Tous dans le même sac ....

Bonjour à Tous,

L'été se termine presque, je pense que pour beaucoup le beau temps a été de la partie.

J'en viens au sujet, et je sais qu'il n'est pas simple de trouver les mots justes et de les accoucher sur nos écrans.

Tout comme vous, je survole les différents fils presque quotidiennement. Et on apprend beaucoup ! Grand merci.

Mais que de râleries... et de joies.
Avis divers, contents pas contents, satisfaits et déçus etc..etc....
Personnellement, PLAISANCE rime avec PLAISIR, non ?
Je lisais dernièrement, ceux non satisfaits de HANSE passent vers DUFOUR, de là vers BENETEAU... JEANNEAU....
Et là, l'objet du fil, je reste un peu circonspect.

Notre passion a toujours eu un coût, et même important.
Mais il y a de quoi s'interroger !
Les chantiers donnent à l'Architecte un plan d'aménagement qui répond à NOS besoins actuels, sans oublier le look et les tendances. A lui de créer l'enveloppe qui va autour, c'est son métier, il accepte le contrat, il en vit !

Les chantiers travaillent tous de la même façon aujourd'hui, mêmes outils, même technologie et quasi même fabricants du contenu de nos voiliers ou bateaux à moteur.

Ou se trouve LA faille, pourquoi tel constructeur ou tel autre (pour le PRODUIT qu'il offre à un cout proposé) ne répond pas aux mêmes qualités que nous sommes, nous, en droit d'attendre ?
Du vécu, livraison de gréement non conforme au modèle livré chez le concessionnaire (très GROS), électronique non placée, circuit électrique non relié.. au tableau etc etc. Je m'interroge.
En allant plus loin, de petits détails, comme les articulations ouverture de capot moteur qui se cassent après trois manipulations, pompe électrique de coin cuisine HS, équipets qu'on retrouve dans ses mains........
PAS NORMAL !
Et notre voilier coute CHER !

A croire que nos chantiers cherchent réellement à se sacrifier, ne plus atteindre (à lire les fils) et fidéliser LEUR client, et qui écope finalement... le concessionnaire.

La voiture de monsieur "tout le monde" roule aujourd'hui sans problèmes 100.000 Kms.

Alors, pourquoi ce véritable "bordel" ?

A vous lire,

L'équipage
08 août 2013
08 août 2013

et de préciser encore, que dans certains cas, la SECURITE même est mise en cause !!!

08 août 2013

se poser la question de savoir pourquoi, à taille égale, certains bateaux valent le double de certaines unités de série que tu cites.

Doit y avoir une raison, non ? :-)

08 août 2013

Un voilier coûte toujours trop cher.... c'est bien connu. Il existe de très bon bateaux au double du prix des marques que tu cites,et là,je rejoins Emma.
Je ne souhaite pas faire de polémique,mais le niveau actuel de finition,qualité de construction,gréement,voiles de séries..ect...est super limite. On construit des bateaux pour une utilisation saisonnière dans de bonnes conditions météo.
Il y a quelques années,j'ai l'impression que c'était moins le cas.
Des avis?

08 août 2013

Pour la voiture, c'est faux, c'est le client qui fait les frais, voir "que choisir". Pour les voiliers, payes-toi un boat a 3 M d'euros et il n'y aura aucun soucis. Ne pas oublier que Benneteau fut la 3 ème société en bénéfice net, c'était il ya quelques années, mais c dire.

08 août 2013

Bof, pour un été qui se termine le 8 août, ça doit bien suffire !
:jelaferme:

08 août 2013

Bjr MN31,

Et bien en Belgique, ces deux derniers jours ce n'était pas la joie..
Cfr du-jamais vu sur notre côte... On s'échappait !
Sacré orage et très coloré, en plus !

