sablage

un petit lu ... pour le sablé ... (bon désolé, je crois que je n'ai rien à dire en fait... euh ... courage)

laisser la coque a nu et faire un anti dérapant sur le pont

laisser la coque a nu et faire une peinture anti dérapante sur le pont

pourquoi et il plus délicat de sabler de l'alu?? je dit sablage mais l'abrasif en question, peut aussi être du bicarbonate de soude....basse presion 20psi au lieu de 120 psi avec du sable

si le pont sera concerné aussi

peindre de l'alu a au contraire beaucoup de sens
il y a plusieurs questions différentes :
les oeuvres vives : il te faudra sûrement un antifouling (spécial alu), je ne sais pas si tu comptes mettre un sous-couche, mais pour l'accroche future, c'est un bon plan.
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pour le pont : antidérapant peint ou collé = revêtement
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l'intérieur est en général isolé et vaigré, il est fortement conseillé de peindre les fonds car ça les protège de la corrosion galvanique si des métaux alien y séjournent en même temps que de l'eau (fréquent !), et égalalement de la corrosion par aération différentielle entre un recoin où il y a d l'eau et son voisinnage qui est sec.
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il ne reste que... la muraille. tu peux la laisser brute si l'esthétique te plait, c'est ce que font certains chantiers (tu en as cité), c'est surtout martketing car l'alu est très valorisé en France notamment et surtout pour les bateaux de voyage, en lien avec son prix et ses qualités.
mais tu peux tout à fait la peindre, ça ne pose aucun problème après un sablage
c'est d'ailleurs ce que conseille Gilbert Caroff, qui connait un peu le sujet, comme tu peux le lire dans le HS de loisirs nautiques n°16 Acier, Alu, Inox
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ma coque a été sablée, ce qui était une bonne idée car la sableuse a fait quelques petits trous à des endroits où de la corrosion par poinçonnement avait progressé, ça a permis de faire les réparations
dans la foulée l'ensemble oeuvre vives et mortes a été traité epoxy (relativement épais), et une couche de finition grise qui rappelle vaguement le matériau (même si comme elle est en forme et que le pont est en bois, rares sont les observateurs qui devinent que la coque est en alu)
c'était il y a 6 ans, le revêtement est impeccable au dessus de la flottaison
sous la flottaison, au carénage cette année en grattant l'antifouling j'ai trouvé 2 cloques de moins d'1cm de diamètre sur toute la carène. ponçage, reprise, du rien du tout.
l'avantage, c'est que l'antifouling a une bonne base pour accrocher, et surtout la coque est protégée par un revêtement assez épais qui limite fortement la consommation d'anodes, ainsi que les risques d'accident si une anode venait à ne pas faire un bon contact, ou à être trop consommée, ou en cas de voisin métallique de masse importante.
sur une coque de bientôt 45 ans il faut penser à limiter le vieillissement !
mon humble avis sur la question

J'ai pas compté, c'est pas évident à retrouver comme ça...
la sous couche (j'en ai passé sur le pont aussi mais sans sablage il est en CP) c'est un primaire epoxy EP211 de chez sicomin dont je viens de voir qu'il n'est plus dans leur catalogue. il était recommandé pour les supports métalliques, après sablage notamment, je dirais que j'en ai utilisé 7L donc 250€ environ
un peu de mastic époxy par dessus pour les quelques gros défauts
la peinture de finition j'ai dû mettre 2 pots, 80€
et l'antifouling je mets 2 pots aussi
bateau 10m x 3,20m en forme, avec l'arrière pincé

Bonjour, je suis en train de terminer la restauration extérieure totale de mon Brise de Mer 31 de 73.
Après avoir démonté tout ce qui était démontable, j'ai sablé moi-même tout l'extérieur. çà a été un travail vraiment galère, qui m'a pris un mois en faisant tout avec du matériel acheté d'occase.
Il est vrai que j'ai perdu beaucoup de temps à mettre le matériel au point et que, si comme la plupart j' avais laissé mes merdes par terre, çà aurait été trois fois plus vite. J' ai passé plus de temps à ramasser le sable par terre, à le tamiser et le remettre dans la sableuse qu'à sabler proprement dit.
J' ai utilisé 25 sacs de sable de 33kgs, en granulométrie de 50/80, en le remettant jusqu’à 5 fois dans la sableuse.
Les œuvres mortes ont été décapées totalement(j'avais remonté les anciens hublots par dessus ceux que j'avais changés 2 ans plus tôt) et malgré les scotchages que je croyais partout, c'était Fukushima à l'intérieur!!!
Le sable a réussi à rentrer par les coffres de cockpit et envahir tout l'intérieur, recouvrant joyeusement le moteur etc...
Pour les œuvres vives, je pensais au début décaper toutes les antiques couches d'antifouling et essayer de laisser l'apprêt époxy recouvrant d'origine la carène, mais n'ayant pas réussi à faire un travail suffisamment propre à mon goût, j'ai finalement tout mis à nu.
J' ai juste fais des bandes de décorations en PU 2 composants (après dérochage et apprêt époxy)sur la coque, ainsi que la quille, aileron, safran et tableau arrière.
Je laisse la carène brut d'alu, zéro gramme d' antifouling.
Bref, c'est un travail titanesque que j'espère ne pas avoir à refaire avant 20 ans.
J'y suis depuis le 8 août 7j/7 et je n'ai pas encore fini.
Bon courage
Gorlann

Bonjour,
déjà, demande l'autorisation de sabler à la direction de la ZT ou du port où tu penses le faire, cette opération n'est plus acceptée partout.