Vieillissement grément

On cite généralement la règle qui veut qu'il faut changer le gréement dormant d'un voilier tous les 10 ans. Les périodes où le voilier est démâté, pour l'hivernage par exemple, sont-elles à prendre en compte ? Autrement dit par exemple une année où le voilier est mâté 2 mois et démâté 10 mois compte-t-elle pour 1 an ou pour 1/6 d'année ou pour toute autre valeur intermédiaire?

L'équipage
15 déc. 2010
15 déc. 2010

La réponse juste
viendrait du mode de calcul de vétusté par l'expert en cas de sinistre.
La règle de 10 ans est un usage, non une règle ferme, et surtout fondé sur aucune vérité technique.

15 déc. 2010

.
la "règle" des 10 ans est surtout là par ce que les assurances souvent ne couvrent plus si le gréement dormant à passé 10 ans.

Maintenant on sait qu'en vieillissant l'inox devient cassant. Après dans la réalité des fois ca casse avant les 10 ans, des fois bien après, des fois jamais.

15 déc. 2010

ça dépend
Bonjour

la "règle" des dix ans que tu cites est a prendre en compte pour un voilier qui navigue en permanence , par exemple pour un tour du monde , un voilier école etc...
Pour un voilier qui navigue en gros un mois par an , le gréement ne fatigue pas beaucoup .Je connais des voiliers dont le gréement a trente ans et semble en parfait état . Ceci dit , il reste le cas des accidents ( la bome qui empanne , le tangon qui lors d'une manoeuvre vient fouetter un cable du gréement . De plus il y a le cas de l'étai équipé d'un enrouleur , qui peut souffrir beaucoup dans certaines circonstances . Plutot qu'un changement systématique , il me semble plus important de faire une inspection soigneuse en début de saison , ce qui est facile quand le bateau st dématé : en passant un chiffon imprègné de WD40 le long de tous les cables on détecte le moindre "gendarme" , et une inspection soigneuse des terminaisons permet de voir s'il y a des craques dans l'inox . L'étai doit faire l'objet d'un soin particulier : retirer l'enrouleur et guetter tout signe d'un début de détoronnage du cable . L'autre avantage de démater son bateau chaque année , c'est d'éviter le grippage des ridoirs , cas fréquent sur les bateaux qui restent matés en permanence .

Cordialement - Joël

15 déc. 2010

Calypso
son greement 42 ans .Bon je commnce petit à petit à le changer

voici maintenant 4 / 5 ans j'ai fait venir un greeur pro pour inspection :reponse tu ne touche à rien ,alors que son interet était de faire .

maintenant pour ce probleme des 10 ans ,j'en ai parlé à mon assurance : la periode de 10 ans pour les assurances doit etre écrite dans le contract sinon pas ecrite pas de durée par contre la vestusté evidement s'applique sans depasser les 50% du neuf .

Pour les assurances garder la facture comme preuve .

Ce qui pose d'ailleurs le probleme face aux assurences si l'on fait le boulot soit m^me

josé

15 déc. 2010

josé , tu oublie de specifier
que tes haubans n ont pas d embouts , mais des epissures , ça change la donne , parce que ce n est pas le meme cable et qu il n y a pas d embouts

donc tu es un cas particulier , dont il ne faut pas tenir compte surtout par ceux qui ont un gréemént moderne !

;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

15 déc. 2010

je savais
bien que je suis un cas "particulier" :-)

mais tu as raison

16 déc. 2010

Le cas des épissures
Une épissure bien faite dure la vie du câble.
Un câble galva a une espérance de vie de vingt ans, un cale inox une dizaine d'année. Après quoi,la prudence conseille de les remplacer, le portefeuille joue les prolongation...
Et ces valeurs d'origine statistique n'empêcheront pas un câble de lâcher au bout de trois ans, pour des raisons indéterminées.
Personnellement, c'est inspection visuelle et tactile tous les ans, et remplacement au moindre doute.
N'hésitez pas à demander l'avis d'un homme de l'art, tous ne sont pas des vendeurs acharnés.

