Angoissant ce récit... et une chute que l'on était bien loin d'imaginer le tout bien écrit, bravo.
C'est la mer, c'est la météo, fiable, certes mais pas trop et encore moins avec les phénomènes locaux (pas le cas ici)
Par contre le coup du mouillage qui file discrètement en douce sans ordre du capitaine
;-)
Ca s'appelle de la mutinerie !!!
C'est vraiment un rappel pour tous ceux qui ont l'ancre à poste, assurez !
mais j'ai déja lu l'exemple d'un mouillage qui est sorti de la baille à mouillage et est partie aussi faire sa vie à l'eau !
Je l'ai vu dans le port, ça, un Kirk qui partait, on a entendu du bruit et le bateau est allé se planter dans les ducs d'Albe de l'autre côté du chenal. L'ancre était tombée, a croché au fond et le barreur n'a pas capté tout de suite...
Je ne suis pas surpris par ce récit, la Med peut être vraiment méchante et change d'humeur à une vitesse phénoménale.
Mais quand même, dévider le mouillage, emberlificoter les écoutes, déchirer le gênois et être en avarie moteur au même moment, c'est carrément la preuve que la loi de Murphy, ça reste redoutable...
Oui effectivement, là l'équipage à eu de l'occupation, et bien des choses à réfléchir pour la suite.
C'est quand même chaud.
Hello,
J'ai lu ça...effectivement, beaucoup d'emmerdes...une petite pensée pour les journalistes embarqués dans la galère?
Au moins, ils auront des choses à raconter...
Je pense qu'il faut prendre ce récit comme un cas d'école. Le lire et se poser les questions "pourquoi cette galère et qu'aurait-il du faire?"
Tout d'abord, Janvier dans le golfe du Lion comme en Atlantique, ce sont des moments et des endroits ou il peut faire mauvais et ou de petites dépressions locales peuvent donner des conditions dures. Donc, ne partir pour une traversée de plusieurs jours qu'avec une couverture météo blindée. Sinon, (surtout en Med), on suit la côte et on se fait des étapes de 40' maxi.
Ensuite, le mauvais temps arrive. Le boulot du chef de bord est de tout vérifier (encore un fois) Les harnais, les pompes, l'amarrage des choses restées sur le pont (dont l'ancre).
Les choses empirent, quelque chose ne va pas : La cape. Il faut savoir s’arrêter, réfléchir... Ici ; "pourquoi n'avance-t-on plus?"
Enfin, dans le mauvais temps et à part avarie de voile au vent d'une côte, le moteur n'est jamais une solution. Il peut se désamorcer d'autant plus que les mouvements sont importants faisant remonter les saloperies dans le réservoir, il peut chauffer sans qu'on s'en aperçoive, il peut entrainer plus d'avaries qu'il ne résoud.
Je ne juge pas et je sais que dans la nuit, le froid, le mauvais temps, il peut y avoir des erreurs, mais l’intérêt de ce genre de récit est dans la formation.
Je plussoie Ed, comme on dit sur les forums.
Mais depuis le début de l'après-midi où j'ai commencé à lire cette histoire (j'ai du m'interrompre entre temps pour reprendre ce soir), il y a un truc qui me trotte dans la tête :
"Le coup de vent de Sud (ou Sud Ouest, je sais plus) n'était pas prévu"...
Heuuuu...
Je crois que si, parce que je m'étais fait la réflexion que j'étais vachement bien à la maison, et que prévoir des traversées pendant ces vacances, ça n'aurait vraiment pas été une bonne idée, c'était baston vers les Baléares, baston vers la Corse, baston vers le Var (pas forcément au même moment ni dans le même sens, mais baston à un moment quoi qu'il en soit). Et qu'effectivement tu te prenais une branlée dans un sens avant de te prendre la même dans l'autre en moins de 24h (et je n'ose même pas imaginer l'état de la mer au large) en allant au sud (je suis à Gruissan).
Au moins un modèle météo (ICON ?) affichait ça.
