réglementation et GPS ?

Je suis nouveau sur le forum, mais je vous suis depuis longtemps...
J'ai lu il y a quelques temps que de faire sa navigation uniquement avec son GPS pouvait être préjudiciable en cas d'accident. Cet été sur le bateau d'un copain ayant un GPS/lecteur de cartes un message apparaissait dès l'allumage comme quoi il s'agissait d'un matériel d'aide à la navigation, qu'il était de la responsabilité du skipper de prendre des pincettes bla bla bla ...
Mes recherches sur le net n'ont fait qu'ajouter du questionnement car la réglementation pour plus de 6 milles n'est vraiment pas claire...
donc ma question: en cas d'accident grave, blessé, mort... (pas du matériel) face au législateur, si on fournit la preuve d'une navigation uniquement faite au GPS, est-on dans son tord? est-ce un moyen de navigation ou une aide à la navigation?

L'équipage
19 sept. 2013
19 sept. 2013

C'est uniquement une aide à la navigation, ce qui signifie qu'on ne doit pas s'y fier aveuglément, contrairement à ce qu'affirment régulièrement les vendeurs de ce genre de matériel.
Je te conseille de lire le fascicule du SHOM "GPS et navigation" qui explique les limites du système. Il est peu coûteux (12€, je crois) et permet d'éviter un risque d'erreur funeste!
D'une manière plus générale, toute navigation, quels que soient les outils dont on dispose nécessite une critique permanente (recoupement des données et même pifomètre!). Cela aide bien à détecter une erreur éventuelle, où qu'elle se produise. Quelques exemples : un way point rentré avec une erreur.
Plus récemment, j'ai découvert une erreur de coordonnées dans le livre des feux en découvrant à 1,5 milles au GPS un feu dont j'étais à moins d'une encâblure!
Donc, toujours analyser et critiquer!!!

19 sept. 2013

d'accord avec ecumeur

Je rajouterai qu'audelà de 6 milles la reglementation impose ( et le bon sens) de tenir un livre de bord ou l'on note sa position (a moins de la noter sur une carte papier) ,la variation du barometre l'etat de la mer ,la force du vent etc etc ....les incidents

ce qui permet de completer sa navigation ,de la critiquer ,de la controler aussi et de palier à une panne électrique toujours possible (ça m'est arrivé 1 fois) .

19 sept. 2013

Bonjour. Dans le même cadre, en accord avec ecumeur, il faut avoir les cartes papier en plus, seulement, il ne nous reste plus que deux ans avant qu'elles ne soient plus mises à jour par le shom. Je tiens cette info par un commandant(qui n'est pas celui d'un paquebot hélas trop connu) à qui "on" a fait passer des tests de connaissances pour savoir se servir des divers outils "modernes" tels les gps et autres ais etc...

Donc, comme ecumeur, contrôler de visu ce que l'on voit ou lit et ne pas se fier en aveugle aux instruments même le compas qui dans certains coins(Dielette)dévie fortement en cause une ancienne mine de fer.

19 sept. 201319 sept. 2013

moderne gps? Il existe depuis 1978 et est en fonction depuis 1995...

19 sept. 2013

Les fantaisies du compas aux abords de Diélette sont bien connues de ceux qui traînent leur quille dans ce coin. Il m'est arrivé également d'avoir des indications totalement farfelues du GPS aux approches de La Hague.
L'erreur de position que j'évoquai est celle du feu de la digue ouest du port d'Antifer dans le Marin Breton (je n'ai pas le livre des feux du SHOM).
Le fascicule du SHOM indique que lorsque les levés sont anciens (c'est à dire antérieurs au GPS différentiel), on peut avoir un écart de plus de 100m entre la position objective d'un caillou et sa position indiquée sur la carte. Le GPS indique des coordonnées mathématiques exactes, mais si l'obstacle n'est "pas à sa place", on peut imaginer le résultat. c'est alors que les bonnes vieilles techniques ont leur utilité.
Les marchands de carto électronique affirment que leurs cartes sont "exactes" et nient ce problème. mais leurs cartes électroniques étant fabriquées à partir des cartes papier du SHOM, de l'Amirauté Britannique ou tout autre organisme officiel sont entachées des mêmes erreurs et si on suit aveuglément le spot sur l'écran... boum!
Si on ajoute les erreurs pouvant résulter éventuellement d'un bug logiciel dans les programmes de vectorisation ou autres...
Je me souviens d'un article de V&V sur la carto électronique où la superposition de plusieurs calques faisait disparaitre certaines obstructions.
Alors je reste cramponné à l'exercice intellectuel sain pour la maintenance en état de marche de mes vieux neurones survivants, qui consiste à faire ma nav. sur mes cartes papier, en association tout de même avec un GPS de base sans carto!

