réglage d'un grément 7/8

Comme tu ne le précises pas, on suppose qu'il s'agit d'un gréement à simple étage de barres de flèches poussantes?
Au port, mets toi au pied de mat et regarde le par la rainure de guindant de GV. Tire sur chaque câble (galhauban, bas-hauban) pour en voir les effets, d'abord pataras détendu, puis tendu.
Maintenant, pour ta sortie: déjà 25 degrés de gite, c'est trop! (15 c'est déjà bien assez!) Si ventre sous le vent, essaie de retendre les bas haubans par rapport aux galhaubans. Mais comme tu dis que le(s???) galhauban sous le vent reste tendu, c'est peut-être lui qu'il faut plutôt détendre un peu?
Sinon comme déjà dit ici, voir le doc de Selden sur les réglages de mat...

merci pour vos réponses, en effet les barres de fleches sont poussantes.
en fait je m'interroge sur l'action du pataras, doit t'il faire cintrer tout le mat ou seulement la partie supérieure?

je ne suis pas sur mais le bateau a 30ans , c'etait je crois la norme des années 80

Je partage l'avis d'avoir des D1 bien tendus.J'ai un gréement de ce type, avec bastaques, et je préfère voir la partie haute du mat "dégueuler" au près plutôt que de voir le mat céder au niveau des bdf. Seulement il y a un petit problème (comparé á Dreamtime), c'est que même avec mes bas haubans tendu, si je n'ai pas de creux sous le vent, mon gréément est mou sous le vent.
À essayer donc de démarrer avec un mat rectiligne, tout blindé, et de relâcher peu á peu d'un bord á l'autre, en commençant par les galhaubans. En fait un mat de ce type c'est comme un arc (le mat), une flèche (la barre de flèche, quel heureux hasard!), et la corde (le galhauban). On ne s'occupe que d'un côté, au vent, l'autre, sous le vent, ne sert á rien.
Quant á la différence de comportement entre un 7/8 et un 9/10, le deuxième est plus proche d'un gréément en tête. Plus le fractionnement est prononçé et plus l'action du pataras va cintrer le mat et détendre l'étai, donc plus la présence de bastaques sera nécéssaire. ( Sans parler de mat plus ou moins rigide ou souple, pour compliquer la chose).
Une dernière chose, et non des moindres: essayer que la bato se comporte de la même façon sur les deux amures. (Je n'y suis jamais arrivé en 15 ans, et pourtant il n'y a pas de sortie pendant laquelle je ne bricole un peu du côté des ridoirs).