Quand tu cale en plein milieu du Port

Bonjour tout le monde , je me présente Robert , j’ai un petit voilier Tonic 23 quillard que je viens d acquérir , je suis un petit débutant et j’apprends , hier mon moteur Tohatsu 9,8 4 temps de 2005 a eu la bonne idée de caler en plein milieu du port , grosse frayeur !!!!
Si cela est déjà arriver à d’autre j’aimerais bien connaître vos réactions.
Merci

L'équipage
14 avr. 2019
14 avr. 201914 avr. 2019

La Gv étant à poste prête à être re hisser: tu envoies et fini à la voile.
Pareil pour la godille.

Voire les deux.
Si tu ne te sens pas trop à l'aise pour rejoindre ta place attitrée prendre la première place qui te tombe sous la main.

14 avr. 2019

ensemble
effectivement une possibilité mais pas toujours réalisable tout dépend l'endroit où l'on cale

14 avr. 2019

avant les réactions si la préparation a été faite
pare battages posés des deux cotés ,aussières préparées, gaffe sortie , s'éloigner le plus possible de tout ce qui est sous le vent du bateau ,vitesse pas trop grande ,configuration des lieux avant entrée la frayeur diminue et le temps gagné a installer l'ensemble donne la possibilité de réfléchir à la situation .
Dans un premier temps ne pas s'évertuer à essayer de démarrer le moteur et profiter de son erre pour positionner le bateau en vue d'un appontage ou d'une mise à couple

14 avr. 2019

Ton message est plein d’expérience j’en prend note
Merci

14 avr. 2019

J’ai oublié de vous précisez que je sortais du Port :mdr:

14 avr. 2019

dans ce cas suis l'avis de totor et une fois dehors il te reste plus qu'à mouiller et de regarder ton moteur

14 avr. 2019

Oui j’en prend note également , le soucis c’est que je n’avais pas encore sorti la GV ...je la sors en général face au vent une fois sortie du port .....

14 avr. 2019

totor a tout dit. Et la godille pour un 23' (et pour son patron) est un vrai miracle. MM

14 avr. 2019

perso lors d'un problème identique , j'ai déroulé 3m² de génois et suis allé prendre la première place de ponton que j'ai trouvé.......(pour refaire la purge!!!!)

14 avr. 2019

Un ami m’avez conseillé exactement la même chose

14 avr. 2019

Appeler le port en VHF qu'il viennent aider n'est pas une mauvaise idée. Il y a presque toujours un bateau du port qui patrouille . Ca m'est arrivé au port de Pornichet La Baule où l'espace entre les pontons est très restreint, la vedette a eu le temps d'intervenir avant le "boum!"

14 avr. 2019

Merci pour vos messages et votre vécu les gars !!!
Même si la situation est stressante il y a pas mal de solutions
:pouce:
Rassurant ...parce qu’on a vraiment l’impression de passer pour un guignol sur le moment :mdr:

14 avr. 2019

Ça c'est fini comment finalement ton aventure

14 avr. 2019

Une cause toute bête de "calage" : le bouchon de la nourrice ou du réservoir trop serré, ne laisse pas enter l'air, l'essence n'arrive plus...

15 avr. 2019

bonjour, normalement au dessus du bouchon il y a un petit évent qu'il faut dévisser pour que l'air puisse rentrer, ne pas oublier de le faire avant de démarrer le moteur, et de le refermer au retour. Sinon le moteur fonctionne mal, et peut caler.

14 avr. 2019

Ben en tant que débutant :tesur:....mon épouse a pris la gaffe immédiatement et j’ai de suite essayer de redémarrer le moteur qui ne voulais rien savoir ...j’ai donc mis la marche avant à fond et il a enfin démarré....ouf....mais comme il ne tournais pas rond et que nous étions avec les enfants j’ai fait demi tour en plein milieu et je suis retourné à ma place en calant deux nouvelles fois au passage ....Mais on y est arriver :whaou:
Je fait tourner le moteur à quai au ralenti , en marche avant et arrière un peu toute l après midi pour essayer de comprendre ...je trouve que le ralenti été un peu haut et la marche en avant a bas régime été limite....je ne suis pas assez qualifié en mécanique ...donc je pense le faire réviser ....afin de m’éviter ce genre d aventures inoubliables

14 avr. 2019

Ah ...je prend note aussi , c’est vrai que j’ai fait un appoint en essence juste avant de partir ...j’aurais trop serré ? Peu être merci pour l’info

Le lancement élégant et décontracté d'une voilure d'urgence suivi d'un accostage léger et maitrisé sera à même de boucler le bec des moqueurs.

