Régulateur d'allure intégré et barre franche ou pilote et barre à roue ?

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Avec des pales de différentes tailles pour la force du vent. Ne consomme rien et grande fiabilité. A la longue devient presque un compagnon... MM

Effectivement, j'ai déja vu fonctionner un Navik, c'est magique !!! Silence, autonomie, efficacité dans les bonnes conditions et quelle intelligence dans ce système! La pale immergée permet de récupérer pas mal d'énergie pour actionner tout ça grace au fait que les filets d'eau ont tendance à s'équilibrer et ramènent la pale dans l'axe du bateau.C'est un régul de troisième génération. Moi je voudrais monter un deuxième génération, pour éviter la pale immergée, la seule différence, c'est que n'ayant pas de safran en tableau, je veux passer la tringle du flettner dans la mêche du safran et je voudrais savoir qui l'a déja fait ? à part sur DAMIEN

je pense qu'il faut un système de blocage du flettner pendant les manœuvres au moteur. Ou qu'il puisse tourner sur 360 deg.

Mon Exploration 38 est monté avec une barre à roue modeste mais efficace avec renvois par drosse. Le gouvernail est compensé correctement de fabrication. Le régulateur Monitor (copie réussie de l'Ariès) marche très bien et pilote la barre à roue via une couronne débrayable immédiatement (vital).
Initialement il y avait une barre à roue interne avec drosses. Tout cela a été démonté car inutile. Au pire on peut toujours piloter via le pilote automatique (le régulateur est utilisé en principal et peut être aussi piloté avec un petit PA électrique.. Pour un pilotage interne efficace il faut BIEN voir. Sur son Chatam Alain Kalita (voir son site) avait fabriqué une petite dunette dépassant le roof. Dans cette situation il avait une bonne vision justifiant une barre intérieure. Pour contrôler la mèche du gouvernail il y a aussi OBLIGATOIREMENT une attaque directe avec barre franche de secours. A noter que la barre franche d'origine est assez lourde et assez longue.
La pale du régulateur, située très arrière et relevable facilement améliore aussi la stabilité de route, un peu comme une dérive arrière (la fonction gouvernail de secours n'est pas envisagée vu le montage du gouvernail, non suspendu, rendant impossible sa perte. A noter que le gouvernail plongeant moins profondément que sur d'autres bateaux il y a tout intérêt à ce qu'il descende le plus bas possible, bien que la forme très creuse de la coque provoque en marche une alimentation constante du gouvernail.

Merci de votre proposition de plans. Je dispose aussi du dossier presque complet. Certains tirages s'effacent progressivement. Les plans fournis étaient à destinée amateur ou petit chantier. Chacun les interprétait à sa façon et Mr Caroff les a fait aussi évoluer. Pour le mien En dehors du bimoteur (Mr Caroff n'était pas au courant, par exemple le gouvernail avait était rendu facilement (?) démontable en cas d'avarie. Pour l'ouverture d'une descente directe sur la jupe j'avais demandé l'autorisation à Mr Caroff qui m'avait alors donné des conseils judicieux.
Une compensation principale sur l'avant est simple et très efficace. L'effort à la barre est très acceptable et le régulateur d'allure n'a aucun problème. La compensation arrière est alors une fonction complémentaire à la demande. Le gouvernail est également très bien profilé.
Une barre très dure incite aussi à réviser le mécanisme.
Un gonflement de palier peu complètement bloquer une barre
(vécu !!!!). Pour la mèche on doit impérativement pouvoir y monter une barre de secours
Bien qu'à salon de pont assez haut, la conduite intérieure a été supprimée car la vue pour vraiment surveillée est très médiocre à cet endroit et on a aucune vue sur la voilure. La place libérée permet d'implanter une vraie table à carte et tout le système complet de navigation avec un fauteuil confortable (urgences au dessous). Voilure réglée, en nav de nuit mon épouse est comme devant une planche de bord complète, avec Radar et AIS, GPS, compas, traceur, sondeur, VHF, etc.… Le régulateur fait tout le travail ou on passe sur le PA électrique télécommandable. On sort à la moindre alerte. Toute la nav est reportée sur la carte déployée et le livre de bord est régulièrement annoté. On a toute la place pour.
Une cabine où se trouve aussi la gestion électrique puissance a été transformée en atelier.

Bonjour, Quizas,
Alors je ne comprend pas pourquoi Damien,ou Joshua, qui étaient équipés d'un flettner sur safran se régulaient tout seuls. Et Joshua n'était pas un déplacement léger. La seule différence dans le système que j'étudie, c'est la mêche de safran creuse pour passer la tringle de commande du flettner. En tous cas merci de vouloir m'éviter de perdre du temps.

Bonjour, J'ai donc lu pleins de fils sur les régulateurs. J'ai déja vu marcher un NAVICK, qui est un régul de troisième génération, et dont la force de manoeuvre s'explique par le fait que les filets d'eau ont tendance à s'équilibrer et à ramener la pale immergée dans l'axe du bateau, c'est magique !. Dans le système que j'envisage, n'ayant pas de safran en tableau, je voudrais monter un régul de 2 eme génération, sans pale immergée, et dont l'aérien commanderait le flettner par une tringle qui passerait dans la mèche du safran, lui même compensé. Ne connaissant pas les surfaces idéales, je projette de souder du gros fer plat inox en avant du safran pour y fixer en plongée différente taille d'aileron de compensation jusqu’à trouver la bonne. Je ne voie pas pourquoi ça ne marcherait pas, vu que plusieurs bateaux (Joshua, Damien ) ont circum navigué avec ce type de régulateurs, la seule originalité étant de combiner mèche creuse et régul de 2eme génération et safran compensé. Quelqu'un a t'il déja vu ce système? Merci d'avance. Je suis désolé des redites, mais j'éssaye d'être clair.

les via ont un petit safran avec un petit fletner qui améliore grandement la réactivite ,il est commandé par une billette sur un point fixe ,il suffirait peut être de remplacer ce point fixe par une commande pilotée par un aérien
alain