09 août 2013

Effectivement, voir la fin de l'été le 8 aout, si c'est pas du pessimisme!!! :-(

Et, tant que l'on y est, un bateau de 15m. est une barque...qui dit mieux? :tesur:

:acheval: :acheval: :acheval:

08 août 2013

Une vente de bateau, c'est comme une vente de maison, une vente d'auto, etc...
C'est des gros biens d'équipement, rien de plus, qui sont traités de plus en plus, comme des biens de consommation courante et jetables.
Commercialement c'est du "one shoot", une seule opération avec ce client sur la totalité de la carrière du commercial qui fait l'affaire.
Donc une fois que c'est vendu, il faut chercher un autre client, et "point barre", et se défiler le plus possible en cas de problème.
La réalité d'aujourd'hui, quelque soit le bien qu'on achète, est traduite par la pensée profonde et philosophique de mon maçon :
"Ca tiendra bien jusqu'à ce que j'ai encaissé le chèque, et déposé le bilan".

:-p :-D et le client :-/ (triste pour lui).
Bien sûr, à partir d'un certain prix, les vendeurs se méfient, et craignent les foudres d'un bataillon d'avocats New Yorkais, qui vont demander 1 Milliard de $ rien qu'en pretium doloris pour la frayeur subie par le client, en cas de défaillance.
Ca explique la différence de traitement SAV pour le "péplum" ordinaire, et le "Golden Boy". :mdr:
De plus nos industriels jouent sur du velours, c'est pour cela qu'ils se battent "bec et ongles" pour qu'il n'y ait pas de réforme à ce sujet.
Il n'y a pas d'action collective en justice, chez nous, donc c'est de l'action individuelle, et là il faut tenir la longueur tant nerveusement que financièrement. :-(
Ou acheter un vieux bateau, ce qui est une solution assez rationnelle également.

08 août 2013

La réponse est à la fois multiple et simple :
- Il n'y a pas d'argent dans le secteur. Les marges de toute la filière sont ridicules et beaucoup flirtent simplement avec le seuil de rentabilité. D'autres ont fait faillite... Bref, ce n'est pas un secteur qui pisse de l'argent par tous les côtés... même si le bateau est un objet cher pour le commun des mortels.

  • Depuis une quinzaine d'année, le secteur fait sa révolution industrielle mais n'est pas encore arrivé à être suffisamment gros pour que cette industrialisation implique de très grosse économie d'échelle permettant de redégager des marges. L'industrialisation a permis de lancer une concurrence effrénée sur les prix (un bateau actuel, à volume, poids de matière et équipements égal, coûte bien moins cher à monnaie constante que son équivalent d'il y a 20 ans). Et ce n'est pas en faisant 100 exemplaires d'un produit grand public qu'on peut avoir un vrai plan industriel. Il en faut 1000, 10000, 1000000, ...

  • Le secteur étant peu rentable, personne n'a confiance dans son partenaire (ça je l'ai vécu en direct). Le chantier n'a aucune confiance dans le concessionnaire et exige d'être payé avant que le bateau ne quitte le chantier. Le concessionnaire se retrouve parfois confronté à des difficultés coincé entre le client et le chantier qui, certes, intervient mais lui laisse les coûts de main d'oeuvre de mise au point.

  • Les contrôles de qualité existent mais n'ont ni la rigueur ni les moyens
    déployés dans l'industrie de masse. Beaucoup d'éléments constituant un voilier actuel sont individuellement quasi irréprochables (ex : les menuiseries découpées numériquement, les découpes faites à la CNC) ; c'est plutôt dans l'assemblage de l'ensemble que des progrès doivent être réalisés.

  • Les bateaux moyens de grande série sont faits pour ce que leur utilisateur moyen va en faire à savoir naviguer quelques jours à la belle saison en famille sans prendre de risque et sans inconfort. Les autres utilisations sont statisquement marginales et doivent être satisfaites par des produits plus marginaux.

  • Même si la construction de bateaux de plaisance est devenue un peu plus industrielle ça reste toujours plus ou moins du bricolage. Il suffit d'aller vraiment voir les chantiers pour s'en rendre compte (pas le petit film d'entreprise où tout est beau et propre). Certains petits chantiers sont eux vraiment dans le bricolage (parfois de qualité).