19 sept. 2013

pour répondre à la question posée...
Le GPS-lecteur de carte est considéré comme un outil légal à la navigation hauturière et se substitue aux cartes papier du shom ou de n'importe quel autre éditeur. C'est la règlementation.
La règlementation souligne aussi, que la cartographie employée doit être à jour (idem papier) de toutes modifications de signal, balise, bouées, etc.

19 sept. 2013

eliot si je lis bien ce que tu dit est valable pour la navigation Cotiere

mais pour la nav hauturiere il est precisé que l'on doit "embarquer en plus "
" le materiel permettant de faire le point ,de tracer et de suivre une route "

donc une carte , un compas de relevement et une regle

19 sept. 2013

Sur un écran, le crayon gras ne marche pas, mais le Tipp Ex (pub gratuite) oui.

19 sept. 2013

Le GPS avec lecteur de carte permet de faire le point et de tracer une route avec les waypoints - la réglementation actuelle n'oblige plus à utiliser un support papier. Le bon sens si.
AMHA

19 sept. 2013

non, hauturière.
Un gps-lecteur dispose de quoi tracer une route, relever un amer avec un compas, calculer un relèvement, etc. On évitera juste de corriger au crayon gras sur l'écran.

19 sept. 201319 sept. 2013

Les fabricants de GPS veulent éviter que leur responsabilité soit engagé en cas d'accident, d'où les blabla au démarrage.

Même si c'est OK vis à vis de la législation, je ne voudrai pas être à la place du skipper qui a eu un accident grave suite à une erreur de nav, parce que son GPS est tombé en panne et qu'il ne disposait de (ou ne savait utiliser) rien d'autre pour faire le point. Personnellement, j'ai perdu 3 fois le détail de la carto sur un Raymarine C60 cet été. A chaque fois, c'est revenu le lendemain, mais dans l'intervale, les cartes sont bien utiles.

Ca me fait penser qu'il faut absolument que je montre à mes gamins comment fonctionne le mini-morin et la règle cras (rassurez-moi, la gonio ca ne marche plus ?). Je ne suis pas sur qu'ils soupçonnent jusqu'à leurs existences à bord. Ils ne n'ont jamais vu faire la nav autrement qu'au GPS.

et c'est comme cela qu'en reprenant le mini morin pour faire joujou on s'aperçoit que le bonhomme vieillissant ne peut plus le lire car devenu presbyte, et s'il met ses lunettes de vue de près, les amers sont tout flous .... sniff ! la vieillesse est un naufrage !

19 sept. 2013

Mais le mini morin (plastimo de nos jours...) permet de se passer de lunettes, la lecture de la graduation se faisant plus ou moins à l'infini; en tout cas pour moi; mais pour le reporter sur la carte, il me faut rechausser les dîtes lunettes.

19 sept. 2013

Excellent exercice pour lesdits gamins.
Si tu navigues dans une mer à courants significatifs, c'est pour eux un moyen ludique de jouer avec les vecteurs ou de les découvrir. Il faut apprendre à "comprendre" la mer.

19 sept. 2013

L'un des gamins en question démarre son école d'ingénieur (mais ca reste un gamin). Le risque est plutôt qu'il veuille m'expliquer :heu:

19 sept. 2013

Ah la gonio... qui se souviens du Satnav qui mettait entre deux et trois heures à s'initialiser (fallait le faire "chauffer" avant le départ!)...
Et le Decca avec ses cartes spéciales à maillage ...

