Remises bateaux neufs

Choisis tes options ou alors fais les faire ailleurs, moins cher, et tu dois pouvoir gratter dix pour cent

acheter un voilier en fin d'année ,ça peut être une bonne affaire si le concessionnaire n'a pas réalisé son quota (2% de plus sur la totalité des ventes )
avec un peu de psychologie on peut s'en rendre compte
l'idéal est de ne pas avoir de reprise ..
10% c'est de la rigolade sur un voilier de ce prix j'attaquerais à minimum 20% et surtout aucune option gratuite ,brut de décoffrage ...
après on choisit calmement ce dont 'on a besoin et on installe
soi même ,au moins on sait comment ça fonctionne ..

alain

Bonjour Floffi

Dans le même esprit que fritz
Tu peux aussi négocier le matériel "gratuit" dont tu auras besoins pour installer tes options

Le Moko

... chantier pas vraiment réputé pour son bon cœur.
Peut-on connaitre l'unité que tu convoites ?

Tout dépend des éléments de la négociation :
- si tu lui fais reprendre un bateau, la remise sur le neuf sera d'autant moins élevée que la valeur de reprise sera importante
- La chaine de distribution gagne sa vie sur les options où les marges sont beaucoup plus importantes. Conséquence : plus tu prends des options, plus le pourcentage sera important sur le bateau (au point que les option reviennent à un prix raisonnable par rapport à ce que cela te demanderait de t'en occuper après achat).
- Si tu acceptes que ton bateau soit livré en octobre ou novembre, c'est encore un peu de gagné
- un bateau de stock ou un bateau que le concessionnaire doit absolument commander (car il a un "slot" réservé dans la chaine de production) permet d'avoir une réduction supplémentaire.
- la conjoncture globale et/ou locale influe.
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Globalement, une reprise de bateau a une cote normale + 10 % sur le bateau neuf est une négo raisonnable (du point de vue de l'acheteur). Idem pour un achat sans reprise avec - 12 à -18 %.

- 20 % c'est uniquement si les prix catalogues sont artificiellement surfaits et/ou que le concessionnaire doit impérativement faire tourner sa trésorerie et/ou que tu es un "bon client".

La variable place de port intervient aussi dans la nego. Mais globalement sans place de port et sans reprise tu peux commencer à 20% (sinon non) comme le dit Fritz.
Et tout se négocie :)

Il faut avoir un copain Libanais 10% il rentre même pas en discutions.

Il n'y a pas de système de mandataires comme en auto?

@brufan,
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Exact.. Mais prenons HANSE (pour exemple, si pas JEANNEAU etc..), pour un 345, un cout accrocheur de € 86.900 pour en arriver à +- 150.000 HT !!
Options à GROS PRIX quasiment indispensables. Et les chantiers le savent. FORA MARINE, sur son 1070, à prix élevé pourtant, n'offre qu'un RAYMARINE A65 !! Un A75 se justifiait mieux, non, vu la taille du cockpit...
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Mon intervention se justifiait par la réalité économique du moment, du pouvoir réel d'achat d'une majorité potentielle de clients que nous sommes. J'estime qu'une entreprise présentant un résultat bénéficiaire positif après impôts de 2/3 %, d'un cash flow suffisant en fonction de SON activité (important à souligner), capable d'assumer les charges diverses PROPRES à son activité (fixes et variables) et présentant un CA en croissance, même légère, au fil des saisons, EST une entreprise viable économiquement.
J'ai parfois l'impression que certains s'y sont plongés (plaisance) en voyant un pont d'or !
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Ce que l'on peut constater (voir différents fils sur la question des remises) est que les concessions adoptent une politique de " ONE SHOT " quand elle peut se présenter. Et là, par après ? C'est le marché morause actuel qui en est la cause, je partage ton point de vue.
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Personnellement, j'espère que l'été qui se pointe t'offrira de bon moments encore sur ta jolie unité.

Bien à Toi.

La difficulté des concessionnaires en plaisance sont les charges d'exploitation (autre que personnels). Il faut de la place, souvent un hangar haut, quelques moyens techniques (tracteur, bers, ...) et payer quelques sous-traitants et autres redevances (ports, grue de manutention,...)
Après, il y a le personnel. Avec une bateau de 150000 EUR HT vendu par mois tu couvres à peine le coût de 2 salariés si tu n'as pas d'autres sources de recettes.
Vu le fort tassement des ventes, je ne m'étonne donc pas que les concessionnaires soient à la ramasse et n'ont plus de moyens pour assurer le SAV (très mal couvert par le constructeur)

faut être dingue pour acheter un bateau neuf de nos jours!
y a des centaines de voiliers de 2 ans d'âge, tout neufs et tout équipés bradés à moitié prix!

heureusement, ça fait marcher le commerce..;-)

le bon coup c'est de racheter un bateau d'environs 5 ans
c'est comme neuf mais a motier prix

NEUF ou OCCASE, c'est pas toujours évident.
On part souvent du principe qu'un bateau perd la moitié de sa valeur tous les 10 ans.
--- Un bateau de 200 000 € se revendra 100 000 € dans 10 ans. Mais si tu cumules une bonne remise, la LOA et un bon montage fiscalo-financier, tu ne le paieras finalement que 150 000 € et tu ne perdras que 50 000 €.
--- Si tu achètes ce bateau d'occase à 100 000 €, dix ans après tu auras également perdu 50 000 €.
--- Dans le 1er cas, tu achètes le modèle qui te plait avec les options qui te plaisent et tu n'a pas de frais d'entretien.
--- Dans le 2ème cas, tu achètes ce que tu trouves et tu payes cher pour changer et améliorer pleins de trucs.
--- Conclusion...

"La moitié en 10 ans" : bien sûr, c'est assez théorique car cela varie énormément selon les types de bateau. Par exemple, actuellement les bateaux alu sont bien côtés et peuvent se vendre à 65% de leur valeur initiale, voire plus. A l'inverse, un bateau peu populaire (je dis pas "mauvais") sera fortement décoté. De même, les bateaux trop grands ou trop petits pour le marché sont décotés. Mais un bateau de propriétaire, de cœur de marché (Bénéteau, Jeanneau... entre 37' et 45'), bien entretenu, restera globalement dans cette fourchette des 50% après 10 ans; mais il y a beaucoup d'exceptions, et dans les deux sens...