14 avr. 2019

La grande classe même

14 avr. 2019

Bonjour Robert,
Je ne peux que te conseiller fortement d’apprendre à manœuvrer à la voile seule et également d'apprendre à godiller. Par ailleurs tes voiles doivent être toujours prêtes à être hissées dès que tu quitte ton ponton ou avant d'y arriver.
Pour la manœuvre à la voile je te suggère de t'entraîner d'abord à prendre des bouées de mouillage avant d'essayer dans un port.
Tu verras c'est très sympa d’apprendre et de réussir à se passer d'un moteur, surtout sur un petit bateau. ;-)

14 avr. 2019

Oui cela me semble une très bonne idée ????

14 avr. 2019

Tant que ton bateau a de l'erre il est manœuvrant. Il faut s'arranger pour que cette capacité à manœuvrer te permette de te remettre en sécurité. Et là tout dépend de la situation, mais il faut décider vite.
Un équipage réactif, ou seul à bord... Voiles prêtes à être envoyées (ce devrait être toujours le cas), vent fort ou pas... dangers à proximité...
La prise au vent due au fardage peut être suffisante pour mettre en fuite vers une place accessible...

14 avr. 2019

Pour un voilier le moteur est une puissance propulsive d'appoint. Il faut toujours être persuadé que la voile est le premier moteur d'un voilier et que l'on peut toujours chercher à arrêter le bateau en jetant une ancre tant que le fond le permet. Perso en panne de moteur depuis Calvi, et arrivé à la voile juste devant l'entrée du port de Hyères la capitainerie a refusé de venir me remorquer ou de me laisser entrer à la voile. J'ai donc dérivé et mouillé sur la petite plage juste en face de l'entrée.

14 avr. 2019

Ils ont le droit de refuser l’entrée à la voile ?

14 avr. 2019

A mon avis c'est les pétons...

14 avr. 2019

j'ai remarqué que le moteur tombe toujours en panne lorsque l'on s'en sert ,une fois demarrer ...ça doit etre etudié pour ..

donc s'il y a une chose à laquelle je n'ai pas confiance à bord c'est bien au moteur donc j'anticipe autant que possible ...et pour ce faire si au ponton avant de partie le vent en force et direction n'est pas trop mal je hisse ma GV ...et si le moteur fonction je la laisse mole ...

14 avr. 2019

Si vous aviez oublié le mythique coup des pétons...
Une petite piqure de rappel est à votre disposition là :

14 avr. 2019

:mdr: :mdr:je dois le prendre comment :reflechi: :mdr:

15 avr. 2019

C'est pas sympa ce que t'as fait. Je suis MORT DE RIRE depuis une heure ;););) C'est ENORME, MERCI

14 avr. 2019

:-) Rien de personnel Mirabelle :-)
J'adore ce film ! j'avais juste envie de partager la triste histoire des pétons...
Au passage, le film complet est dispo sur You Tube, la scène finale du retour de l'île d'Aix est simplement géniale.

14 avr. 2019

A l’occasion je me le ferai alors ????

14 avr. 2019

Sur un petit voilier, en équipage, le rocking peut être une très bonne solution pour gagner une/sa place sans encombre.

14 avr. 2019

Manœuvre de port : celle où on laisse de l'orgueil...et quelquefois de la peinture :tesur:

14 avr. 2019

"Une manœuvre réussie n'est qu'une série de catastrophes évitées de justesse".

Mon bateau remonte bien sous foc seul, très rapide à envoyer en cas de besoin.

14 avr. 2019

Si danger il y a encore l'ancre pour mise en attente ?

14 avr. 2019

l'ancre, OK, mais en dernier ressort AMHA après avoir croché dans une bonne grosse chaine de fixation des pontons; ou alors, aimer la plongée en eaux troubles!

14 avr. 2019

Le recours à l'ancre n'est pas du tout adapté au cas de figure que nous soumet Mirabelle qui je le rappelle est à la barre d'un Tonic 23, autant dire une "mobylette".
Avec un voilier évolutif de cette taille, en cas de panne moteur soit c'est pétole complète et on se déhale à la godille, soit il y a du vent et on manœuvre à la voile, ce qu'on a appris à faire précédemment bien sûr.
Il fut un temps ou beaucoup de voiliers de cette taille étaient dépourvus de moteur.
La problématique est bien sûr différente si on est à la barre d'un voilier de 12 mètres, mais bon un voilier de 23 pieds...

14 avr. 2019

J'ai souvenir d'une entrée dans le port de Granville, de nuit (3h du matin, début décembre), sur un Sangria dont le moteur hors-bord était bloqué. Grand voile affalée, génois partiellement roulé. Le problème était le retour de vent quand on passait derrière le quai. On s'y est repris à 3 fois et on a fini avec les pagaies de l'annexe.

14 avr. 2019

c'est vrai que dans le cas de Granville, c'est un peu particulier, spécialement compte tenu du niveau de la marée (de mémoire, 12 m d'amplitude en VE, 3e mondiale) qui peu causer des pb de vent quand on est proche du niveau du seuil (je crois que j'y ai écrasé qqs crabes un 14 juillet) et de courant violent entre les étales.
Il doit y avoir d'autres ports à surprise, comme souvent, il faut envisager à l''avance le cas de figure , je pense, le conseil ci-dessus de s'entrainer un peu avec une bouée m'apparaît de parfait bon sens.