Pour répondre, il m'est arrivé deux fois (Union grenadines et Falmouth England) ou le GPS (DGPS et au bon format géodésique E50, WGS84, etc...) nous positionnait dans les terres...

19 sept. 2013

La division 240 3 08 mentionne comme matériel obligatoire en nº6 pour le côtier :
.
la ou les cartes marines, ou encore leurs extraits, officiels, ou élaborés à partir des informations d’un service hydrographique national. Elles couvrent les zones de navigation fréquentées, sont placées sur support papier ou électronique, et sont tenues à jour ;
.
Le paragraphe 09 reprend cette obligation en 1. Donc même contraintes qu'en côtier de ce point de vue (pour la cartographie) .
Attention il y a souvent confusion entre GPS et carte électronique . Le GPS donne la position. La carte électronique donne les informations sur la zone de navigation. Ça peut être totalement sépare exemple une carto complète sur PC avec opencpn et un GPS portable sans carto a côté . Note que la division 240 ne mentionne pas le GPS.

Quant aux erreurs des cartes électroniques :
- il faut les mettre à jour
- il y a aussi des erreurs sur les cartes papier donc pas mieux de ce côté et pour reprendre un exemple ça ne date pas d'hier pour les cartes papier, il y a 30 ans la bouée cardinale à la sortie du port n'était pas correctement placée sur la carte SHOM (0,5 mn d'écart ) actuellement sur ma carto électronique même problème avec plus que 50 m d'erreur (la bouée est régulièrement déplacée puisqu'elle écarte d'un danger lié à un fond sableux qui se déplace dans le temps).
- le GPS à plus de 20 en plaisance donc on ne vraiment pas parler de trucs nouveaux. D'ailleurs pour les fans du sextant, faudra qu'il me disent comment ils gèrent leurs éphémérides sans ordinateur/calculatrice (électronique donc). Ça fait style de ronchonner après le bon vieux temps mais ce n'est pas très sérieux :)

19 sept. 2013

Pour le sextant: Un simple "almanach du marin breton" "reeds" ou autre "bloc marine" donne les éphémérides. Ensuite il existe deux méthodes (simples, oui oui, simples!) ou tu te passe d'ordi, calculette etc: Table 900 Dieumegarde & Bataille ou table Domenjoud (paul) qui sont des tables de logarithmes.

19 sept. 2013

Donc la réponse à la questions est, clairement : non, on n'est pas dans son tort en cas d'accident si l'on n'a qu'un GPS lecteur de carte (mais on peut être dans son tort pour plein d'autres raisons), et ledit GPS lecteur de carte est un instrument de navigation à part entière, juridiquement parlant. Mais ce serait bien de disposer de éventuelles jurisprudences dans ce domaine pour s'en assurer.

Après, le bon sens et le principe de précaution recommandent de disposer d'une solution de secours, laquelle si possible ne doit pas être sensibles aux mêmes problèmes ; la carte papier, le compas de relèvements, la règle cras et le crayon à mine grasse (faut être précis) ainsi que le mode d'emploi du tout peuvent avoir leur utilité à cet égard.

19 sept. 2013

merci pour vos réponses. J'ai l'impression d'une certaine contradiction: j'ai le "droit" d'utiliser un lecteur de cartes qui soit à jour, mais si j'utilise un simple GPS reportant les positions sur le papier et dans le livre de bord, là c'est une aide à la nav, donc je ne fais pas de nav (légalement parlant).
Par contre si le lecteur fait aussi GPS, là j'aurais le droit...
N'est-ce pas là un certain paradoxe?

19 sept. 2013

J'ai souri plus haut quand le début du gps est annoncé en 1995 car j'ai un Garmin GPS 50 de 1996 importé à l'époque d'Angleterre qui marche encore très bien. Il concède un millième sur les position de ses frères bien plus jeunes ;-)

Par contre effectivement il ne donne que la position qu'il faut reporter ensuite sur sa carte.

