Perte du safran en course, refus de l'assistance proposée par les COAST GUARDS

Croire au Père Noèl est le propre de l'homme.
Il y en a d'un optimisme forcené ou d'un aveuglement manifeste et incapable d'anticiper.
Le contexte financier est parfois de la partie.
Tout au long de la vie on croise des gens qui s'ingénient à choisir la mauvaise solution et qui souvent rendent responsable les autres de leur infortune.

@ matricule 17210

qu'est ce que j'ai écrit ?

"refusent l'aide des coast guards"

c'est clair non ? :heu:

Euh...

Ce que tu as écrit c'est bien "refus d'assistance PAR les coast guards"
:mdr: :mdr: :mdr: :jelaferme:

Il sont Américain? Ils devait attendre l'aide de Dieux!

Je me demande si la décision du skipper de refuser l'assistance des coast guards n'était pas motivée par une question financière. Les Etats-uniens appliquent probablement la clause "no cure no pay", ce qui signifie que le remorquage par les coast guards, en cas de succès, aurait donné lieu à paiement fonction du coût des moyens engagés et de la valeur du bateau assisté. Quelles étaient les clauses de l'assurance du propriétaire du voilier ? Le recours a une assistance privée n'était-elle pas motivée par un contrat d'assistance entre le propriétaire et cette société privée ?

Les CG allaient sauver l'equipage et abandonner le bateau.
Difficile de leur en vouloir, il ne me parait pas incongru d'essayer de sauver le bateau (le constructeur etait a bord avec eux) dans une situations qu'ils estimaient difficile mais pas desesperee.

@outremer: JungleJim le proprietaire de Urge est loin d'etre un perdreau de l'annee incapable d'anticipation qui croit au Pere Noel .
C'est un mec comme nous qui a perdu un copain, et ne rend personne responsable de sa decision, inutile de l'accabler.