mise à la mer (terre) d'un bateau plastique pour le 220V

la marotte du moment de titimarin : mise à la mer (terre) d'un bateau plastique pour le 220V

ben voilà, ca tourne dans ma tête...

Donc je vais mettre un isolateur galvanique. Et pour que cela fonctionne bien, je dois avoir, coté bateau , une terre à la mer ... (c'est drôle non ? :-) si j'ai bien compris :-)

Alors, mon arbre est isolé du moteur, la coque est en plastique, les boulons de quille sont sous la résine (et de toutes façon le lest est toujours recouvert de quelque chose genre peinture), je n'ai pas de parafoudre, même la mèche du safran trempe à peine dans l'eau, je n'ai que des sondes (en plastique) qui traversent la coque, et la prise d'eau moteur, ce moteur n'étant pas relié à la terre et sa batterie rechargée par un chargeur de quai double isolation (sans prise de terre).

j'ai bien vu les systèmes de plaques de masse, que ce soit pour les parasites ou la terre, mais faut percer la coque et ça je ne veux pas.

Alors comment faire ?

J'ai l'idée d'une tresse cuivre qui pendouille par le trou d'évacuation d'eau du cockpit ... idée farfelue ?

Si vous avez des idées, sérieuses, je suis preneur.

L'équipage
1j

Bonsoir vous pouvez relier la tresse ou les tresses aux vannes si elles sont pas en plastique.


TITIMARIN:quand on ne connait pas, on est prêt à croire toutes les peurs . Ton idée est très séduisante, mais est-ce que cela ne va pas accélérer le vieillissement du laiton ? bon à priori l'isolateur bloquera ça . C'est ce que je me dis... ·le 15 oct. 21:31

Des vannes qui dessous la ligne de flottaison.


Bonjour Titimarin

Afin que cela tourne encore plus dans ta tête

Je reprend ton propos "sa batterie rechargée par un chargeur de quai double isolation (sans prise de terre)"
double isolation cela veux surtout dire en terme de protection (humaine) que si tu touches une partie extérieur de ton chargeur tu ne pourras pas te prendre un coup de jus... et effectivement si pas de terre pas de risque de voir des courants de perte extérieur venir dans ton bateau via le chargeur.
Nos chargeurs (je fais cours) étant sur la base d' alime à découpage Quid des pertes interne, elles partent vers la masse? j'ai pas la réponse...

Bon courage 😉😉

Le Moko


Lorem Ipsum:Bonjour. Les pertes partent en chaleur, non ?·le 15 oct. 09:56
LeMoko:Je parles de fuites électrique ·le 15 oct. 13:12

TITIMARIN:" On maîtrise mieux le problème en reliant toutes les pièces en équipotentiel. Et pour éviter que deux pièces de métal différent reliées électriquement ne se bouffent entre-elles, on affuble la ligne équipotentielle d’anodes sacrificielles qui protègeront tous les éléments relies par la ligne" est-ce à dire que je serais quasi obligé de faire cette "terre" par l'arbre d'hélice pour bénéficier de l'anode sacrifiée ? ... ·le 15 oct. 21:36

Bonjour Titimarin
Pourquoi ne pas créer une conductivité électrique entre ton arbre et ton moteur ? Comme ça tu as ta prise de terre/mer.


Matsyl:J’allais le dire, c’est plus simple et rapide. Avec un câble conséquent et c’est tout ·le 15 oct. 10:06
TITIMARIN:Les accouplements Kent semi-élastiques présentent cette isolation de l'arbre comme un avantage réduisant les problèmes de corrosion sur l'hélice. Cela m'a séduit. C'est peut-être vrai sans isolateur galvanique, mais peut-être qu’avec cet isolateur du coup je serai obliger de recréer cette liaison électrique ... pas rentable cette affaire ! ·le 15 oct. 22:02

tu mets une pendanode frappée sur une filière avec un mousqueton en plastique et surtout tu évites de la faire tremper dans l'eau ,elle pourrait s'oxyder


Polmar:Fais gaffe le chat. Certains pourraient suivre ce conseil 😱·le 15 oct. 11:31
TITIMARIN:je ne comprend pas ... tu pourrais développer ? :-)·le 15 oct. 22:03
Cvg1h:humour de chat ça :D·le 15 oct. 23:01

Bonjour titi Marin
Tu demandes une »idee sérieuse »
La seule a mon avis est une plaque de masse sous la coque.
Même si l’idée ne te plaît pas.
C’est un peu comme si tu refusais un piquet de terre dans ton jardin.
Entre ne pas aimer et faire ce qu’il faut pour la sécurité, le choix est vite trouvé pour un skipper responsable.
Bonne réflexion,
Patrice


TITIMARIN:Je reste ouvert, je souhaite progresser sur ce sujet . J’écoute tout le monde, ceux qui pratiquent, ceux qui s'interrogent, ceux qui ont de l’expérience , ceux qui innovent, et j'essaye de réfléchir. Les habitudes sont parfois des pièges anti-mieux, parfois des raisons oubliées ... il faut faire attention. J'essaye de faire attention dans la mesure de mes moyens... ·le 15 oct. 22:07

non ,une plaque de masse en bronze fritté était utilisée pour le loran C et les émetteurs BLU,elle était complétement dissociée du négatif des batteries .
si tout est isolé électriquement tu peux relier toutes les parties métalliques qui sont en contact avec la mer entre elles a condition que les métaux soient les mêmes pour qu'ils soient en équipotentialité .
et les anodes sur l'arbre d'hélice fera très bien son travail .
sur mon boat j'avais une grosse anode de 2KGS sous la coque
ou tout était relié par l'intérieur ,je la changeais tous les 5ans


Ar-men (anciennement Tan’oz):Sur mon bateau, le groupe électrogène et la blu sont reliés à une plaque de masse en bronze fritté.Aucun problème Patrice·le 15 oct. 19:01

Franchement cette histoire de masse/neutre sur un bateau est vraiment obscure. J’ai pourtant lu le fascicule Victron sur le sujet et je patauge.
Sur mon bateau, les négatifs de toutes les batteries ainsi que les fils de masse jaune strié vert venant des différents appareils ou parties mécaniques sont reliés à une plaque métallique enchâssée dans la coque sous la flottaison en contact avec l’eau. Le neutre du groupe électrogène est également connecté à cette plaque. J’ai installé un convertisseur 12/230 et lui aussi possède un boulon de masse sur son châssis. J’hésite à le relier au reste…


TITIMARIN:je t'invite à regarder les deux liens de Fregoli. A première vue, ton installation ne semble pas être idéale mais cela dépend si tu as un isolateur ou non . C'est le point de départ du raisonnement. ·le 15 oct. 22:09
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