15 déc. 2010

si tous les haubans de plus de 10 ans lachaient
port camargue serait bien désert et je pourrai enfin prendre la télé sans parabole

c'est comme les moteurs de plus de 10 ans qu'il faudrait mettre à la décharge selon certains

sauf stipulation contraire du contrat d'assurance fixant une date limite, une inspection et un contrôle périodique doit pouvoir déterminer l'utilité d'un changement

amicalement

15 déc. 2010

vieillissement et microstructure
Du point de vue technique, la question que tu poses, michelr, est de savoir si l'inox utilisé pour le gréement dormant est sujet à une modification microstructurale de l'acier en l'absence d'effort de traction sur le gréement et en l'absence d'agression chimique.

Je doute que quelqu'un sache répondre sur ce forum, à part "Yguern83" dont c'est la spécialité professionnelle. Essaie peut-être un contact direct avec lui ?

Si on en reste au généralités de la fatigue statique ou dynamique, le logarithme de la durée de vie en traction décroit en gros linéairement avec la force de traction statique, et avec le nombre de cycles en dynamique, avec un seuil de traction en dessous duquel la durée de vie est quasi infinie.

Pour faire simple, en dehors des mécanismes de corrosion, la durée de vie sans contrainte est infinie. Mais un spécialiste ira certainement plus loin.

15 déc. 2010

il y a plusieurs signes

que l'on peut voir soi-même .

  • le gendarme ,si en passant la main sur le cable ça pique y'a un probleme la section est diminuée et surement que les autres fils ont aussi souffer

  • autre signe, la deformation un cable qui presente en coude ,un pli aussi petit soit-il là aussi il y a probleme .Biensur pour celà il faut qu'il soit demonté .

ces deux signes d'ailleurs ,en elingues de levage ça va à la poubelle.

15 déc. 2010

Le problème
C'est que la fatigue du gréement inox est, pour l'essentiel, quasiment invisible. Il n'est pas besoins de spécialiste pour comprendre que c'est "l'histoire" de ton gréement qui permet de décider s'il y à lieu de le remplacé ou non. il y à rarement des brins coupés sur les câbles car en général sa casse bien avant et sans prévenir.
C'est au niveau des sertissage que la rupture se produit, et il est bon à rappeler que les embout vissables sont préférables aux sertissages à condition qu'ils soient de bonne qualité et bien montés(attention aux contrefaçon!)C'est plus cher aussi!
Il arrive également que les ridoirs "explosent". Pour un bateau de voyage, il est important de bien les dimensionner.
Amicalement,
Michel

16 déc. 2010

mais enfin,
"C'est que la fatigue du gréement inox est, pour l'essentiel, quasiment invisible. Il n'est pas besoins de spécialiste pour comprendre que c'est "l'histoire" de ton gréement qui permet de décider s'il y à lieu de le remplacé ou non. il y à rarement des brins coupés sur les câbles car en général sa casse bien avant et sans prévenir.
C'est au niveau des sertissage que la rupture se produit"
si tout cela est vrai, il doit bien exister des études statistiques, des explications rationnelles, des mormes reconnues, que l'on doit pouvoir trouver, sur internet ou ailleurs, sans se contenter de rumeurs de pontons et de soit-disant prescriptions d'assureurs...
les sertissages Sarma furent développés, il y a plus de 50 ans, pour les besoins de l'aéronautique; ces gens là ont des normes de sécurité autrement plus sévères que celles des bateaux de plaisance, et ne se contentent pas des conseils du voisin de forum Heo... qu'en disent-ils...
mon expérience perso -limitée bien sûr- fait que si j'ai souvent vu des pbs de corrosion sur l'inox, des ruptures de soudures, des embouts arrachés, je n'ai jamais vu de rupture de haubans inox sans cause mécanique évidente...
mais je ne demande qu'à apprendre.