14 avr. 2019

les pagaies de l'annexe sont pour moi, l'une des meilleures solutions et surtout bien moins encombrantes qu'un aviron pour faire la godille.

Les miennes sont toujours à portée de main dans le coffre.

14 avr. 2019

A la godille sur un Tonic 23... j'attendrai bien une démonstration des conseilleurs. ;-)
De même pour un retour à la voile dans la place exiguë d'un port de plaisance actuel.
Mais je ne doute pas que, sans aucun doute, ces conseilleurs ne manqueraient pas de nous impressionner ! :-D

14 avr. 2019

Je suis rassuré par votre commentaires .....parce que je commencer vraiment à me dire que j’étais une bille :whaou: :whaou:

14 avr. 201914 avr. 2019

@Pet au casque...
Comme je me sens un peu visé par ton commentaire, je me permet de t'affirmer que godiller un Tonic 23 n'a vraiment rien de particulièrement difficile, et j'ai suffisamment pratiqué cet exercice pour être aussi affirmatif.

Maintenant en ce qui concerne les manœuvres à la voile je serais plus nuancé et j'ai bien précisé plus haut qu'il convenait de s’entraîner avant dans des endroits dégagés, en s’exerçant par exemple à prendre des mouillages à la voile. Cela dit je t'accorde qu'il peut y avoir certaines places inaccessibles à la voile pure de part leurs exiguïté et/ou leurs orientations par rapport au vent ou au courant.
Par ailleurs loin de moi l'idée de vouloir impressionner qui que ce soit ni même de me considéré comme un manœuvrier hors pair, je sais trop bien
que dans ce domaine une manœuvre réussie n'est qu'une catastrophe ratée. Néanmoins pour avoir possédé cinq bateaux totalement dépourvus de moteurs, dont un un en acier de 8m, et m'étant baladé un peu partout, y compris dans des ports inconnus de moi,et sans jamais avoir cassé de bateaux autour de moi (même si quelquefois j'ai eu quelques sueurs...) je pense savoir un peu de quoi je parle.
Je te rappelle aussi qu'il n'y a pas si longtemps la plupart des écoles de voiles formaient leurs stagiaires à la voile pure associée à la godille, et ce n'est pas d'hier que les ports sont exigus.
J'ajoute aussi que je trouve dommage que la plupart des nouveaux plaisanciers ignorent tout de ces pratiques. :litjournal:

15 avr. 2019

Ben je te suggère d'essayer...
Il suffit simplement d'avoir un aviron d'une longueur suffisante associé à une dame de nage installée au bon endroit avec l'inclinaison qui va bien.

15 avr. 2019

Voilà, je suis plutôt d'accord avec toi Duduche Braz.
Quand je lis: "quand le moteur cale, il faut tout d'abord consulter l'anémomètre, puis choisir la voile que l'on va utiliser..." ben je me marre un peu quand même en imaginant la situation entre deux pontons... :mdr:

15 avr. 2019

Voilà tout à fait BWV 988.
Donc récupère une photo de l'arrière d'un Tonic 23 et tu nous montres où tu mets la dame de nage.
Ca aidera beaucoup notre ami... :-D

15 avr. 2019

Si il y a un problème à mettre la dame de nage, c'est parce qu'on prend le problème à l'envers.
On met tout un tas de bordel à l'arrière, et on pense à la dame de nage en dernier, et bien sûr, il n'y a plus de place.
A la conception d'un bateau, on place le moteur d'abord, et on amenage autour ensuite.
Faut juste faire pareil avec la dame de nage, c'est tout.
( il faut bien sûr être conscient de son utilité et savoir s'en servir comme préalable)

15 avr. 2019

@Petocask,

au cas où tu ne le saurais pas, il n' y a pas si longtemps que çà, l' aviron de godille (et la dame de nage qui va bien avec) était OBLIGATOIRE sur tous les voiliers de moins de 8 mètres, et donc de plus de 2t5 en charge, et beaucoup de bateaux bien plus grand des années 70 en étaient équipés, même si ce n' était pas obligatoire, simplement par bon-sens.

Mon Brise de mer 31(dont le tableau arrière est bien plus haut que celui du Tonic 23) qui doit déplacer pas loin de 4t a une dame de nage et une godille, dont je me sers régulièrement.

La "Sereine" des Glénans (13m et une quinzaine de t) a fait plusieurs fois le trajet Glénan-Concarneau par calme plat avec sa seule godille comme moyen de propulsion!

Quand au délais de mise en œuvre d' une godille, sur mon bateau, je n' ai pas chronométré, mais je suis sûr qu' elle peut être opérationnelle en une dizaine de secondes, bien suffisantes si peu de vent, et ma trinquette qui est sur enmagasinneur ne demande pas plus de trois secondes pour l' être si il y a du vent.