19 sept. 2013

Je précise que je n'ai qu'un simple GPS et ds cartes en papier

19 sept. 2013

Alors tu es en conformité avec la réglementation. À condition que tes cartes soient à jour, et ton crayon taillé (mais pas trop pointu).

19 sept. 2013

Pour la navigation en traversée en Méditerranée occidentale, le point avec l'estime est bien suffisant.

Un bon point de départ, l'annotation sur le livre de bord et la carte toute les heures.
En vue de l'île on se repositionne au compas de relèvement et la carte.

Mais ça c'était avant ! Aujourd'hui, avec le GPS et Open CPN, on devient plus paresseux.

Cependant l'annotation du livre de bord (comme précédemment) reste une nécessité.
En cas de pépin, le livre de bord fait foi (annotations au crayon à bille).

19 sept. 2013

Etre dans son tort ou pas.... sincèrement si un jour je perds mon bateau ou un équipier..... ce ne sera pas vraiment mon souci prioritaire..... pour moi, ce sera nécessairement de mon fait ! responsable de sa nav, le skipper est responsable, toujours. la mer est une école de responsabilité. l'avantage d'un ordi avec carte c'est qu'en cas de panne il a sa propre batterie, l'inconvénient c'est plus fragile : cet été j'en avais 2 plus un bon vieux gps donnant la position, et bien sur compas, sextant etc... par contre je n'avais pas toutes les cartes d'atterrissages et de détail, et en cas de panne de cartographie électronique, je ne serais pas rentré là ou je suis rentré....
en côtier en france, il y a suffisamment sur le bloc côtier pour palier les cartes.

19 sept. 2013

D'accord avec toi, Pierol, mais c'est un penchant bien français de raisonner en fonction de règlements et tous ne sont pas mûrs pour une approche responsable.
Dans un autre domaine, c'est ce que je rencontre avec l'installation d'échelles pour pouvoir remonter sur les pontons en cas de bain involontaire. On me répond : "ce n'est pas obligatoire" et "il n'y a pas de normes". Mais où sont le bon sens et celui des responsabilités?

Avec l'ordinateur à bord et/ou le système de cartographie électronique, outre les risques de pannes inhérents à ces matériels et à leur réseau, on risque tout simplement d'être privé de moyens de navigation en cas de panne d'énergie. Il suffit d'une batterie qui lâche. Lors d'une transat en 2004, malgré panneaux solaires et éoliennes (2x2), il était nécessaire de faire tourner le moteur 1 heure par jour jusqu'à ce que l'alternateur rende l'âme à mi route. Le skipper avait tout en double à bord, sauf l'alternateur.
Nous avons donc gardé le minimum de postes de consommation.

Il ne faut jamais oublier que toute navigation est régie par la loi de Murphy qui prime sur toute autre à bord!!!

19 sept. 2013

j'avais deux batteries propre à l'ordi bien chargées avant le départ. Sur sa batterie, si elle est en bon état un ordi peut selon l'ordi et la batterie, l'usage, on est pas obligé d'avoir le traceur en permanence, fonctionner le temps nécessaire pour un atterrissage et mouillage. et ce , indépendamment de l'énergie du bord. plus que l'éolienne, j'ai testé l'aquagen, donc la génératrice a hélice tractée.... super ! on recharge une batterie vide avec !

19 sept. 2013

je ne cherche pas à raisonner en fonction du règlement. Juste je me suis demandé si chaque fois que je reporte un point GPS sur la carte, je ne faisais pas une bêtise. Après, si je tue quelqu'un venu passer du temps à bord (mettons ma belle mère :jelaferme:), certes je suis responsable devant ma conscience, mais trois, quatre, cinq ans après, sur le banc des tribunaux à risquer X années de prison, je pense que tu essaie de te battre un peu...
Ma question est toute simple: peut-on faire une nav totalement au GPS en cotière sur cartes papier avec report sur livre de bord? légalement parlant? Je n'en suis pas encore sûr à vous lire.