16 déc. 2010

bien d'accord Bardal
Ces connaissances existent certainement, et c'est pour cela que je citais un habitué de H&O qui (peut-être) les connait (ou bien saura peut-être où les trouver) de par son métier de spécialiste métallurgiste bien connu.

Les généralités de ponton ne font pas des certitudes :heu:

16 déc. 2010

Déjà un élément:
www.navtec.net[...]ice.pdf
Désolé, c'est en anglais. Pour les non anglophiles j'ai la version française sur papier, introuvable sur le net. Dès que j'ai le temps je la scan et j'essaie de la publier, peut être comme article ?
C'est sur que c'est un document constructeur, donc commercial, à prendre avec du recul. mais je trouve leurs information cohérentes et logiques.
Pas la première fois que j'envoi le lien, mais utile quand même.

16 déc. 2010

Questions certitudes...
Je connais les normes de l'aéronautique, la pratiquant et ayant la aussi plusieurs constructions à mon actif.
Pour répondre à Robert: "Les généralités de ponton ne font pas des certitudes "
1-Les meilleurs normes,les plus pointues que l'on retrouve dans les domaines les plus exigent tiennent toujours compte des retours d'expériences.
Ces normes sont de ce fait réactualisées au fil de ces retours. Les teste dans l'aéronautique sont très couteux ce qui explique les obligations de contrôles et les coûts élevés.
À côté de ça, pour nos bateaux, nous sommes à la préhistoire.Tout ce que tu pourras trouver d'intéressant en matière de normes concernant nos voiliers ne remplacera jamais cette expérience.
Tu dis: "je n'ai jamais vu de rupture de haubans inox sans cause mécanique évidente"
Bien sûr qu'il y à une cause mécanique, mais elle n'est pas évidente?
Par exemple le réglage du gréement. Sur un bateau métallique, ont à l'habitude de bien raidir le gréement. Les haubans sous le vent ne sont pas "libre". Sur un bateau plastique ou bois moderne ce même gréement est détendu dans la brise et au près, sous le vent. Et bien il faut bien penser à le retenir par un sandow pour lui éviter de partir dans tous les sens. On peut parier que dans le cas où ce ne serait pas le cas il s'affaiblira, plus vite que le hauban qui lui est en contrainte au vent!
J'ai eu le cas lors d'un convoyage dans l'atlantique ou à force de battre, même légèrement, l' anneau c'est cassé, l'axe est tombé, et c'est grâce à la réaction rapide d'un équipier que le mat n'est pas tombé.
Quelle norme peut empêcher cela?
Donc, et si je résume, aucune norme ne remplacera ton expérience. Si tu en manques, et quelque soit notre "niveau" on en manque toujours, c'est auprès des autres que tu trouveras une partie des réponses à tes questions.
La course est très intéressante pour nous, il y à plein d'enseignement à tirer.
Les bruits de ponton comme tu dis, à toi de les trier et de savoir garder ceux réellement fondés, ça vaut des fois de l'or
Ne trouves-tu pas que tout ce qui touche nos bateau est déjà suffisamment surtaxé? Nous sommes peu à réclamer plus de norme, bien au contraire ;-)

16 déc. 2010

Question posée
Robert a effectivement bien reformuler ma question: les gréements vieillissent-ils autant dans les périodes où le bateau est démâté que dans celles où il est mâté?

16 déc. 2010

"éternel" ? souvent mais pas sûr ...
Beaucoup de matériaux voient leur microstructure évoluer même en l'absence de contrainte. Le plus souvent ce sont des processus très lents, dus au fait que la microstructure n'est pas à l'équilibre thermodynamique, avec l'un des composants qui migre dans la microstructure ou qui change de forme cristalline. C'est en gros des mécanismes comme ceux qu'on fait volontairement et rapidement en recuisant le matériau par augmentation de la température ou en le forgeant à froid (par exemple).