Mais bon, aucun mérite à cà vu que j' ai appris à naviguer sur des bateaux dépourvus de moteur.

Gorlann

15 avr. 2019

Alors, vus la hauteur du tableau arrière d'un Tonic 23 (pour sa taille), je serais vraiment curieux de te voir le manœuvrer à la godille, effectivement, comme écrit plus haut.
Sans compter que ce genre de bateau comprends obligatoirement à l'arrière un hors-bord, un safran extérieur et souvent une échelle de remontée.
Franchement, bien que sceptique je ne demande qu'à voir.

15 avr. 2019

Dans le cas de l'arrêt subit du moteur, le temps de prendre la dame de nage (merde elle est où) de sortir l'aviron ou de le décrocher de son emplacement et d'être à post pour godiller... tu est déjà dans le tableau arrière des voisins de ponton ou contre le quai...

15 avr. 201915 avr. 2019

Sur un petit bateau dépourvu de moteur la dame de nage est installée à poste avec l'aviron positionné juste devant de sorte qu'il est immédiatement opérationnel. Et sur un petit bateau équipé d'un moteur HB on fait comme si on avait pas de moteur avec donc la même configuration.

Je rappelle que dans les temps anciens les constructeurs Kelt marine et Beneteau livraient leurs KelT 8m et leurs First 30 équipés d'origine d'une dame de nage car ils s'imaginaient que les acheteurs en maîtrisaient l'utilisation... :-p

15 avr. 2019

Allez pet au casque, je te laisse chercher, t'en trouveras pleins sur le net.
Faut que tu bosses un peu! :mdr:

15 avr. 2019

Ben bien sûr. Sur un voilier de 2,5 tonnes comme le mien, la première chose à laquelle on pense, c'est à installer une dame de nage !
Mon Dieu ou avait-je la tête ?!

15 avr. 201915 avr. 2019

@Petocask: Il ne s'agit pas d'un conseil, encore moins d'une solution, car il n'y en a pas. Il est bien évident que si tu es dans ta panne, entouré de bateaux à moins de 1m50, la seule chose à faire c'est d'atténuer le choc lorsque tu t'appuies sur eux. Surtout s'il y a du courant. Mais si tu es dans le port ( je cite: "en plein milieu du port"), avec une marge de manoeuvre de 25m autour de toi, ma proposition n'est pas si "marrante" que cela. Vécu, perte de motricité brutale (rupture de clavette), j'ai rapidement envoyé un bout de génois (par chance au portant) en gardant la drosse d'enrouleur à la main, pour l'enrouler au fur et à mesure de ma progression et finir en marche avant.
Quant à te "marrer", n'est d'aucune utilité pour un marin qui s'avoue débutant, et certainement pas rassurant. Maintenant, si j'ai pu provoquer chez toi un moment d'hilarité, tu m'en vois ravi. :alavotre:

14 avr. 201914 avr. 2019

Pour avis sur mon propre canote....car n'ayant jamais essayé la godille que dans une barquasse à cul étroit, et je n'étais pas bon....
...sur un petit voilier, carene assez recente, genre sportboat, donc cul large et plat, pensez vous que la godille puisse etre efficace?
Comme ça, pour mon info, et une eventuelle reflexion sur la pertinence de cet équipement.
Merci

15 avr. 2019

@Nathis
Je n'ai jamais essayé sur un sport-boat mais je ne vois pas pourquoi ça ne fonctionnerait pas, j'ai par contre souvent godillé sur un mini sans problème.
Maintenant attention, et je dis ça à l'intention de notre ami Mirabelle qui est débutant, la godille a des limites très vite atteintes, il faut d'abord bien évidemment avoir un aviron adapté à la taille du bateau, ensuite dès qu'il y a un peu de vent, on oublie, il faut alors compter sur le moteur ou les voiles. Par contre, indépendamment de la propulsion un aviron peut aussi aider à assurer un virement. Je précise aussi qu'on parle là essentiellement de petits bateaux.

14 avr. 2019

@ Petocask: je ne dirais rien,ça risquerai de t'impressioner !
:mdr: :mdr: :mdr:

15 avr. 2019

Mais si, mais si.
Je t'en prie, fait-moi ce plaisir !
Et pis en plus c'est l'heure de l'apéro, alors tout est permis !
:topla:

14 avr. 2019

Pour ma part panne de moteur a 3 milles du port de Menton , j'ai contacté la capitainerie en leur expliquant que j'allais arriver à la voile, sauf que... Plus le moindre souffle donc ils m'ont dit si vous arrivez à l'entrée du port on vient vous remorquer sinon c'est le crossmed ! ça n'a pas été simple, cependant j'ai pu arriver à l'entrée mais la houle me poussait vers la digue.... petit moment de frayeur heureusement le zodiac de la capitainerie est venu me remorquer et m'aider à m'ammarer.
Au bout du compte la panne moteur qui me fait le plus peur c'est celle qui t'arrive lorsque tu es près de la côte .
Depuis je bichonne toujours mon. Moteur au cas où...

