Sangle de mouillage

On parle bien d’amarrage arrière, sans ancre ? C’est à dire à terre le plus souvent ?
C’est très utilisé en Med de l’est, pour limiter l’évitement des bateaux, ancre devant et bout à terre.
Choix entre:
Du bout/cablot classique soit lové soit en sac, plutôt lourd et encombrant mais efficace.
De la sangle , plus léger, deux techniques soit sur enrouleur , séduisant intellectuellement pratique aussi, mais nécessite de le fixer sur un balcon du canot, pas toujours facile, soit ´ en vrac ´ dans un sac , du fond percé sort une extrémité, puis la sangle est rentrée dans le sac par le haut sans aucune précaution si ce n’est de garder l’autre extrémité au dessus.
J’ai les deux, l’enrouleur est à poste et a pas mal servi, la sangle en sac à l’avantage de pouvoir être facilement déplacée du fait de sa légèreté.À n’en prendre qu’un si usage fréquent, l’enrouleur, si plus occasionnel, le sac en tissu.
La sangle peut être très résistante, mais elle est plus fragile au ragage donc attention, de plus elle est difficile à passer au taquet car elle glisse, je fais trois huit, trois tours ronds et de nouveau trois huit, il y a peut-être plus simple.

Pour empêcher les vibrations de la sangle dans le vent , lui faire faire quelques tours sur elle même.
Penser à baliser la sangle, par ex un pare battage suspendu au milieu.

En suède, la quasi totalité des voiliers sont équipés d'une sangle sur un tambour enrouleur, fixée sur le balcon arrière, et d'un mouillage arrière (ancre et parfois quelques mètres de chaine). Cela leur sert en particulier lorsqu'ils s'amarrent nez au rocher. Le plus surprenant est que beaucoup d'entre eux semblent ne pas avoir de mouillage avant. Les rares fois où ils doivent mouiller par l'avant, ils ramènent la sangle depuis l'enrouleur à l'arrière, jusqu'à un taquet d'amarrage avant ...