Enfin, c'est pas très grave, à part le génois, il semble que tout soit d'aplomb, et l'équipage avec, ce qui est bien le principal.
Et je retiens le coup de la mutinerie de l'ancre : je la regarderai d'un autre oeil dés à présent lorsqu'elle commencera à se faire lécher les moustaches par les vagues un peu fortes. Je la mettrai en camisole !
Je pense que l'équipage n'était pas bien amariné pour pas dire débutant.
sur un bateau de cette taille, bien équipé et entretenu, c'est une formalité de passer des creux de 4m et des vents à 35-40 nds.
Le coup de l'ancre qui tombe c'est une blague? une ancre doit être sécurisée, une tige en travers, un mousqueton sur la chaine, etc ou bien rangée dans la baille. (ce que je fais pour des traversées à la voile)
Le coup de l'annexe sur le pont, idem, il faut absolument éviter d'avoir cela gonflé sur le pont quand des rafales à 30 nds sont annoncées ... ce qui était le cas! (et cela est monté plus haut!)
Enfin la voile qui se déchire, c'est le signe d'une garde robe pour le moins usée. c'est ok les voiles usées, mais pas pour aller jouer dans le golf du lion l'hiver.
Le moteur? pas de chance peut-être ... mais un remplacement régulier des filtre avec une petite analyse de ce qu'il y a dedans, plus une inspection tous les 2 ans du fond de réservoir m'ont toujours préservé des pannes lié au circuit de GO.
Voyons le bon coté des choses: Le métier rentre et il n'y a pas eu de bobo
Ils vont aussi apprendre à lire les grib. pour ma part j'ajoute 1 beaufort à ce qui est annoncé sur les grib ... et j'estime que le vent en rafale sera le vent réel ... ca permet de savoir à peut près ce que l'on va avoir!
Pour avoir été en mer le 31 et le 1er, je confirme que la houle de sud était sympathique et le reflet de ce qu'ils ont eu un peu plus bas.
Dans leur récit ils citent un sauvetage au barcarés,au même moment.
www.lindependant.fr[...]190.php
La mètèo fiable sur plusieurs jours ??????
en mèditerranèe rien n'est moins sûr,cet été on a vu le ciel changer en moins de dix minutes et on est passès de F2 à F7,heureusement on était au portant,on a eu juste le temps de rèduire avant que le vent nous tombe dessus.
C'est un 52 pieds.
Comme me le répétait mon loueur/moniteur préféré : "Le bateau passera, mais l'équipage, il n'y a que toi qui sais."
Ici, le bateau est présenté comme " un voilier très marin, sécurisant et confortable, idéal pour les grands voyages en famille." .
S'il est bien préparé, il est évidemment capable de passer un vent de 40 noeuds et une houle de 4 mètres. Ou alors, faut se mettre au ping pong et attendre la risée pastis.
Par contre, partir dans ces conditions avec un bateau non préparé (ancre, annexe, tiroirs, etc...) et un équipage non amariné ?
L'explication tient certainement dans le fait qu'ils avaient des invités à bord, avec certainement un timing à respecter. Mauvais plan.
Il faut apprendre à lire, mais surtout à corriger, les fichiers gribs et analyses météo.
Cela se regarde 8 jours à l'avance, et on observe les évolutions dans les prévisions, et on choisit la fenêtre en fonction de la météo, pas de l'avion à prendre...
Comme je l'ai appris, je rajoute systématiquement 20 à 30% aux vitesses de vents annoncés, et encore 30 à 50% en cas d'effets locaux. Cela m'explique les commentaires négatifs sur les prévisions qui apparaissent à certains toujours fausses.
Par ailleurs, il faut bien être conscient que si la météo est fiable dans les phénomènes (quand on sait la lire et la corriger), elle l'est moins nettement dans le timing. Le F7 annoncé demain midi peut fort bien arriver à 5 heures du matin, ou à 5 heures du soir. Partir entre 2 coups de vents annoncés rapprochés est donc jouer à la loterie, et il faut s'attendre, plus exactement être certain, d'avoir à en étaler un. Au moins.
