Vous mangeriez quoi dans votre radeau ???

Allez, supposons que vous fassiez naufrage, ce que je ne vous souhaite pas évidemment... Vous avez un radeau sans nourriture, mais comme vous êtes prévoyant vous avez aussi un bidon de survie, à jeter à l'eau en même temps que votre radeau...
Que mettriez vous comme nourriture dans ce bidon ??? Quelle est la nourriture la plus énergétique possible, mais aussi trouvable facilement, pas dans les stocks des commandos marines, auxquels peu d'entre nous ont accès, mais plutôt au supermarché du coin...
Du lait concentré ? Des barres de céréales ? Des biscuits d'apéros ?( avec l'apéro ?...)... Des idées ??? Un max de calories dans un minimum de place !!!
Y a t-il des sites internet où on peut se procurer des trucs types rations de survie hyper vitaminées ???

L'équipage
27 mai 2012
27 mai 2012

mon équipier

27 mai 2012

@ arnaud2906, prends plutôt une équipière, c'est + charnu et + tendre :star2:

27 mai 2012

pour de l'énergie pur, chocolat coca

27 mai 2012

Et un bideon d'eau de 60 l, avec 55 l d'eau dedans et de quoi pêcher.

27 mai 201227 mai 2012

.
Lait concentré sucré et biscuits apéro ne me semblent pas adequats dans ce cas : ça donne soif !
Dans mon container de survie, j'avais mis entre autres, un litre d'huile et plusieurs petites bouteilles plastique de jus de citron concentré stérilisé... pour accomoder le poisson cru ! Plus une flasque d'alcool fort (Cognac) pour un coup de fouet... Peu d'aliments, il y a déjà des rations très énergétiques dans la survie. Je pense qu'on doit avoir le temps d'attraper les trucs qu'on a en cours dans le coin cuisine ? Il me semble qu'il faut surtout y mettre du matériel de pêche en quantité.
:-)

27 mai 2012

Alccol a proscrire, coup de fouet suivi d'un bon coup bcp plus négatif. Courir dans la cuisine, le reflexe n'est pas tjs là, le bidon sur le pont et moins loin.

27 mai 2012

@ matelot@17724
Pour l'eau, bien sûr j'avais 2 x 20 l en jerricans, pas tout à fait pleins.
Un bidon de 60 l, perso je suis incapable de le soulever... d'ailleurs, ça existe ?
Quant au flasque d'alcool fort, je persiste, 25cl, soit quelques gorgées occasionnelles ça peut permettre de reprendre ses esprits dans certaines circonstances difficiles, il s'agit pas de se "b...... la gueule" !!!

27 mai 201227 mai 2012

des fruits secs: abricots et pommes ! :reflechi:

27 mai 2012

il faut commencer par le plus jeune il est plus tendre .
pour la boisson on recycle ...

avant je me fais limer les dens ten pointe .
alain

27 mai 2012
  • un peu de lecture: "jeune et yoga" "comment se faire des amis en 10 lecons" et tu oublies tes lunettes, comme ca tu mettras plus longtemps à déchiffrer.....
27 mai 2012

quand ma fille toute gamine me demandait : "Dis papa..on mange quoi?"......des clopinettes ...répondais-je....Alors là dans le cas présent..;c'est + que des clopinettes.... :-D

27 mai 2012

Combien de naufrages de bateaux de plaisance recensés se terminent dans la survie ?

  • par an en France
  • par an dans le Monde
  • en France en dix ans

Erdy

27 mai 2012

En dehors de la reflexion d'Erdemal, perso, j'ai jamais navigué avec un bidon de secours, ni même de bib. MN31, j'ai trouvé des bidons de 60 l, tu le fixe sur le pont, il ira tt seul a l'eau. Pour l'alcool, si tu tiens a ta flasque, pourquoi pas.

27 mai 2012

bonjour,
je crois beaucoup plus à la balise pour me faire récupérer avant de mourir de faim.

ceci dit, ma femme consomme 2 grammes de Nutella au mile en moyenne, soit 10 kilos par an (5.000 miles).

quand elle en achète un carton, elle se fait peur et en planque parfois dans le bidon sécu qui est au 2/3 vide.

avec 5 pots de 850 grammes, on a de quoi voir venir.

