
J'aime bien Figure de proue !

21 jan. 2021

quand j'ai fais l'armée a Issoire, on avait on juteux qui nous disait qu'as tu fais cette nuit, tu as "les yeux en couilles d'hirondelle". C'était l'adjudant chef Cloup qu'il s'appelait, véridique.

22 jan. 2021

Les yeux en vagin de poule ou en trou de pine et les paupières en store d'hôtel.

22 jan. 202122 jan. 2021

Avoir une gueule de raie !

22 jan. 2021

Gueule de morue séchée !

22 jan. 2021

Je dis souvent qu'essayer de convaincre un crétin qu'il a tort c'est comme pisser dans la mer en espérant qu'elle changera de couleur.

22 jan. 2021

a la pêche on traitait un bon a rien de "gueuse de mouillage"...

23 jan. 2021

"patient zéro de la connerie"

24 jan. 2021

En toute modestie, il m'en est venue une cet été.

On a déjà tous vu des oblades se jeter sur tout ce qu'on pouvait jeter par dessus bord au mouillage (de ce qui est jetable, bien sûr) : peau de saucisson, noyau d'olive et autres artéfacts qui, pour être biodégradables, peuvent pour certains difficilement être ingérés par ce poisson... curieux, dirons-nous.
Avec le beau-frère, on s'est même amusés à faire des paris sur ce qu'elles bouderaient. On n'a pas souvent gagné. Même l'harissa sortie du tube, elle se sont jetées dessus ! Bon, OK, pas longtemps.

C'est en allant faire mes besoins en nageant que m'est venue l'expression, après qu'un de ces poissons imbéciles se soit jeté voracement sur le produit nouvellement arrivé dans l'eau. Poursuivi par ses congénères et manifestement peu partageur, l'animal de taille respectable pour son espèce a fait demi-tour dans un violent coup de queue qui a eu pour effet de me renvoyer ce qui venait de sortir de mon arrière-train... dans la figure !

Est donc venue la locution : con comme une oblade.

08 fév. 2021

tu devrais les observer un peu plus ,met un bout de fil dans l'eau et tu vas voir, elle s'en vont de suite ,c'est un des poissons des plus difficile à pêcher en méditerranée.
les chiens aiment aussi la merde humaine et en plus ils viennent te lécher après ..
alain

26 jan. 2021

"est oco tè qu a baisé l aviron tordu"
= c'est encore toi qui a fait la connerie

02 fév. 2021

entendu souven.t
Qu'est ce qu'il est con .... il doit jouer au PSG

02 fév. 2021

belle expression pour marins d eaux troubles

04 fév. 2021

Il est pas au vent de la bouée celui la !

05 fév. 2021

Espèce de pine d huître

05 fév. 2021

PINE D'HUITRE IL A PAS D'ORGANEUUUUUU ;)

08 fév. 2021

je ne crois pas que ce soit nécessaire la france est avant dernière juste avant la roumanie concernant le concours européen de mathématique ...
alain

Cap Otway  australie

Phare du monde

  • 4.5 (33)

Cap Otway australie

2022