Manœuvre de port sous brise

Bonjour,

Connaissez-vous une bonne documentation complète pour réviser ses manœuvres de port tenant compte du vent?

Par exemple je me loupe régulièrement quand je dois accoster un quai, lorsque la brise souffle depuis ce quai.

L'équipage
18 août 2022
18 août 2022

Un excellent livre:
Vagnon éditions
bien manœuvrer son voilier au moteur


ecumeur:Il existe un excellent guide de Tabarly sur le sujet... mais il doit avoir édité il y a bien longtemps!·le 18 août 2022 12:09
rati:Si c'est celui ci livre.fnac.com[...]noeuvre il a été réédité ·le 18 août 2022 22:17
18 août 202218 août 2022

Hors savoir livresque.
Dans ce cas d'arrivée.
J'arriverais face au quai; défense d'étrave bienvenue 😉.
Un équipier frappe une pointe avant sur le quai, pas trop longue (entre la moitié et la largeur du bateau).
Pour amener l'arrière (pour Morteen 😉) à quai, soit l'équipier à terre hale à bras ferme une aussière frappée à l'arrière, soit celui à la barre embraye en avant lente avec le safran à l'opposé du quai (c'est a dire: barre à gauche 😉 pour un bord tribord à quai). Pare-battages indispensables entre l'étrave et le maître-bau.
Finaliser l'amarrage.
Souffler en profitant de la vie terrestre; mais seulement après avoir rangé le bord 😤

Avec un propulseur d'étrave c'est évidement différent.
Exemple
- arriver en marche arrière puis coller l'avant 😉 avec le propulseur.
- si marche arrière volage ou non maîtrisée, choisir l'arrivée par l'avant.


ecumeur:Il y a tout de même de nombreux cas de figure possibles et on ne peut établir de règle unique.IL ne faut pas oublier l'utilisation de l'effet de pas de l'hélice. Lorsqu'on accoste un quai ou un catway, avec une hélice "pas à gauche", un coup de gaz en arrière plaque l'arrière du bateau au quai ou au catway et l'inverse avec un pas à droite, très efficace lorsqu'on bat en arrière pour arrêter le bateau. C'est également valable dans une écluse où il peut y avoir du courant comme le sas de Ouistreham à la sortie (sauf le premier sas) avec environ 1N de l'arrière. Dans les ports fermés par une porte, le courant entrant s'établit à l'ouverture de la porte (aux alentours de mi marée, donc parfois plutôt fort) et crée un circuit généralement en face de la porte puis un retour par les côtés, idem à l'inverse lorsque le flot s'inverse.A combiner avec le vent, le tout pouvant générer des situations assez complexes. A titre d'exemple, à St Vaast la Hougue, le courant entre dans l'axe de la porte puis s'incurve sur la droite pour revenir à l'opposé entre les pontons qui lui sont perpendiculaires. A Port Guillaume, idem au départ mais la forme du bassin entraîne un retour de chaque côté. Il m'est arrivé de constater une modification du sens du courant en quelques minutes et chaque bassin a ses spécificités.Il faut donc bien observer et adapter le processus "en temps réel".·le 18 août 2022 12:32
matelot@125162:@ l'écumeur : hélice pas à gauche en AR le cul va à tribord, hélice pas à droite en AR le cul va à bâbord c'est plus précis comme description.·le 18 août 2022 13:51
ecumeur:??????·le 19 août 2022 16:48
matelot@125162:ben quoi?"Lorsqu'on accoste un quai ou un catway, avec une hélice "pas à gauche", un coup de gaz en arrière plaque l'arrière du bateau au quai ou au catway et l'inverse avec un pas à droite, très efficace lorsqu'on bat en arrière pour arrêter le bateau." ce que tu écris n'est en rien informatif et vraiment pas clair ...tant qu'a faire autant faciliter la vie du lecteur non.?·le 19 août 2022 16:56
ecumeur:J'avais l'impression d'avoir écrit clairement en français ce que j'ai pu constater de visu au fil de quelques dizaines d'années de navigation. Finalement, tu dis exactement la même chose, ce qui permettra aux lecteurs de mieux s'imprégner du phénomène décrit en lisant deux fois la même chose. Il est bien connu que la répétition fait partie des méthodes d'apprentissage, alors merci pour les lecteurs d'H&O.·le 19 août 2022 17:21
18 août 2022

Il faut réfléchir, anticiper, connaître son bateau et pratiquer. Il y a des bateaux plus faciles que d'autres. Dans certains cas de vent, la manoeuvre peut être impossible sans aide extérieure. Il faut l'admettre et savoir renoncer.