28 mai 2012

Un pot de 850g = 72h max.... Et le carton de 12 ne lui fait pas peur... Bien au contraire... Bref pas la (bonne) solution dans mon cas...

28 mai 2012

le premier et vrai probléme de la survie , n'est pas la nourriture , mais la boisson, au bout de deux jours, variable suivant temperature: deshydratation; pour l'alimentation, on peut tenir des semaines, en perdant du poids , voir grévistes de la faim, qui trichent parfois , buvant de l'eau sucrèe.

Donc de l'eau , oublie l'alcool dans ces conditions.

28 mai 2012

1 ne pas manger les premières 24h "rétrécissement de l'estomac"
2 donner les réserves à gérer a une seule personne sinon les portions ne seront jamais tenues.
3 pas d alcool car pour l assimiler le corps a besoin d'eau cela augmente la déshydratation
Uniquement des aliments lyophilisés et la plus grande quantité d'eau possible
3 de quoi se couvrir et se cacher du soleil c est le pire ennemi
Et pour ce qui pensent pécher du poisson ouvrez le kit de pèche qu’il y a dans un radeau ca fait peur a moins d un poisson suicidaire.....

28 mai 2012

:pouce: Exact!!!

28 mai 2012

Quelques liens utiles;
adventurefood.com[...]/fr/
www.cabac.net[...]/
www.cabac.net[...]cho.php
www.cabac.net[...]pas.php
www.journaldutrek.com[...]drates/
www.decathlon.fr[...]ydrates
Et pour assaisonner les produits de la pêche, apres quelques jours (le temps que la vie se fasse sous l'ombre du canot ou de la survie) => www.thedrinkshop.com[...]ail.php
+ le max d'eau et un desalinisateur solaire + bache pour recup d'eau de pluie...

28 mai 201228 mai 2012

Un test facile à faire :
- Vous prenez votre survie tout juste périmée, le contenu ne devrait logiquement pas encore l'être.
- vous la percutez au mouillage ou en bord de plage.
- vous vous installez dedans avec votre grab bag perso et y vivez les 5 à 7 jours suivant en vous imaginant que vous êtes au milieu de l'atlantique en dehors des routes maritimes (vue que en général on navigue loin des routes des cargos…) ...
A la fin des 7 jours, voir même avant si vous craquez, vous aurez une petite idée de ce qu'il faut mettre dans le grab bag et comment organiser votre survie...
Une variante pour ceux qui n’ont pas de survie périmé est de s’installer au bord d’une plage avec pour tout équipement une ou deux bâches pour simuler la survie, plus une reproduction de son contenu en nourriture, eau et outils divers…. plus votre grab bag…
Une règle vitale : NE JAMAIS manger si on ne peut pas boire….
Cela demande une certaine volonté… Et des nerfs…
@+
Alain
Ma-sacré totografe!!!!

28 mai 2012

C'est marrant.
Ca me rappelle un certain moment de ma vie entre le 2 et le 31 du mois... :jelaferme:

28 mai 2012

Dans mon bidon j'ai mis 1 gros pot de beurre de cacahuètes + à côté un jerrican de 10l mais j'ai aussi un petit dessal manuel.

28 mai 2012

Pour l'avoir pratiqué à plusieurs reprises au cours de rituels amérindien, l'organisme supporte sans aucun pb de passer 4 à 6 jours sans boire, (si abrité du soleil) quand à manger, c'est beaucoup plus....
alors effectivement: du déshydraté et un désaliniseur solaire
à savoir que si le sel donne soif, il retient aussi l'eau, donc prévient de la déshydratation.....

28 mai 201228 mai 2012

A relire, car toujours valable, "naufragé volontaire" d'Alain Bombard.

Ce que j'en avais retenu : faire des filets à plancton avec des bas : c'est bourré de vitamines C, boire modérément de l'eau de mer + du jus de poisson .

28 mai 2012

La question peut effectivement se poser pour ceux qui font des grandes traversées. Mais pour ceux qui naviguent à proximité des pays civilisés et qui seront très probablement secourus en moins de six heures après le déclenchement de leur balise, la priorité semble être de se tenir relativement au chaud ou de se soigner en cas de blessure, plutôt que bouffer.