Enfin, les orages restent imprévisibles tant en localisation qu'en timing. La météo ne parle que de "risques", ce que je traduis toujours par "certitudes".
Avec ces corrections, je trouve que la météo est très fiable, en Méditerranée. Y compris cet été avec le médicane en Grèce.
Ici, le bateau est passé. Même avec son ancre et 90 mètres de chaine dans l'eau, il a tenu.
Mais rentrer la trinquette pour dérouler le génois dans ces conditions, le résultat est quasi garanti. Mettre en route le moteur dans ces conditions, Ed a raison : le résultat est aussi quasi garanti.
Enfin, se rapprocher de la côte pour se "mettre en sécurité", sans voile et moteur à problème ? là, le résultat n'était absolument pas garanti. Mais les passagers ont eu leur avion ...
Oui et j'ai du mal à croire que personne n'a été traumatisé et que les enfants ont hate de repartir en mer.
En tout cas moi à leur place j'aurais envie de changer de mode de transport !
Bon , tout est bien qui finit bien et le skipper a correctement géré les ennuis qu’il avait lui même créés. Cependant permettez moi de promouvoir une allure qui solutionne tous les problèmes, LA CAPE. Le bateau soulage quelque soit la mer, l’équipage se repose, mange confortablement, ça permet d’aller faire un tour de pont jusqu’à l’avant en sécurité et de tout vérifier. Cette allure semble désuète et oubliée. J’ai passé la majorité de mes coups de vent à la cape à attendre que ça se passe , a dormir la nuit , a manger aux heures des repas et je pense que les heures perdues sur la route ont largement étées compensées par la sécurité pour le bateau et l’équipage.
Étonnant tout de même que le skipper n’ait pas associé les bruits bizarres qu’il entendait avec l’idée que l’ancre se soit détachée et que la chaîne se soit déroulée. C’est pourtant un accident assez fréquent par gros temps.
tout est bien qui finit bien, et c'est tant mieux
le skipper a fait ce qu'il fallait dans ces conditions ou on fait ce qu'on sait faire, et faire demi tour semblait être la meilleure solution, avec du SW, peu de chance d'être jeté à la côte
néanmoins ce qui m'interpelle quelque peu, c'est la vitesse de 2 knts sur un 52" qu'il souligne sans recherche du problème, passer de 7 à 2 knts, je me serais posé des questions et aurais cherché la solution; ça arrive dans des mauvaises conditions, voilure mal réglée, cap mauvais et ça n'avance pas et mettre à la cape (ce qui a été tenté) avec l'ancre pendante alors qu'on cherche à dériver un max, oui il aurait dû creuser un peu à mon avis...
mais bon, au coin du feu, ça semble évident
JL.C
La med est traitre, je peux le confirmer. c'est pourquoi les bateaux ici doivent être équipé d'une garde robe a mon sens complète que pour des nav atlantique en semi hauturier (ici le bateau n'a jamais été à bien plus de 60 MN d'un abri!): 40 nds n'est pas un phénomène isolé ni rare!
fin des 80's début 90's il y a eu +- dans la même zone un crash avec un Feeling 1090: Un déferlante s'est abattu sur le bordé avant, et tout ce qui était fixé sur ce bordé avait "éclaté" coté intérieur: toutes les aménagements de la cabine avant si ma mémoire est bonne. (bateau quasi neuf à l'époque)
le bateau avait également démâté et avait été secouru.
Certe les feeling était réputé pour être échantillonné assez juste: solide dans les fonds mais bordé prévu pour le programme du bateau à savoir pas faire le TDM par les 3 caps, mais plutôt du semi hauturier et vacances, mais cela révèle bien la force de cette mer que certains considèrent comme un grand lac
Je me sens un peu concernée, ayant pas mal navigué en hiver en Méditerranée et ayant dit que c'était tout à fait possible...
MAIS certainement pas partir de Canet tout droit vers les Baléares avec une telle prévision météo (oui c'était prévu !).