14 avr. 201914 avr. 2019

En tout cas toutes vos expériences sont bonnes à prendre pour un petit débutant :pouce:

15 avr. 2019

Depuis un problème batterie trop près du chenal d'entrée, je démarre toujours le moteur bien avant....on ne sait jamais....
J'ai plus confiance dans mes voiles.... :heu:

15 avr. 2019

j ai juste un soucis dans tout ce qui est écrit, c'est le fait de prendre une gaffe .... moi je l'ai bannie sur le boat, bien trop d'accident avec, dans le stress tu essaie d'attraper un truc avec ou pire de ralentir un "choc" et c'est l'accident, tu passes par dessus bord ou pire tu t'empales avec la gaffe ......

moi je préfère rentré et sortir du port pare batts en place même si certains me prennent pour une truffe, par contre toujours un pare batt ou une grosse bouée prête a être mise entre le boat et un autre boat ou entre un ponton pour amortir et ne pas faire de casse

ce n'est que mon avis, pour le reste .... on a et on aura toujours des trucs qui déconnent que ce soit un moteur récalcitrant ou autre

15 avr. 2019

Ne pas disposer d'une gaffe facilement accessible sur un bateau est incompréhensible. C'est le seul accessoire, prolongement de la main permettant facilement d'accrocher n'importe quoi, bouée, y compris de sauvetage, cordage, objet ou personne dérivante non réactive, etc.. Le bon sens conseille aussi de préparer le bateau avant l'entrée du port. On met donc en place les pare battages, les amarres, etc.. et on enlève tout ce qui pourrait être détruit par un voisinage fâcheux, par exemple pale immergée de régulateur.

15 avr. 2019

Je me tâte à en mettre une seconde sur le mien (mais c'est vrai qu'entre l'écluse d'Arzal, les bouées où l'on doit s'embosser, les tonnes à Hoedic les occasions de s'en servir ne manquent pas)

15 avr. 2019

il n'y a pas bien longtemps ,ça c'est passé à la londe ,4 glands sur un 28 pieds ils ont appelé la snsm .
qui est venue les mettre à leur place avec le semi rigide .
alain :mdr:

15 avr. 2019

Comme dit Louis Jouvet, l'imprévu c'est ce qui ne manque jamais d'arriver. Nous avons pour la plupart tous vécu cette mésaventure qui fait partie de notre apprentissage.
Premièrement, les conseils contradictoires de tous les Tabarly qui sont sur le quai, tu t'assois dessus.
Ensuite, abandonner le réflexe "automobiliste" qui ne compte que sur son moteur et se souvenir que la principale propulsion d'un voilier, c'est la voile. Si plusieurs à bord, éventuellement mettre un équipier au moteur sinon perte de temps précieux. Un coup d’œil à l’anémomètre pour voir le vent, décider rapidement de la voile à envoyer, l'essentiel étant de redonner de la vitesse au bateau (comme dit plus haut, un voilier immobile n'est plus manœuvrant ). Dès que ton bateau a de l'erre, tu décides ce qu'il est le plus sage de faire. Si pétole, petit coup de VHF à la capitainerie.

15 avr. 2019

Le moteur, c'est utile, mais il vaut mieux ne pas compter dessus, et l'inconscience de certains est stupéfiante.
Exemple : cote ouest du portugal, très belles falaises avec bon vent d'ouest ( à la louche, F4 +) et houle, j'admire en bon terrien profitant de la vue depuis le phare les brisants sur cette cote accore sur un bon nombre de miles, quand je vois passer à max 1/3 de nautique, évidement au vent, un beau voilier de 12/14 m, au moteur, 4 ou 5 personnes, sans aucune voile à poste à en croire mes jumelles. Un peu d'eau ou d'impuretés dans le g-o, et sauf s'ils étaient bons, il ne leur restait plus qu'à prier avant d'être pulvérisés sur les brisants (aucune intervention possible dans un délai suffisant).

15 avr. 2019

Il n'y avait donc pas une ancre à poste, sur ce 12 mètres ?

Dès que j'approche d'une cote ou d'un port, entrée ou sortie, la mienne est toujours prête à être mouillée.
C'est ainsi que j'ai appris.

15 avr. 2019

Ce qui m'étonnes, c'est que personne est pensé à "godiller" avec le safran, ça marche très, tu l'as déjà sous la main et à poste, et tu peux faire évoluer le bateau pas que en avant. Inconvénient, ça va pas très vite et il y a un coup de main à prendre. Sur barre à roue, je suis sceptique :mdr:

15 avr. 2019

Si l'incident moteur survient dans un endroit où le vent est nul, l'eau parfaitement plate et sans courant, t'énerver sur ton safran pourra peut être te déplacer un peu... mais là pas de danger. La question posait sur des conditions un peu plus scabreuses et comment s'en sortir.

