C'est leur business. Ces ONG vivent de leur collaboration avec les réseaux de passeurs.
Peut-être ont-ils plus de chance de sauver des gens là que quand c'est trop tard.
Un passeur disposant d’un smartphone avec Marine Traffic (appli gratuite) connaît en permanence de la position de l’Ocean Viking. Quand celui-ci revient du port de débarquement qui lui a été assigné en Adriatique pour revenir croiser à la limite des eaux territoriales lybiennes le passeur peut envoyer ses canots pneumatiques surchargés…
SOS sont des MENTEURS qui exploitent la naïveté des naïfs qui gobent ce qu'on leur raconte.
Expliquez-moi.
Aujourd’hui, comme chaque jour, entre 20 et 40 cargos ou pêcheurs sillonnent la zone côtière entre la Tunisie et Misratha. Comment se fait il que ils sont les seuls à « sauver « de pauvres migrants.
Pourquoi refuser les policiers italiens sur votre « OceanViking » ?
N’avez-vous jamais lu le rapport de la DGSE sur l’immigration depuis la Lybie ?
Ceux qui croient faire preuve de générosité en facilitant leur accueil sans s’interroger sur leur dangerosité portent une part de responsabilité, comme ceux qui refusent de changer les dispositifs de suivi des migrants.
En d’autre temps, ils auraient été appelés « collabos ».
Au lieu de disserter sur les pourquoi du comment que ça se fait qu'il y ait des bateaux qui coulent et d'autres qui flottent à leur rencontre, posez-vous plutôt la question de savoir pourquoi des centaines de personnes sont prêtes à tout quitter et prendre le risque de mourir noyés en essayent de traverser la Méditerranée.
Ou la manche, d'ailleurs.
Car la question - et la clé du problème - est plus certainement là.
Merci Pripas pour ces informations, et pour ne pas renoncer à argumenter.
Bravo à ces associations qui sauvent des vies.
Je m'en vais collaborer : don.sosmediterranee.org[...]/
Merci Mathieu Enfant Sauvage et Roc, mais je ne crois pas vouloir argumenter davantage. Mon intention était seulement, en relayant cette information, de rappeler que la Méditerranée qui est notre lieu de plaisir est aussi, pour des milliers de désespérés, un effroyable terminus, et leur cimetière. Et saluer les marins ("collabos"!, sic) qui se consacrent à en sauver quelques uns, hélas bien peu (le valeureux Résistant-Viking ci-dessus terrifié de leur "dangerosité", sic, n'a pas trop à craindre le grand remplacement redouté par ce chemin. Pour une centaine de rescapés du dernier naufrage, près d'un millier sont disparus. Qu'il soit soulagé). Bref, en donnant un simple lien sans commentaire, je n'avais pas l'intention d'ouvrir les vannes d'un égout. Avant qu'il ne déborde plus, je suggère aux modérateurs de fermer ce fil que j'ai imprudemment (impudemment ?) ouvert.