On fait des sauts de puce jusqu'au plus près, disons Palamos et là on décide !
(je vois seulement maintenant que c'est un grand bateau quand même... peut-être un gros manque d'expérience ?)
Faut pas jeter la pierre au skipper malheureux responsable de ses propres ennuis. Qui n'a jamais fauté? En remontant le mistral F6 musclé mer bien formée au large des calanques vers le golfe de Fos, j'ai fait la même bêtise, mon ancre mal sécurisée par une garcette qui a cassé est partie à l'eau, la différence c'est que le bruit de la chaine qui se déroulait m'a alerté et que j'ai pu bloquer la chaine après seulement 25 mètres déroulés sur les 50 dont je disposais. Ce fut compliqué de remonter le mouillage. Mise à la cape dans une mer formée, ma femme à la barre, et malgré le guindeau électrique, j'ai du mettre une demi-heure, mètre par mètre entre deux vagues, pour récupérer l'ancre, un rodéo sportif et humide avec la chaine qu'il fallait bloquer avec le pieds pour l’empêcher de sauter hors du barbotin, gants bottes et harnais croché court de rigueur.
Lorsque j'ai acheté mon bateau actuel, 2 heures après avoir quitté son port d'attache par force 5 au près dans la houle j'entends un boum boum boum. C'était l'ancre qui avait quitté le davier et tappait sur la coque. Juste une griffe dans le gelcoat mais bon...à ce jour, un an après je n'ai pas encore trouvé la façon idéale de bloquer l'ancre. J'ai vu il y a qlq semaines sur une vidéo youtube de erik aanderaa que son ancre était bloquée sur son davier par une espèce de grosse goupille qui passe par les joues du davier et à travers le jas de l'ancre. Je trouve ce système tellement évident... Je vais essayer de le copier.
J'admire la candeur de l'auteur de cet article. Il est rare d'avoir la sureté en soi suffisante pour pouvoir avouer ses erreurs. En preuve de cela, il y a eu un fil sur HEO sur les moments ou on a eu peur en naviguant. Dans 9/10 des exemples cités les intervenants citaient des causes externes (cargos qui foncent sur eux etc), alors que dans la vrais vie une proportion beaucoup plus importante de nos peurs sont causées par nos propres conneries.
Le gars a bien assuré. La tête dans les fonds à bricoler le moteur, pas évident.
Par contre je n'ai pas compris pourquoi il fait demi-tour. Il avait du SW au près au début, par contre était annoncé de la tramontane de NW ensuite. En remontant vers la côte c'était encore faire du près.
Mais 1/je n'y étais pas, et 2/je n'ai peut-être pas bien compris
Récit instructif et raconté avec humilité, contrairement à certains commentaires toujours des mêmes du haut de leur suffisance.
Sur ce type de bateau avec le fracas des vagues et du vent ça ne m’étonne pas du tout qu’il n’ait pas entendu la chaîne se dérouler et raguer. Avec la longueur de chaîne une fois déroulée l’ancre est trop profond pour taper.
Le récit est instructif si on analyse l'origine des problèmes et si l'on cherche ce qui aurait pu les éviter. Si on ne fait que critiquer la compétence du capitaine, ou si on ne fait que louer comment s'est terminée l'aventure, on n'apprend rien.
Je maintiens qu'un 52 pieds peut sortir en hiver avec une météo annonçant un vent de 30 noeuds, ce qui se traduit par du 40 très probable + effets locaux. Le bateau passe, lui. L'équipage, c'est au capitaine d'en juger. Pas d'erreur à ce niveau.
Coté équipement :
Mon ancre ne peut pas quitter le davier : une tige d'acier goupille de 8mm, qui traverse le davier au-dessus de la verge pas loin du rouleau, l'en empêche.
La chaine est bloquée par un bloque-chaîne qui ressemble à www.svb-marine.fr[...]ne.html
ce système est très fiable et devrait être généralisé (très utile pendant la manoeuvre de mouillage). Et en navigation, je l'assure avec un bout (à la réflexion peut-être un peu léger?).