19 sept. 2013

Si je comprends bien ta question simple, il s'agit de reporter sur ta carte papier les positions relevées sur le GPS. C'est bien cela?
Dans ce cas, pas de problème réglementaire ni de bon sens. L'important est de savoir où tu es à un moment donné. De toute manière, les zotorités s'en foutent!
Evidemment, si tu fais une navigation de fantaisie, que tu vas te planter dans des cailloux et que périssent dans cet évènement de mer un couple d'amis, leur bébé et la belle mère, la justice pourrait te demander des comptes.
Personnellement, depuis quarante ans que je navigue, j'ai été contrôlé une fois, au ponton visiteurs de Fécamp, par les douanes qui ont contrôlé tout le matériel de sécurité. J'ai même trouvé que la douanière, pour charmante qu'elle fut, est allée un peu loin en voulant contrôler toutes mes brassières (anciennes) alors que j'étais seul à bord avec deux brassières gonflables, ce ui était bien suffisant!
PS. en évoquant ce mode de raisonnement en fonction des règlements, je ne m'adressai pas à toi, mais j'approuvai la position de pierol.

20 sept. 2013

Réponse à la question du sujet : si.
Réponse au dernier paragraphe qui reprend partiellement la question du sujet : le gps n'est pas une carte.
L'obligation du législateur n'est pas d'avoir un gps, mais d'avoir des cartes quelque soit le support.

19 sept. 2013

si on te reproches un homicide involontaire, ce n'est pas que la réglementation : c'est par imprudence ou négligence, le non respect de la réglementation en fait partie, il est prévue, mais même la respectant et tu peux de nos jours faire ta nav que informatique légalement, si tu as été imprudent ou négligent ... et cela c'est aussi une affaire d'appréciation, pas seulement d'outils mais de comportement en fonction de ton matériel, ton équipage, des conditions etc.... personne ne peut répondre sauf à très gros traits tellement ce sera une affaire de cas concret, de circonstances.

20 sept. 2013

En navigation le seul point primordial c'est de savoir ou tu es et ou tu va.
Tout le reste ne sont que des outils pour arriver à ces deux conclusions...

Après obligatoire ceci ou cela, perso ce n'est pas important parce que ce n'est pas ça qui te donne les bonnes infos.

20 sept. 201316 juin 2020

plutôt qu'un long discourt,voila une photo de cmap en grece,j'etais a 200 m du cap ! (dans l'eau)

20 sept. 2013

Tous les "responsables sécurité" te le diront, un accident n'a jamais qu'une seule cause.
C'est la plupart du temps une accumulation de négligences, ajoutées à un comportement à risques (l'humain, toujours l'humain) et dont un impondérable provoque l'arrivée.
On incrimine souvent ce dernier (une rupture de ceci ou une défaillance de cela) mais c'est le reste qui en fera un petit incident ou un gros accident...
Les sociétés d'assurances iront sûrement chercher ces erreurs, plus que le fait que tu utilises un GPS pour tes navs...

Si ton GPS t'indique une fausse position et que
- tu es par temps maniable, mer calme, bonne visibilité et un équipage formé et en forme physique, c'est un incident dont tout le monde rigole!
- tu es par gros temps, un peu malade, tu n'as pas vérifié ta route depuis plus de 6h et tu es près d'une côte aux abords mal pavés, c'est peut être ce qui t'enverra rejoindre tes ancêtres
Mais, dans la seconde proposition, si tu es réellement vigilant et que tu as réfléchi à tous ces paramètres, cela ne peut être aussi qu'un incident et, dans la première, si tu t'en fous et que tu continues à taper dans le rhum...
:goodbye:

20 sept. 2013

ne jamais oublier, qu'à 200m près (voire plus), les yeux et leur accessoire indispensable, les jumelles, sont les outils les plus utiles.
Perso, la tablette est dans le carré (bon c'est vrai, je navigue en multicoque avec une seule marche à descendre) et les jumelles dans le cockpit.

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