Mais si cette évolution lente et spontanée prend des siècles, on considèrera que c'est l'éternité :langue2:

16 déc. 2010

désolé
mimivi, mais tu ne réponds absolument pas à la question, et surtout pas de façon rigoureuse et rationnelle...
sortons des banalités générales ("le vieillissement ne peut être équivalent", "prend un morceau de fil de fer, etc...", ...)et tentons de sortir des discussions de café du commerce:
- la résistance à la fatigue des métaux est connue déjà depuis plusieurs décennies, voire siècles, a été théorisée et modélisée; elle ne constitue plus un mystère pour personne... en dessous d'une contrainte inférieure à un certain pourcentage de la contrainte maximum (disons 25% en étant trop schématique), et quel que soit le nombre de cycles, elle est quasi infinie; sur un voilier ordinaire, cette condition est remplie plus de 99% du temps de vie du bateau...
- l'influence du filage, ou de la forge, sur un métal sont aussi bien connue depuis, disons, la fin du 19ème siècle; il serait étonnant que ces connaissances soient ignorées aujourd'hui...
- quant à ces histoires de vieillissement de la structure intime du métal (qui existe, c'est bien connu, pour les alliages d'aluminium), j'attends toujours l'argumentation d'un spécialiste de la question...
comme j'attends toujours, moi aussi, l'argumentaire d'un fabriquant, non de gréément, mais de cables, ou mieux d'un ingénieur spécialisé dans ces questions pour me faire une idée étayée...
- à tout le moins, de simples exemples de dématages liés à une soudaine rupture de hauban inattendue ne me déplairaient point.

pour le moment, je me fie à mon expérience, plutôt qu'aux assertions de commerçants intéressés, relayées par divers crédules présents sur les forums...

16 déc. 2010

La question est de savoir
Si c'est un défaut de fabrication ou un dés-alignement suite à une mauvaise utilisation;
Sur un gréement neuf, on ne doit pas accepter ce genre de défaut et retourner le matériel...

16 déc. 2010

Houps!
S'cuse moi Robert...
Je veux juste dire qu'il y à des gens qui ont "de la route" et qu'il faut les écouter comme il se doit :-)

16 déc. 2010

heuuu ....
:heu: mimivivi, mis à part "Les généralités de ponton ne font pas des certitudes", je ne suis pas l'auteur des propos auxquels tu réponds et que tu me prêtes.

Mon propos concernait [b]la question initiale[/b] posée par Michelr : [i]les périodes durant lesquelles le gréement est remisé, mat démonté, compte-t-ils dans l'âge que l'on doit attribuer au gréement dormant ?[/i]

Je sollicite l'indulgence parce que je dois me répéter : cette question concerne le vieillissement microstructural de l'acier en l'absence de contrainte appliquée. Et à cette question-là, je suis persuadé qu'aucune généralité de ponton ne répondra. C'est une question à laquelle pourra répondre un bon métallurgiste connaissant les arcanes de la structure cristalline des aciers inoxydables et en particulier de ceux utilisés pour les gréements.

Bien entendu les généralités de ponton sont intéressantes, et j'ai fait une bonne partie de ma culture en lisant H&O depuis 10 ans ... c'est après toutes ces années de lecture que je me suis fait une opinion sur la limite des généralités de ponton :alavotre:

16 déc. 2010

sans etre un specialiste
metallurgiste je dirai non .

car lorsque le mat est en place il faut bien le tenir donc il y a travaille et inevitablement fatigue donc vieillisement .Par contre un cable remisé lui doit etre "eternel" il n'y a pas peromption comme sur les yaourts :-(