  • La comparaison avec la voiture est peu pertinente car dans l'automobile, on est dans un vrai produit de grande masse, très normé et très concurrentiel et avec un recul de plus d'un siècle. La plaisance de masse n'a qu'une petite quarantaine d'année et ne concerne qu'une part infime de la population mondiale.

  • A la conception d'une voiture, on dessine toute les pièces ou on intègre le dessin des pièces que le fournisseur fournira. C'est cette pièce et pas autre chose. En plaisance, c'est beaucoup plus approximatif. C'est la pièce qui pourra être livrée au moment où le bateau était mis production (ex : j'aurai en principe dû avoir un mat ZSpar fournisseur attitré du chantier, j'ai reçu un mat Selden, pour mon plus grand bonheur. Ou encore, l'évier devait être rond, il est en fait carré...).

  • Par contre, certains équipementiers de bateaux sont beaucoup plus gros que le chantier lui-même fournissent des produits réellement industriels avec les conséquences qu'impliquent cette taille. Ex : il est beaucoup plus facile de faire intervenir la garantie internationale du motoriste (Volvo, Yanmar, ...) que celle du chantier.

  • Certains chantiers n'ont même personne s'occupant spécifiquement du SAV. C'est une question de taille. Les constructeurs automobile ont des départements complets avec quelques ingénieurs pour répondre aux questions techniques posées (via les revendeurs).

  • Enfin, on est dans un secteur de passion qui annihile une partie de la raison... et celui qui te vend son produit le sait très bien. Chaque plaisancier est impatient de recevoir SON bébé et de jouer avec ; du coup il y a beaucoup d'aveuglement avec parfois quelques déceptions.

08 août 2013

Petite marge???? Un secteur de snobisme par excellence. J'ai eu comme client le directeur de la revue Bateaux, il me demandait de ne jamais acheter chez les ships!!!!! Quand a vendre un 'produit passion', va voir les maisons...
Pour les SAV, quand tu voit qu'un directeur de sav cata, te dis 'vous êtes sûr que l'epoxy tiens sur du polyester', perso je me pose des questions sur ses compétences techniques, mais c'est surement un beau parleur, voir un beau baratineur...

08 août 2013

Il y aussi les lacunes pour ne pas dire sabotage du personnel.
Intérimaire, payé au lance pierre. Aucun intérêt à la chose.
Genre c'est prévu pour rentrer ici, ça rentrera !
Entre le concepteur et le "fabricateur" du bateau il y a quelques différences.
Et puis il y a les délais. On livre dans les temps mais n'importe comment.
Et pour l'anecdote: le bateau qui prend eau et tout le monde savait qu'il manquait une vanne. Sauf le grutier et le responsable de mise à l'eau. On verra bien !!!

08 août 2013

La marge brute peut être importante sur un produit (X 2, X 2,5 ou plus) mais ce que je vise c'est la marge nette annuelle ; à savoir combien l'entreprise gagne-t-elle par an.
Ce n'est pas parce qu'un ship vend 2000 EUR un winch qu'il paie 600 EUR à son fournisseur que le gars va nécessairement gagner de l'argent à la fin de l'année.

08 août 2013

" la fortune personnelle d'Annette Roux est évaluée à plus de 500 millions d'euros."

les-secrets.com[...]es.html

68° fortune mondiale..

Brufan, tu vas me faire pleurer ! :-D

08 août 2013

je pense qu'avec 500 millions d'euros elle doit être très très loin de la 68em place mondiale rien que les milliardaires chinois doivent etre plus que 68 :mdr: :mdr:

09 août 2013

Y pas que Bénéteau dans le monde de la plaisance.
En plus, si Madame ROUX a 500 millions d'euros de patrimoine, il ne faut pas confondre cela avec une fortune disponible. Ce n'est pas du cash qui dort sur un compte ou des villas aux quatre coins du monde. Il s'agit la plupart du temps de capital immobilisé (= les actions détenues dans l'entreprise) qu'elle peut bien sûr vendre mais en perdant le contrôle du groupe...
Bénéteau doit sa réussite à un passé glorieux dans la meilleure époque de la plaisance ET à une politique de diversification du Groupe dont le C.A. ne repose plus uniquement sur l'activité de plaisance et encore moins sur le marché européen du bateau de plaisance.