18 août 2022

Salut,

"Par exemple je me loupe régulièrement quand je dois accoster un quai, lorsque la brise souffle depuis ce quai."

C'est pourtant un cas d'école. Ce que je pratique, pour autant qu'il y ait assez de place dans le chenal, ce qui est généralement le cas, c'est de reculer tranquillement pour passer une amarre arrière, en principe du côté que l'on voudra ensuite avoir contre le quai.
Que ce soit avec un équiper sur la jupe, avec l'aide d'un marinero, ou solo, au lasso ou - oh horreur ! - avec la gaffe, :-) ce n'est vraiment pas compliqué d'amener un coin arrière jusqu'au quai contre le vent.

Après, en marche avant lente, le canote va se ranger tout seul contre quai, en léger appui sur ses pare-batages et on a tout le temps de passer autant d'amarres que l'on veut, au maître-bau et à l'avant. Mon instructeur disait toujours : "inutile de faire tirer un âne quand on a 50 chevaux pour pousser !".

Bons essais.

Amitiés,
J.


matelot@125162:voilà!je met une une image pour les mal-comprenant·le 18 août 2022 17:08
gwennili2:J'adore.·le 24 août 2022 13:02
18 août 2022

voilà!


matelot@125162:cela marche pour absolument tous les bateaux du moment que vous ayez un moteur qui fait avancer le bateau et un safran qui le fait tourner, pour aller droit en marche arrière quelque soit votre pas d'hélice, même ultra sensible, on arrive à reculer droit...testée dans des conditions très venteuses 45 knt de mistral au Frioul sans équipage.·le 18 août 2022 17:20
Lulu2:Pour peu que le bateau soit lourd et le vent ou le courant un peu fort, c’est le ponton qui va faire la gueule (vécu).·le 18 août 2022 20:59
Trimaran:Déjà faut un bateau qui veuille bien cajoler cul en avant (j'adore cette expression fluviale), ou tu veux.·le 18 août 2022 21:06
Lulu2:Pas un safran « qui fait tourner le bateau », mais un safran qui est dans le flux de l’hélice. Ce n’est pas toujours le cas.·le 18 août 2022 21:17
ALEBA:Je vais essayer cette technique. Ca semble réalisable en solo.·le 22 août 2022 17:51
matelot@125162:C'est très facile, cela marche avec du vent fort décollant, même si tes amarres sont à bord, utiliser la technique du lasso ·le 23 août 2022 08:10
18 août 2022

Tiens MBI ! Un petit pb pratique. Au bout des pontons À et C, il y a trois bateaux à couple (j’en ai dessiné deux). Il faut accoster un bateau de 80 T en bout de ponton B par vent éloignant du ponton, disons 15 Nds et un poil de courant dans la même direction.
Quelle manœuvre feras-tu ?


Sailortoun:ça dépend !?! Quelle est la longueur du bout-dehors ?·le 18 août 2022 23:19
Polmar:HS . Je doute que les pontons (et la capitainerie) apprécient de supporter un navire de 80 t.·le 19 août 2022 08:46
Lulu2:Bout dehors 8 m.·le 19 août 2022 09:09
Sailortoun:80t avec un bout dehors de 8m, ça nous fait un voilier d'environ 25-26 m, j'essaie même pas, la place est trop petite.·le 19 août 2022 09:13
Lulu2:Ils le font pourtant plusieurs fois par jour dans des conditions variées.·le 19 août 2022 09:26
Numawan:Je me mets parallèle au ponton avec le moteur principal. Puis j'utilise les propulseurs avant et arrière pour m'approcher tranquillou du ponton. J'ai bon? 😁·le 19 août 2022 21:23
Lulu2:Hum ! Pas de propulseurs.·le 19 août 2022 21:24
Lulu2:@ Polmar. C’est la capitainerie qui leur a attribué ce poste …·le 20 août 2022 11:12
19 août 202219 août 2022

80T LOL

Pourquoi pas 2000 T

80T c'est ça le chargement du Fromveur:
( il doit faire un peu moins ) à vérifier 80T cela doit d'être le déplacement d'un yacht de 28 mètres genre Sunseeker

