vendée globe ENERGIE A BORD
bonjour,
quelqu'un de bien informé ,j'ai dis de bien informé , pas de ''je pense que '' peut il me dire quels sont les moyens de production d'énergie électrique sur les bateaux du vendée globe , car j'ai bien regardé , a par 1 ou 2 bateaux avec éolienne (et encore celui que j'ai vu n'avait pas la meilleur !!), on ne vois aucune éolienne et aucun panneaux solaire !! ou alors j'ai besoin de lunette !
c est bateaux sont de gros consommateur d'énergie , pilote , informatique dessal, alors avec quoi rechargent il leur batteries ??
cdlt
Ils font tourner leur moteur tous les jours. La transmission est plombée mais pas le moteur lui-même qui sert de générateur.
Je suis bien informé... je suis la course sur YouTube!
faire tourner le moteur tous les jours !!
alors c'est aberrant ,
quand on sait qu'ils font la chasse au poids
alors embarquer du GO pour ça !!!
en plus ces bateau son bruyants alors le bruit du moteur en plus !!
faut des boules quies
a leur vitesse le vent apparent doit etre soutenu donc les éoliennes devraient produire ,
les panneaux solaire aussi plus ou moins selon latitude bien sur
et autre question ,
ont ils le chauffage ?
Hydrogénérateur, panneaux solaires, moteur, éoliennes.
un mix des quatre
Hugo Boss est recouvert de panneaux solaires.
Un certain nombres je sais plus combien ont un Webasto en air pulsé alimenté donc par du gasoil
On vois sur un certain nombre des WattandSea mais j'imagine ça doit pas trop marcher quand ils sont en mode "vol" ?
Il faut revoir les larmes de Gabart quand sa génératrice ne démarre plus :
Sur le coup, ça m'avait vraiment surpris que ces machines à vent (avec parfois des discours écolo, etc.) soient tant tributaires du pétrôle.
(bon c'est pas le VG, mais ça doit être plus ou moins similaire)
Oui, on en a déjà parlé... une aberration !
:-(
Pouvoir envoyer des videos en HD à l'autre bout du monde doit consommer pas mal, en plus des besoins du bateau, notamment le pilote qui fonctionne H24.
Nicolas Troussel devait être content de son stock de G.O. qui lui a permis de rejoindre un port.
Heureusement que l'(in)fortune de mer n'est pas arrivée au concurrent avec 0 énergie fossile à bord.
Je trouve la question intéressante. Je tente une catégorisation des énergies consommées à bord :
1 - de l'énergie motrice, pour faire avancer le boat -> typiquement, les voiles
2 - de l'énergie "fonctionnelle" pour amener, hisser, border, régler, etc. -> typiquement, les muscles du skipper
3 - de l'énergie pour le contrôle de la machine : ordinateur de bord, capteurs, caméras de contrôle (poussées à fond par exemple sur HB)
4 - de l'énergie pour la communication (pas la communication de confort ou marketting, mais celle fonctionnelle pour chopper les gribs etc., les loupiottes de signalisation)
5 - de l'énergie de "confort" (mais quasi indispensable parce que nécessaire pour faire fonctionner les muscles du skipper), pour faire chauffer le dîner par exemple.
Les points 1 et 2 ne semblent pas porter d'ambiguité. Par exemple, je ne pense pas qu'il serait bien vu de mettre des winches électriques. Par contre pour le point 3, cela semble ne pas poser de problème que l'énergie soit issue d'un pétrôle embarqué au départ (donc qui sort du cadre de l'autonomie). Et pourtant, ça pose question je pense. Par exemple, quand Alex Thomson utilise ses caméras ou ses capteurs - qui "fonctionne au pétrôle" donc (ou peut être au solaire, mais bon, imaginons) - pour contrôler quelque chose, et bien il économise des déplacements, il économise sa dépense musculaire. Tout se passe comme si l'énergie qui sert au contrôle de la machine passait entre les mailles du filet, et qu'elle pouvait être produite par la combustion du pétrôle, sans que ça pose problème à personne. Alors qu'on pourrait défendre que cette énergie de contrôle est tout aussi essentielle au déplacement que la force vélique ("sans maîtrise, la puissance n'est rien" disait Marie-Jo). En guise de comparaison, dans le corps humain, c'est le même métabolisme qui alimente en énergie le cerveau (contrôle) et les muscles (énergie motrice).
A partir de là, deux solutions (au moins) :
- soit on prend acte que ce sont des "véhicules hybrides" qui fonctionnent au vent et au pétrôle (avec simplement une interdiction d'utiliser le moteur pour l'énergie motrice)
- soit on peut imaginer, pour l'avenir, des bateaux sans moteurs, où toute l'énergie serait produite chemin faisant (ce qui n'empêche pas bien sûr d'avoir un moteur et du gasole à bord pour des questions de sécurité)
[Excusez-moi, j'ai tendance à sur-penser à vide - déformation professionnelle]
vous parlez tous qu'ils ont des hydrogénérateur de trainée
quelle aberration !!
en effet
les bateau sont équipés d'hélice repliable pour éviter le frein
mais ils ont des hydrogénérateur !!
alors qu'une hélice fixe avec un alternateur d'arbre (ou 2) a la vitesse ou il vont leur fournirait 25 A en permanence / alternateur
par contre
ces bateau sont extrement stable de route , en conséquence je pense que le pilote n'entre pas dans la catégorie des gros consommateur ,mais c'est un consommateur permanent ,
quant au frigo, je ne pense pas que beaucoup en aient . puisque pour le poids ils tournent tous ou presque au lyophilisé.
donc petit déssal pour l'eau (bouffe et toilette .)
non ,c'est bien la table a carte qui est leur gros consomateur, la vidéo , les transmissions ect..
et éventuellement le chauffage a air pulsée si ils en ont ,
quant au poids des batteries de Thomson, cela ne la pas empêché d'etre premier , jusqu'a ses problemes structurels
Sam Davis, dans sa présentation du bateau, parle de la génératrice liée au moteur mais aussi hydrogénérateur et panneau solaire.
Voir a 2:50
A leur vitesse la production d’un Watt and Sea racing est de l’ordre de 50A et ils sont équipés d’hélices à pas variable asservies électroniquement leur assurant un rendement optimal entre 5 et 30nds