Solidarité : Voilier Sun-Fast écrasé contre digue par tempête cette nuit

Ai prévenu le CROSS Etel
qui donne la suite utile

Pauvre Perle Bleue
finir ainsi sa vie, quelle tristesse.

Le Cross d'Etel est très efficace pour retrouver un propriétaire. Ils ont réussi à retrouver un ami dont le voilier avait décroché lors d'un coup de vent (sans dommages) et qui avait déménagé sans le signaler aux affaires maritimes.

oui
mais c'est dangereux!

On peut se faire prendre pour voleur soi-même, ou encourager des attitudes comparables.

Sinon, c'était une bonne idée

y a peut etre
possibilité de faire la déclaration aux services de police ou de se faire accompagner par une autorité qqconque

Facile à dire
Trop.

en connaissant
la région et la qualité la population locale on peut jouer

Peut-être un peu des 2

Si ce malheureux proprio n'a tjs pas été contacté.
Pour éviter les désagréments de ce que décrit Clari mais en faisant ce que préconise Duf,

Appeler les keufs et autres zotorités en donnant tes coordonnées, dire que tu vas tenter de mettre à l'abri ce qui est possible, faire des photos de ce que tu vois autour et dans ce bato, que tu laisses ou prends. Ça pourra peut-être utile au proprio quand il fera sa déclaration de perte à l'assureur. On ne pourra pas te reprocher d'être un voleur, je pense.

J'allais poster quand j'ai vu ce qu'à écrit Til, y'a moyen donc.

y'a du boulot
mais c'est réparable, non ?

triste fin
on voit a l'avant un pneu j'espere que ce n'est pas son corps mort , sinon c'est un peu lege meme pour un micro

Réparable ?
J'imagine que les assurances ne prennent pas en charge de tels dégat, vu le nombre d'heures à passer sur une tel chantier…

Et encore je dis cela en supposant que l'ensemble dérive/puit n'est pas endommagé.

Pas réparable...!
Vu de près , c'est catastrophique et apparemment absolument pas réparable...!

c'est triste
imaginer de voir son propre bateau comme ça,ça doit etre tres dure,un reve partir ainsi :-(

mon bateau
n'est pas connu de ce truc.

Cela repose la question d'une solution auquelle je pense depuis un moment.

Mettre son n° de portable sur le tableau arrière.

Ca au moins cela permettrait d'etre prévenu immédiatement en cas de soucis, même si tout est fermé, et meme si tu es dans un coin où tu n'est pas connu.

Sinon, à Bandol, en un an, c'est le cinquième qui se fracasse sur les rochers du Lido en un an.

Des petits quasi abandonnés, mais aussi un océanis de loc et un louisiane.

La SNCM a rentré les derniers bateaux qui se trouvaient au mouillage en prévision de la baston du week end (largade de sud, avec grosse houle). C'est une solution sage, d'autant qu'il y a une bonne centaine de places vides dans le port.

Il y avait encore une demi douzaine de bateaux qui étaient sur les corps morts. 30 corps morts, une douzaine occupés l'hiver, cinq bateaux coulés. Pas la peine d'insister, tu es quasi certain d'y passer. J'ai beau réfléchir, je ne vois pas de solution autre que le port en attendant le mois de mai et la fin des coups d'est. D'habitude, il souffle encore une fois ou deux de mai à septembre, et il reste alors à aller se cacher dans le port en payant les quelques jours au prix fort.

Mais en cette saison d'hiver, je paie 400 roros par mois, et donc une centaine de roros pour un monocoque de 9m, du type du dernier qui s'est crashé, alors le jeu n'en vaut pas la chandelle.

Le problème ? Tous les coins un peu sauvages, où il y avait des abris à moitié amménagés et quasi gratuits (ou au moins raisonnablement couteux) pour les connaisseurs ont été civilisés et sont devenus payants, gérés, et donc inabordables pour les gars qui naviguaient sans trop de moyens.

Même les corps morts sont payants, pour le résultat que l'on voit.

Jacques