Au-delà de l'eau plate une journée sans vent, il y a souvent le courant qui est, lui, toujours présent et pas toujours clément.

A la limite, je préfère largement le petit peu d'air qui, même à sec de tout, te donnera toujours le petit peu d'erre ( :heu: ) suffisant pour être un peu manœuvrant au pas d'air du tout qui t'abandonne aux mains traitresses du seul courant, sans aucune possibilité de faire quoique ce soit.

15 avr. 2019

Ben duduche, au port pas de mer et si venteux, un bout de tissu.
Pour le safran, essaye, t'as pas besoin de t'énerver mais il faut prendre le coup de main.

15 avr. 201915 avr. 2019

@skipperTramex:
Nous faisions des courses sur le lac Léman par super pétole en godillant avec le safran. Ça m'a toujours servi (et rassuré), notamment, l'année dernière où mon "fidèle" moteur m'a lâché traitreusement à cinq mètre de ma bouée de mouillage.
J'ai pu gagner sans problème ma bouée, qui me narguait d'un sourire grinçant !
Faites l'essai de godiller avec le safran, et vous serez surpris de l'efficacité du procédé.
C'est basiquement le mode de propulsion des poissons. ;-)

15 avr. 2019

Moi dans ce cas, je me fais un café et je rallume le moteur. Perso.

15 avr. 2019

J'ai un peu de mal à comprendre cette obsession de la panne de moteur. Un moteur bien installé, correctement entretenu et utilisé normalement ne tombe pas en panne. Dans ces conditions, le moteur est probablement l'un des éléments les plus fiables du bateau.
En quelques (understatement) années de navigation, je n'ai eu qu'une seul incident en navigation qui était liée à une négligence d'entretien de ma part. Incident non bloquant et rapidement réparé d'ailleurs.
Après toute opération d'entretien ou de modification touchant le carburant p. ex., la prudence commande de tester le moteur avant de prendre la mer.
Plus que la panne moteur, il est davantage à redouter de prendre un bout, dans l'hélice ou de casser la commande du moteur au cours d'une manoeuvre.

15 avr. 2019

Hé bien Lulu tu as de la chance.
Ete 2018, en approche d'un port.
Mon moteur est régulièrement révisé (par moi-même) et l'année d'avant par un professionnel.
Jamais eu le moindre soucis avec. Ni avant, ni après.
Mais, ce jour-là... ben il m'a lâché à 20 mètres de la jetée, juste avant d'entrer dans le port.
Examen approfondi (juste après avoir largué l'ancre en catastrophe évidemment) sous le regard amusé des piétons qui étaient juste au-dessus de ma tête rien à signaler.
Du coup j'abandonne et met en place le tout petit hors-bord de l'annexe pour m'en sortir quand même.
Mais il fait chaud alors, après cet effort, je décide de faire une pause et vais manger mon sandwich à l'avant du bateau.
Et là je découvre que la goupille de mon étai était à 0,1 mm de me lâcher.
En gros dans les 30 secondes j'allait prendre mon mât sur la trombine.
Ceci réparé, je suis reparti, grâce au moteur d'annexe.
2 heures plus tard, je ré-essayait mon moteur principal, qui évidemment démarrait sans aucun problème. Ce qu'il a toujours fait depuis...
Comme quoi, petit UN: il PEUT TOUJOURS y avoir un problème sur un moteur.
Petit DEUX: il y a vraiment un grand manitou qui protège les fous comme moi ! :lavache:

15 avr. 2019

Lulu, par définition, la panne peut arriver.

15 avr. 2019

Ben oui. C'est évident. Mais d'ici à en faire une obsession, il y a de la marge.
Bien d'autres éléments vitaux d'un bateau peuvent aussi défaillir : drisse, écoute, gouvernail, gréement dormant, etc. Ils ne sont pas plus fiables qu'un moteur entretenu.

Les bateaux professionnels ne tombent que très rarement en panne car ils sont bien entretenus et utilisés par des gens compétents.
Les pannes des plaisanciers sont souvent liées à un mauvais entretien ou à une négligence.

15 avr. 2019

"Il n'y avait donc pas une ancre à poste, sur ce 12 mètres ? "
Bonne observation, aux 10*50, rien vu, elle pouvait être sur le bord opposé, mais vu le fond à cet endroit (d'après la couleur), ils avait intérêt à être rapides, avec une bonne longueur de chaîne, et y auraient-ils pensé? Vu la façon de faire, sans même un bout de toile pour stabiliser le roulis, devaient pas trop avoir l'habitude du mouillage sauvage. Enfin, ça c'est bien terminé cette fois.