Mais il y a les autres :
- BAVARIA peine à être rentable et les différentes reventes entre actionnaires n'ont pas générés des plus values délirantes.
- HANSE après une politique d'acquisition trop ambitieuse n'a dû son salut qu'au rachat par un fonds de pension et à l'injection d'argent frais.
- DUFOUR cumule les périodes de chômage et d'arrêt des lignes.
- NAJAD (dans un autre niveau de gamme) a fait faillite pour la 2ème fois en 3 ans
- NORTHSHORE (SOUTHERLY) est en redressement
- WRIGHTON (BI-LOUP) est en redressement
- JEANNEAU n'a survécu que grâce à son intégration dans un grand groupe
- GIB SEA, FEELING, HARMONY, ETAP, ... ont tous plus ou moins disparu
- WAUQUIEZ, repris, rerepris, ... je ne sais plus où ils en sont aujourd'hui mais c'est assez tumultueux
- Hallberg Rassy ne vient pas très bien non plus
- SUNSEEKER (bateaux à moteurs) est en difficulté et cherche un repreneur capable de ré-investir
- J'en passe sûrement beaucoup et des plus petits...

Quant aux concessionnaires... c'est pire encore.

Tout ça pour écrire qu'en tant que secteur industriel, ce n'est certainement pas le plus rentable qui soit.

08 août 2013

Quand vous aurez intégré que, selon les statistiques, les bateaux de série naviguent 8 jours par an, vous aurez tout compris.

Cela fait un bail que les constructeurs et leur service marketing ont intégré cette notion, en fournissant un produit qui est construit " à minima " ; compétition commerciale oblige !

Bien entendu, il serait fou de se lancer dans une simple transat sur ce genre d'unité : pour qu'elle soit au niveau exigé, comptez d'ajouter 20 à 30 % au prix série, et aussi de tout vérifier à 100 %, au besoin par un expert (un vrai, pas un expert d'assurance ! )

Pour les plaisanciers acheteurs, je dirai simplement qu'ils n'ont aucune notion des pratiques d'achat des biens d'équipement (garantie de bonne fin, caution bancaire et retenue de garantie, etc...) et que la passion annihile toute raison, alors qu'ils ont en face d'eux des commerçants rompus à toutes les pratiques commerciales ; dès lors, comment s'étonner des déconvenues...

08 août 201308 août 2013

Voilà Daniellouis a tout dit!
Les chantiers industriels campingcaristes fabriquent les bateaux qui correspondent à leurs clients, qui de plus ne cherchent qu'un prix! Ah non, j'oublie, ils cherchent aussi le beau lit en plein milieu de la cabine arrière, la bbbbeeeellllleeee cuisine utilisable qu'au port...etc.

DT...

08 août 2013

Pour résumer : l'essentiel du marché c'est des acheteurs de résidence secondaire, avec vue sur la mer imprenable, pour moins que la moitié du prix des mêmes prestations en béton.
Après on s'étonne, que dès qu'on se sert du truc, pour faire ce à quoi il est officiellement destiné, ça casse.
Il semble bien que les nouveaux bateaux, enfin ceux de série, c'est fait pour rester au port, au mieux faire un tour devant le môle, et rentrer vite fait, faire baver de jalousie les amis à l'apéro.
Ca doit être l'époque "m'as tu vu" qui veut ça.
Mais ça n'a pas l'air d'être fait pour naviguer intensivement, il n'y déjà plus vraiment de coin navigation dans les aménagements aujourd'hui.
C'est un avis, pas une science, et encore moins une généralité. :-(

encore un fil de baratin inutile ,achetez ce que vous voulez et tout le monde sera content! il y a de tout sur le marché pour satisfaire tout le monde :-)