Naturellement, des œufs au bacon et du muscadet, ça peut aider à tuer le temps ...
:mdr: :alavotre:

28 mai 2012

Livre de base: Survivre en milieu hostile de Xavier Maniguet (albin michel).
En 2°: SOS en MER de Pierre Spinelli Editions du Plaisancier
Naufragé Volontaire d'Alain Bombard. Ce livre est bien mais certaines affirmations antiphysiologiques concernant la ration de sel (Bombard l'a admis sur ses vieux jours) ont jeté on certain discrédit.
Fascicules de survie à l'usage des naufragés.
Les récits de vrais naufragés sont nombreux et instructifs
Il y a des records de Bligh commandant de la Bounty à l'exceptionnel périple transpacifique d'une famille australienne ou américaine qui a fait l'objet d'un film.
Le problème de base est très rapidement l'eau douce.
On meure de soif en moins d'une semaine.
(on peut aussi mourrir d'hyperhydratation)
Il y a le froid, on peut espérer une pèche, au sens large,
permettant de survivre. Les dessalinisateurs à membrane coutent cher.

Pour les bidons d'eau douce, penser à ne pas les remplir à fond pour ètre certain qu'ils puissent flotter.
Il y a les tenants de la survie active.

28 mai 2012

Le livre de base moi je l'ai trouvé dans mon radeau périmé. Vachement bien foutu.

Pour la bouffe, vu l'odeur horrible de plastoc à l'intérieur du radeau à la limite du supportable, ce sera surtout pour nourrir les poissons.

La percussion de ma survie il y a 3 semaines : voyage.prosper.free.fr[...]ie.html

28 mai 2012

Le naufrage en bord de nos cotes, n'est pas une garantie de secours rapide, pour preuve, le voilier coulé du coté irlande/England, 8 js de dérive quasi au milieu des cragos (voir V&V). Pour la balise, sur stw ou ici?), un voilier américain coulé au nord de madagascar, un avion américain a silloné la zone 8 js après (couple américain porté disparu, sur un voilier un peu fatigué = dixit le récit). Il vaut ce fier a soit, qu'au secours.¨Pour le test surn la plage, je n'y crois pas, il n'y a pas la dimension psychologique (si t'en a marre, tu vas au resto), idem pour Ko-lanta et consort (effet d'équipe, caméra, toubib etc).

28 mai 2012

J'ai dit volonté et nerfs... En réelle situation de survie, les faibles (ceux qui vont au resto) sont les premieres victimes... d'eux mêmes... Aprés tout est question des limites de chacun... Pour ceux qui veulent du réel, ils y a les stages commandos et les evasans adéquates pour les zombies...

28 mai 2012

"pour preuve, le voilier coulé du coté irlande/England, 8 js de dérive quasi au milieu des cragos (voir V&V)."

Peux tu donner des précisions que je ne connais pas.

28 mai 2012

Je ne me rappelle plus quand, mais cela a fait l'objet d'un récit. Coulé en mer d'Irlande, dérive de 8 js, avant d'être recuielli, attends pour avoir un hisséen de retour de pont, ou alors envoi un post!!! Internet ??

28 mai 2012

Barbatruc, pour info, j'ai vu un couple qui a hésitaient pendant 2 ans (au moins, taeau 'Y...') avant de partir de Rocherfort, et après, qu'est-ce que je vois, sur TF1, les mêmes faire des stages de survie en guyane...