15 avr. 2019

La longueur théorique de l'aviron de godille n'est-elle pas de 5 fois la hauteur du tableau arrière?

15 avr. 2019

Bon ben là ça lui en fait un de 5 mètres... :whaou:

15 avr. 2019

il font l'exercice à l'examen du yachtmaster en te coupant le moteur à l'entée du port: toujours avoir un génois à dérouler ou une voile à hisser pour rester manoeuvrant.
Mouiller n'est pas conseillé à cause de l'évitement et de la chaine que te rend non-manoeuvrant

15 avr. 2019

Quel rapport entre le "yachmaster" et le plaisancier de base (dont j'ai l'honneur de faire partie) ?
Où alors, pour rester dans le genre de comparaison complètement à côté de la plaque, je vais vous faire passer un examen de conduite spéciale comme c'est ma spécialité, et on va voir comment vous vous en sortirez (où plutôt: comment vous ne vous en sortirez pas... ;-) )
Quand à mouiller l'ancre qui ne serait "pas conseillé", la prochaine fois je vous appelle... :-D

15 avr. 2019

Quand tu paniques pour ça vend ton bateau, passe au kayak.

15 avr. 2019

T'as jamais été débutant ? Et d'accord avec Némo: pétole + courant dans un port encombré,c'est l'équivalent d'une voiture en devers sur une magnifique plaque de glace dans un parking. La finalité de la chose c'est de venir s'appuyer doucement sur les bateaux à quai sans faire de dégâts.

15 avr. 2019

T'as jamais été débutant ? Et d'accord avec Némo: pétole + courant dans un port encombré,c'est l'équivalent d'une voiture en devers sur une magnifique plaque de glace dans un parking. La finalité de la chose c'est de venir s'appuyer doucement sur les bateaux à quai sans faire de dégâts.

15 avr. 201915 avr. 2019

Comment fais-tu pour établir un distinguo entre un savoir que tu qualifies de suprême et qui dans ton esprit ne te semble pas sérieux, et un simple savoir qui résulte tout simplement de l'expérience? :reflechi:

15 avr. 2019

Effectivement dans ce fil je me suis permis de donner un conseil à notre ami mirabelle, c’est celui d’apprendre les rudiments des manœuvres à la voile et aussi d’apprendre à godiller.

J’ai compris au fil des tes interventions qui n’ont strictement apportées aucune réponse aux interrogations d’un débutant, que ta spécialité était la conduite spéciale (auto, moto, piste, route, terre, neige ?...) ; ça tombe bien parce que c’est un sujet qui m’intéresse, mais non suis-je bête, tu refuseras de me donner des conseils si je te demande comment acquérir des compétences dans ce domaine, tu refuseras de partager ton savoir…

A propos c'est lors d'une sortie de route que tu t'es fait un pet au casque?
:-D

15 avr. 201915 avr. 2019

Ah ben non, t'es pas sympa, tu bottes en touche. Tu as indiqué plus haut que ta spécialité était la conduite spéciale sans aucune précision sur la nature de cette activité, ce qui m'a quelque peu titillé puisque c'est un domaine que j'ai un peu approché dans une précédente vie (fort modestement...), et dont la maîtrise est quand même plus difficile que celle de la godille. Mais bon, si tu ne veux rien dire... :-D

15 avr. 2019

Non Tilandsia. Beaucoup de "commentateurs" et "conseilleurs" sur Hisse et Oh sont nés avec le savoir suprême... :heu:

15 avr. 2019

Je part du principe que MON expérience ne fait pas systématiquement de moi un excellent "conseilleur" dans l'innombrables variétés des situations.
Aussi je ne dis jamais ce qu'il "faut" ou "faudrait" faire, mais simplement de que j'ai fait lorsqu'une situation proche ou semblable m'est arrivé.
Car je n'étais pas, ne suis pas et ne serait jamais à la place de celui qui me lit, si un jour cela lui arrive.
Ainsi je ne donne aucun conseil (tu peux relire tout ce que j'écrit), je fais simplement part de ce que j'ai vécu et/ou de ce que je sais de façon sûre et vérifiable (par n'importe qui). Je n'ai pas "L'EXPERIENCE" dont tu parles (en vieux loup de mer ?), j'ai tout au plus "des expériences" qui, si elles peuvent être utiles et dépanner quelqu'un, je lui en fait part avec plaisir.
La posture de beaucoup, ici, est toute différente.

15 avr. 2019

Effectivement je ne pourrais partager mon "savoir", si savoir il y a, car c'est dans un domaine que tu ne connais pas.
Cela ne te dirai donc rien ne t'apporterai donc rien.
Un peu comme si quelqu'un me donnait, par exemple un cours sur les subtilités de la programmation informatique ou les 23 déclinaisons existantes en serbo-croate...
Je t'en prie, ça me fait plaisir !