09 août 2013

je crois que le rapport entre camping car et bateau est excellent; car des deux cotés il suffit de regarder la quantité d'heure de main d'oeuvre, pas plus de série d'un coté que de l'autre, après on regarde les aménagements et le prix, on finit par regretter que les camping car ne flottent pas,

ensuite la vente one shoot, bien sur mais la renommée dans tout ça, quand la renommée est perdue il n'y a plus qu'à mettre la clefs sous la porte, les autres s'en sortiront toujours

09 août 2013

Bonjour biloup,

Et en parlant de "renommée", du chantier bien entendu, tu mets le doigt sur la dernière partie du sujet soulevé...
Pour exemple, sur un fil concernant WRIGHTON, beaucoup ont perdu confiance dans le DIRIGEANT même de l'entreprise !!!! Si celui-ci se sortait de son merd... , comment pourrait-il continuer ???

La vente "one shoot", certains d'entre nous en parlent, cela ne marche jamais, à mon avis.

Finalement, "pas été satisfait" ... je vais voir ailleurs et client ou ancien client perdu. Quelle entreprise peut-elle se le permettre ?

09 août 2013

justement fannybelle, un chantier n'a rien à y gagner au one shoot, alors comment expliquer le résultat,
l'incompétence?
le jenfoutisme?
le rien à foutre?

je comprends mal qu'une personne investisse dans une entreprise (reprise de l'existant) pour avoir cette politique, et visiblement c'est pour tout le monde pareil, enfin pour tous les biloup rencontré , une bonne douzaine

09 août 2013

choisir le bateau en fonction de son programme de navigation, c'est çà la clé ...
surinvestir dans un bateau équipé et construit pour un TDM pour faire 3 semaines de côtier par an n'a pas plus de sens que d'envisager de faire la traversée du Sharara avec un camping car de série ...
après il faut quand même un minimum, je me souviens il n'y a pas si longtemps de celà que les jaguars (voitures) étaient connues pour passer plus de temps au garage que sur la route
mais quelles belles bagnoles quand même....

09 août 201309 août 2013

Fin de l'été, Non mais.....pour moi la saison c'est du début mai jusqu'à fin octobre... :mdr:

Un bateau pour moi tant que ça a un mat et que ça avance quand Eole souffle dedans ça le fait :pecheur:

09 août 2013

ces marrants de voire vos propos, car les chantiers font ce que nous plaisancier voulons . j ai bosser pour un chantier ou il avais un sav et que les prises en main était fait par nous ,comme la pose de électronique et quand a la qualité de fabrication n a pas changé depuis plus de 20 ans car c'était l age des models avec un nouveau pont et avec des aménagements digne de sont non, mes les prix était supérieur a du benet ou jean . très souvent nous avons eu des souci car le client voulais sont joujou le plus vite possible ce qui nous obligeait a passer moins de temps sur les choses et du coup c'était du sav assurés , on ces même vue livré une unité qui était pas fini et la finir après la saison de sont propriétaire

09 août 2013

Ulysse a Fannybelle
Ajoutons une des causes de la baisse de qualite et de services chez certains constructeurs ( pas tous dans le meme sac)
Les fonds de pension qui " vampirisent" un produit
La filière nautique les intéresse
Suffit de lire analytiquement ( par poste) leur bilan ( pas toujours disponible ?) apres une recapitalisation
Moins de ...Mais + de dividendes et de pub ?
Que faire ?
Informer le consommateur pour réorienter la clientèle internet, medias, ass de conso ( blog Hanse 22600 visites
Légiférer efficacement en faisant respecter un cahier des charges normatif , sav, garantie etc . dans un delai raisonnable ce qui est loin d etre le cas actuellement
Ce qui existe dans de nombreux secteurs d activités
Pour l instant le client " bateaux" ( souvent mené en ....b) doit etre polyvalent et se débrouiller seul en SAV et garantie sauf exception bien entendu si zero defaut
Hanse Y = cas d ecole

Phare du monde

  • 4.5 (149)

2022