Nommer annexe immatriculée

Bonjour,je suis dans ce cas là et l’annexe immatriculée porte le nom du voilier suivi de 2, dans ton cas ce serait PAICAN 2. C’est une solution.
Bonne journée.

Petit Paikan?
Bébé Paikan?
...

L’avantage que tu peux avoir c’est la distance qui n’est plus limitée par rapport au bateau puisqu’elle est autonome et que la pêche est possible aussi car ce n’est pas une annexe
L’inconvénient il te faudra une assurance pour cette embarcation en cas de dommage avec l’hélice ou une personne se blesse en débarquant
L’assurance n’est pas obligatoire pour naviguer (avant l’accident mais après. )

a mon avis dans ce cas ce n'est pas une "annexe" d'un bateau mais une embarcation par elle m^me ...

C'est bon j'ai trouvé. Pas d'indication du nom du pneumatique, seulement numéro d'immatriculation visible sur chaque bord.
"la hauteur des caractères doit être de 4 cm, la largeur de 1,5 cm et l'épaisseur des traits de 0,5 cm "

leparticulier.lefigaro.fr[...]bateaux

Si l'annexe n'est plus administrativement une annexe car immatriculée, alors la distance d'un abri peutn'est plus de 300 m, mais celle de la catégorie de l'annexe, en considérant que le navire-base est par principe un abri (2 ou 6 mn); cela élargi la zone de pêche.

Et je suppose que dans ce cas (immat), il faut se trimbaler avec tout le matériel de sécurité?
C'est beaucoup de complications pour pas grand chose.
Qui c'est déjà fait contrôlé pour voir si le bateau est à plus de 300m? et qui s'éloigne souvent autant? Moi je m'éloigne parfois à bien plus de 300m du bateau (mais pas de la cote, je vais pas au large avec mon annexe) pour explorer mais bon, c'est pas tout le temps et de la à l'immatriculer, c'est un peux exagéré, on peut tout de même être responsable, juger si on peux ou pas s'éloigner en fonction des circonstances du moment et assumer ces décisions. Mais bon, à chacun de juger, c'est bien aussi d'être en règles en toutes circonstances bien sur ...

Je serais ravi de pouvoir mettre un 9.9 sur mon annexe et aller me balader avec sans me soucier de la distance parcourue. Le problème c'est que je suis d'un naturel anxieux et je n'aurais pas l'esprit tranquille compte tenu du risque encouru. Du coup, quand ça ne me coûte pas trop d'effort, je me conforme aux règles pour avoir l'esprit tranquille.
A chacun sa méthode, certains ont un budget amendes et ne font pas d'hypertension quand ils se font arrêter ou reçoivent les "factures" étatiques. Moi ça me bousille et je n'ai pas de budget à allouer aux amendes.

C'est quand même un peu gênant, ces règlements parfois draconiens. C'est vrai que les règles ont permis que n'arrivent plus les accidents tels que l'abbé Cotard et ses scouts marins. Mais naviguer en Europe, entre les ports hors de prix, les mouillages surpeuplés, les règlements aberrants, c'est quand même difficile. Ok, ce sont des gardes fous, mais on nivelle par le bas. On considère que l'usager, la personne, le plaisancier doit se plier à des lois et règlements, faits pour l'incompétent, l'inconscient et le dangereux. Et aller mettre mon filet à quelques milles du mouillage avec mon annexe à voile, ce que je fais partout dans le monde, eh bien, en France, apparemment, je n'en ai pas le droit.