15 avr. 2019

Bonjour ,
Tout à fait d'accord avec Polmar , le rocking est le moyen le plus rapide et efficace à mettre en œuvre même avec un peu de vent
appris en régate sur 5,5O m pas de moteur pour sortir
et appliqué des années sur Etap 23 (poids et longueur identique au Tonic 23) y compris en arrivant tard ou parti tôt pour ne pas déranger les voisins de ponton sans faire de bruit
Le principe : se servir de la quille ou dérive conne une queue de poisson.
Pour ce faire si plusieurs à bord , tout affaler , se mettre au pied de mât , balancer le bateau de babord à tribord 30 degrés soit un angle total d'une 60 aine de degrés le bateau va se mettre à avancer puis il suffit d'entretenir le mouvement . On peut esperer 1,1.5 nd il est facile de parcourir quelques centaines de mètres . Le barreur accompagne le mouvement avec sa barre sans forcer .
Si seul, le mouvement est plus long à sa créer mais faisable depuis le cokpit en tenant la barre
Encore réalisé ce week-end
Bonne journée
Marc

15 avr. 201915 avr. 2019

Faire du rocking ça marche, plus ou moins bien selon la carène... godiller en bougeant le safran est moins évident, l'idéal est de combiner les deux.
C'est là que l'entrainement ceux qui pratiquent la voile sur des bateaux de régate sans moteur (ou dont le moteur accessoire est tellement compliqué à installer qu'on ne le met que rarement) est intéressant...

15 avr. 201915 avr. 2019

A mon avis le rocking et le "godillage" avec le safran sont à mon avis des méthodes complémentaires qui peuvent se révéler utiles sur des très petits bateaux, mais qui atteignent plus vite leurs limites que la godille traditionnelle qui elle, peut se pratiquer sur des bateaux plus lourds, et par ailleurs le rocking est plus efficace à plusieurs contrairement à la godille qui peut se pratiquer en étant seul à bord.
Cela dit je n'ai pas pratiqué autant le rocking que la godille,je laisse donc le soin à ceux qui ont plus d'expérience que moi dans cette pratique de développer.

15 avr. 201915 avr. 2019

Merci Mike,
Je désespérais car personne ne relevait mon excellente (?) suggestion. ;-)

J'avais fait exprès de ne pas détailler la technique, il faut bien que les lecteurs utilisent leur moteur de recherche. :mdr:

15 avr. 2019

Et si le moteur de recherche tombe en panne ?? godille ou rocking ??

15 avr. 2019

Dans les souvenirs déjà racontés ici, la panne moteur juste à la sortie des Bas Sablons avec du noroît F4... Quand tu vois les blocs de pierres qui forment la digue tu te dis que l'endroit n'est pas propice à l'accostage... J'ai gueulé "panne moteur", ça a fait réagir ! et envoyé un équipier faire du tir à l'arc sur la drisse de GV tant que j'étais à peu près bout au vent, abattu dès qu'il y a eu assez de toile pour reprendre ce qu'il fallait de vitesse et pouvoir virer de bord.
La promptitude des réactions a été salvatrice. L'habitude de préparer les voiles (retirer le taud et l'araignée de la GV) avant de quitter le ponton aussi.

15 avr. 2019

En même temps, comme dirait l'autre, un 23 pieds qui dérive au vent ou au courant dans un port, ça s'arrête au pied avant qu'il ne fasse mal à qui que ce soit. Au pire on fait comme Obélix : on se met à l'eau et on le pousse à la nage.

Mon 10 tonnes et plus, c'est un peu différent.
Et je n'envisage pas une godille...
J'ai infiniment plus peur du bout dans l'hélice (déjà arrivé 2 fois) que de la panne moteur.

15 avr. 2019

outremer

je te donne raison pour un objet ou personne inerte (quoi que si inerte c'est déjà trop tard) cf la gaffe, mais une bouée .... je l'attrape avec un bout style lasso et une fois fais je passe un autre bout dans l'anneau de la bouéee .... ca fait longtemps que je me suis cramé les mains en voulant tenir une bouée avec une gaffe dans les vagues .... plus jamais cela

15 avr. 2019

Vu à st martin (de ré) dans le bassin à flot : un requin (sans moteur bien sur) visiblement habitué fait tout le port sous foc. arrivé a l'angle que fait le port il affale et jette à l'arrière le seau du bord (attaché of course). çà lui coupe son erre et il vient mourir au millimètre près à sa place......

15 avr. 2019

j ai vécu ça pendant quelques années avec mon premier bateau un fandango et son md2b récalcitrant , qui calait évidemment toujours au mauvais moment, la clé de 10 était à poste pour purger le bouzin , et le génois toujours prêt à se dérouler.
je n ai jamais rien cassé mais chaque fois c était un peu l angoisse.
heureusement l'école de croisière nous avait appris les manoeuvres de port à la voile, ça peut servir !

Eglise de Talmont  en Charente France

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