28 mai 2012

Un des mes potes de ponton (un nz) m’a raconté une mésaventure qui lui était arrivé il y a 6 ans, avec son voilier de 30 pieds assez ancien en polyester à déplacement lourd et quille longue, moteur inboard yanmar, batterie moteur et une batterie de service…
Il part au petit matin avec sa compagne pour rejoindre une île à environ 15 nautiques au sud du port de départ pour y rejoindre des bateaux amis et y passer le week-end… Pas de vent, moteur…
A mi parcours le coude d’échappement se casse, bouffé par la rouille…Grosse rentré d’eau, le temps qu’ils s’en rendent compte, pas mal d’eau dans le bateau, arrêt moteur, fermeture de la vanne du passe coque, seau pour monsieur et pompe à main pour madame…
Résultat les batteries noyés et le circuit électrique plein de court circuit… Plus de VHF, pas de balise de détresse et les voila qui dérive en tangentielle, vers l’ouest, par rapport à la route prévu, sud…
Le soir venu, leurs amis ont déclenché une alerte n’ayant pas de nouvelle… Les recherches ont été organisées sur la route estimée et vers l’est de cette route comme les courants connus de la région pouvaient y porter… Une douzaine de bateaux ont été croisé à distance variable, aucune réponse au 10 fusée lancés de jours, ni au 5 lancés de nuit… ils n’ont jamais vue un avion les survoler si ce n’est les liners en haute altitude… Aucun contact avec la VHF portable…
Ils avaient le plein de gasoil, 60 litres, 120 litres d’eau en réservoir, 30 litres en bouteilles, une large réserve de jus de raisin local et de jus de houblon et malt, et largement quoi faire ripaille pendant les 3 jours du week-end prévu et même plus… Frigo réduit à l’état de glacière…
Ils ont dérivé sans vent pendant 5 jours, juste un petit souffle le soir, mais pas de quoi gonfler correctement les voiles…
Au matin du sixième jour, la houle c’est levé, le ciel s’est assombri et finalement vers midi le vent est venu…
Ils ont mis un peu plus de 3 jours pour rentré au port en marchant bien avec un vent favorable…
Ils étaient un peu déshydratés et un peu mal nourrit car ils se sont (un peu trop) rationnés de peur de manquer de vivre et de boissons, et surtout à cause du stress due à l’angoisse d’après le médecin…
En arrivant au port ils avaient largement de quoi faire encore 3 ou 4 solide repas à bord, et de l’eau et autre liquide pour bien plus longtemps…
La VHF portable était défectueuse et sa porté très réduite…
J’ai vu le report de la trace des points du GPS portable du parcours… 320 miles de dérive en zig zag…
Ils s’en sont bien sortit, mais depuis, chaque fois qu’ils quittent le port ils ont à bord de quoi faire la navigation prévue avec les réserves d’usage, plus 15 jours de vivre et eau de réserve supplémentaire AU MINIMUM…
Et surtout ils étaient à bord d’un voilier en parfait état mis à part le moteur et l’électricité…
PAS A BORD D’UN RADEAU DE SURVIE

28 mai 2012

Guyanne, c'est bien, on ne risque pas de mourir de faim-la-bas... Plus de chance de survie dans une forêt que sur l’océan…
Mais je connais des gens qui sont capable de mourir de faim en étant enfermé dans un poulailler…
Par contre le fait de voyager dans certains pays, nous apprends à manger des choses que l’on ne mangerait pas autrement…..

01 juin 201201 juin 2012

Je reviens sur le sujet, j'ai en mémoire un voilier bois, un shpountz si je me souviens bien, retour d'Espagne, coulé au large Gascogne, et les deux gars sont plusieurs jours dans le radeau, peu d'eau et de bouffe, au milieu des cargos, le radeau qui part en morceau, et repecher juste à temps par... Je ne sais plus... Il y avais un fil ou un lien à partir d'un fil de H&O mais je ne le retrouve plus....

01 juin 201201 juin 2012

A propos, quelqu'un se souvient de l'info concernant les 2 plongeurs s'étant perdus et secourus au large par un voilier tout surpris d'entendre parler français au milieu du golfe ?
Je recherche désespérément l'article. Enfin mini article, hein, c'étaient des nageurs de combat.

02 juin 2012

Barbatruc, leur livre s'appelle "les miraculés de l'Atlantique".
Autre récit de naufrage passionnant : "seuls face à l'ouragan" (fastnet 79).

02 juin 2012

les survivants ...?

03 juin 2012

Déjà un livre.... Il me semblait que cela datait de moins d'un an, ou guère plus, le schpountz coulé dans le golfe...????

Feu sur l'épi Dellon, à l'est de l'ancien Lazaret à Sète

Phare du monde

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Feu sur l'épi Dellon, à l'est de l'ancien Lazaret à Sète

2022