16 déc. 2010

Question de bon sens...
Il n'y à pas besoins d'être spécialiste pour y répondre formellement:
Non, le vieillissement ne peut être équivalent.
Prend un morceau de fil de fer, et tord le jusqu'à le casser, ça va vite.
Le même, si t'y touche pas y bougera pas.
Un spécialiste donnera des explications quand à la transformation de certaine particules contenus dans l'inox, peut être, mais ça ne concerne éventuellement que notre curiosité. je doute fort que ce soit utilisable en ce qui nous concerne.
J'insiste sur le fait que comme toute mécanique, la durée de vie dépend de l'utilisation faite. Et ça, à moins de mettre un tas de vérins sur ton bateau avec des capteurs, je vois pas comment tu peux savoir les effort accumulés et les limites éventuellement atteinte.
Le métal est une matière vivante, une tôle par exemple à un "nerf" du à la torture du laminage et ainsi, deux tôles identiques ne réagiront pas de la même manière.

Pour revenir à la question, ce n'est pas envisageable.
Maintenant, il y à quelques signe qui permettent de constater un faiblesse sur un gréement.
Maintenant, ne croyez-vous pas que la question devrait être posée à un fabriquant de gréement?
Encore désolé pour cette confusion Robert :topla:

16 déc. 2010

Bien sur que je répond!
Mais il faut entendre.
l'observation peut être rigoureuse.
Les banalités dont tu parles sont issus de 20 ans de navigation autour du monde avec les rencontre et les expériences qui vont avec. il me semble que la discussion perd son intérêt si on échange pas nos expériences.
Bonne soirée à tous

16 déc. 201016 juin 2020

just for fun
Et pour illustrer le propos de bardal sur les connaissances bien assises.

Ce graphique montre quelques vraies durée de vie d'aciers en fonction de l'amplitude de la contrainte cyclique.

Ce qui est intéressant dans ce graphique :

  • Si pour une contrainte cyclique de "1000" la durée de vie est de quelques centaine de cycles (soit une rupture quasi immédiate !)

  • Alors pour une contrainte de cyclique de "500" la durée de vie atteint 1.000.000 à 10.000.000 cycles.

Pour fixer les idées avec un cas "limite":

Supposons un gréement de compétition ayant une rupture en quelques cycles à contrainte = "1000"

Si son coefficient de sécurité a été fixé à 2, cela signifie qu'il pourra être souqué à "1000" / 2 = "500". Si au cours de la navigation un élément devient "mou" puis repasse à sa tension nominale de "500", sa durée de vie avant rupture sera de 1.000.000 à 10.000.000 cycles de ce genre comme le montre le graphique.

Une journée contient en gros 100.000 secondes. Si un cycle (choc sur le gréement) dure 1 seconde (réaliste sur un gréement ?), alors la durée de vie sera de seulement 10 jours (=1.000.000 / 100.000) à 100 jours (=10.000.000 / 100.000) à ce régime de chocs.

C'est beaucoup ou très peu selon l'usage du bateau !

16 déc. 2010

Vieillissement si bateau dématé ?
Je voudrais juste rapporter une expérience sur un tout petit voilier (Microsail 5.50). Evidemment un tout petit haubannage (3 mm je crois) avec un petit défaut de gréement très courant, même sur de plus gros bateaux : le sertissage d'un bas-hauban présentait à l'ancrage au mat, un défaut d'alignement avec le cable lui-même. Utilisé depuis de nombreuses années, y compris en régates, rien n'avait jamais bougé. Puis le propriétaire démate son bateau pendant plusieurs mois pour faire effectuer des travaux (osmose).
A la fin des travaux, on remate en 10 mn, on n'a pas à rerègler les haubans (voilier transportable à gréement fractionné et ridoirs non déréglés). On sort du port, on envoie les voiles dans un petit temps et 3 minutes plus tard, rupture du sertissage. On a sauvé le mat en affalant immédiatement, mais la question reste posée : le long temps de dématage (au moins 6 mois, je ne me souviens plus), sertissage donc non sous tension pendant tout ce temps, a-t-il eu une incidence sur la rupture ?

Eglise de Talmont  en Charente France

Phare du monde

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