Mes tiroirs et portes sont verrouillés, tout comme mes planchers. Pas d'ouverture inopinée (sauf les tiroirs sous le lit, trop grands et donc trop lourdement chargés : faut que je remédie à cela ).
La seule vraie erreur du capitaine, s'il en est une, que je relève est d'avoir cru que le cargo lui fonçait dessus. C'est un défaut d'équipement du voilier, sujet très régulier sur ce forum, qui montre là son importance.
Un simple récepteur AIS aurait parfaitement, constamment et immédiatement levé son doute. Un émetteur AIS aurait en plus alerté le cargo, pour le cas où son radar était en veille.
Si l'AIS confirme la collision, il le fait de très loin, un appel à la VHF mentionnant le nom du cargo aurait fait son effet (pratique, l'AIS : il donne toutes les infos du cargo, il manque juste l'âge de son capitaine!).
=> Un AIS aurait évité la décision du virement de bord qui a été la source de tous les problèmes.
A part ça, comme je l'ai écrit plus haut, je trouve qu'il a géré les problèmes avec calme, au point qu'il a conservé la confiance de son équipage, qu'il a ramené à bon port. What else ?
Certes des choix sont discutables, et c'est l'intérêt d'un forum d'en discuter, en rapportant sa propre expérience : le moteur, le génoa, l'annexe, les tiroirs. Mais on fait nos choix dans un contexte donné.
Et d'autres choix sont positifs : le PAN PAN, la réparation réussie du moteur.
Un davier avec un axe goupille pour tenir l’ancre c’est la base sur un bateau hauturier!
Ensuite on perce la verge de l’ancre au bon endroit si la verge le permet (la kobra est merdique pour cela.
La delta ou rocna est mieux de ce côté)
Ensuite un guindeau avec une ancre et une chaîne bien bridé doit être la règle également.
Ce n’est quand même pas compliqué de faire un noeud de chaise sur l’ancre et de frapper le bout sur un des taquets d’amarrage. C’est simple, peu coûteux, visible, et à toutes épreuves😉
Le bout sur l ancre c très insuffisant, il en faut plusieurs, dans un aller retour en corse au bon plein j ai rajouté bout sur bout, la Kobra est moins facile à coincer qu une plage, mais avec les bouts et une tension minimum sur le guindeau ça va
Avant sans le guindeau je mettais l ancre dans la baille maintenant je en préfère pas qu elle cohabite avec le moteur du guindeau😎
En tout cas môme le a appris le skipper ce n est pas un truc a prendre à la légère.
Le bloque chaîne, bel outil mais je n en aurais pas la place
ça m'est arrivé avec le neptune 99 au kerkenah en passant dans le sillage d'un bato de pêche ,la cqr
c'est décrochée et est partie toute seule ,mais nous l'avons entendu de suite et comme il n'y a pas de fond elle à croché de suite on a fait un beau 180 ,pas de casse ,mais après je ne l'ai plus laissée dans le davier ,direction le coffre de la baille bien fermé avec un loquet et un verrou .
alain
Pour jdmuys.
Le davier fait partie intégrante de la coque. Je le crois assez bien conçu :-)
2 tubes alu de diamètre 10cm prolongent l'étrave en avant et forment le davier.
On distingue 4 axes : le plus en avant (1) empêche l'ancre de se soulever et de sortir., et la chaîne de quitter son réa. Il porte un réa utilisé pour mon bout amortisseur. Il pourrait également servir à une seconde ancre (?).
Le suivant (2) porte le réa sur lequel repose le jas de l'ancre au repos, ou la chaine pendant le mouillage.
Ensuite vient (3) un rouleau en inox dont la rainure détord la chaine et sur lequel repose le jas quand l'ancre est à poste.
Le dernier (4), situé plus bas, porte un troisième réa, qui pourrait être utilisé pour une deuxième ancre (?)
C sur quel bateau? En tout cas pour perdre l ancre sur ce bateau faudrait vraiment le vouloir !,,