Un 18 mètres ( voilier) cela pèse 20 T max


Lulu2:Il s’agit bien d’un voilier de 18 m au pont. 26 m hors tout.·le 19 août 2022 09:13
Jef-370:Si on veut jouer, on donne toutes les données. Combien de moteurs, de quelle puissance, etc. Il est évident qu'on n'entreprend pas une marche arrière avec la même désinvolture si on gère 80 T (vraiment?) sur 26 mètres ou 7 T sur 11 mètres. Quand on veut trouver des exceptions, on en trouve. En faire un cas d'école relèverait de la plus élémentaire malhonnêteté intellectuelle. Il n'en reste pas moins que "suspendre" tranquillement son bateau à une amarre et le rapprocher au moteur est souvent la "moins mauvaise" solution pour approcher un quai contre le vent. Nous sommes sur un forum de plaisanciers, avec une majorité de bateaux entre 6 et 15 mètres. Restons raisonnables...Amitiés, J. ·le 19 août 2022 10:34
Lulu2:Oh ! Je ne voulais pas en faire un cas d’école. Le voilier est Tante Fine (on trouve facilement ses caractéristiques) et son poste d’amarrage à Fécamp. C’était simplement une petite colle pour MBI qui affirmait que les manœuvres d’accostage sur aussière qu’il décrivait, en poussant ou en tirant au moteur fonctionnent sur tous les bateaux et dans tous les cas. C’était une petite taquinerie pour montrer que les affirmations péremptoires doivent parfois être relativisées.·le 19 août 2022 10:47
19 août 2022

Il y a certaines situations qui ne peuvent être réalisées qu'en fonçant comme des gros bourrins : j'ai vu des skippers pro faire ça toute la journée à Niewport :
Ben dans ces cas là, moi, désolé, j'essaie pas. Ils doivent être bien assurés et sont chez eux, pas moi.


matelot@125162:Mais ils font quoi exactement?·le 19 août 2022 20:01
Lulu2:Ben je pensais que tu allais nous le dire, schéma tiré d’un bouquin à l’appui …. Trêve de taquineries. Comme ils ne peuvent pas tirer sur une garde au ponton en raison de sa fragilité, ils font un créneau en « sciant du bois » : doucement avant, arrière, avant, etc. en utilisant le pas de l’hélice et le safran soufflé par l’hélice. Il faut dire qu’ils connaissent leur bateau sur le bout des doigts et qu’ils savent manœuvrer. A deux sur le bateau et quelqu’un au ponton pour prendre les amarres.·le 20 août 2022 13:18
Peuwi:Ah, non, ils rentrent simplement dans leur catway à 5noeuds, et freinent sur le dernier mètre. Ya pas à dire, quand ça passe, c'est classe. Mais quand ça ne passe pas ...·le 20 août 2022 11:33
19 août 2022

Tu passes, à l'extérieur des filières un cordage, d'au moins une fois et demi la longueur du bateau, amarré sur les taquets avant et arrière (comme une corde d'arc).
Puis que tu arrives au quai par l'avant ou par l'arrière, l'équipier saute à terre et amarre provisoirement le cordage (AV ou AR) sur le taquet le plus proche (2 tours morts suffisent).
Il peut ensuite tirer l'autre côté pour amener le bateau contre le quai et l'amarrer de la même façon.
Il n'y a plus qu'à faire les amarrages définitifs, sous les yeux éblouis des badauds.


ALEBA:Je n’ai pas d’équipier. J’avais pensé à cette manoeuvre. ça marche bien par vent modéré mais dans la brise faut y aller au winch pour approcher le bateau du ponton si on ne l’a pas amarré serré assez rapidement.·le 22 août 2022 17:57
20 août 2022

Dans son génial livre .tout savoir sur le mouillage.
Poiraud a un chapitre sur les manœuvres de port, en résumé : arriver en marche arrière contre vent ou courant.


matelot@125162:"en résumé : arriver en marche arrière contre vent ou courant." pour le courant cela dépend de sa force au dessus 1.5/2 knt cela devient dangereux quand il va falloir casser l'erre, si tu n'as pas la bonne hélice et le moteur puissant qui va bien, il vaut mieux faire demi- tour et venir bout au courant. Entre deux bateaux ou entre un ponton et un bateau c'est moins grave on ne risque pas de se trouver travers au courant... ·le 20 août 2022 16:38
ecumeur:Mais si, on peut se trouver travers au courant entre deux bateaux ou entre catway et bateau. Ce fut mon cas pendant une dizaine d'années à Deauville dans l'axe de la porte.Quant à arriver en marche arrière contre vent et courant, je doute de l'universalité de la manœuvre.·le 20 août 2022 18:37
matelot@125162:Ben oui on peut ...mais ce n'est pas le sujet! ·le 20 août 2022 20:37
22 août 2022

Je suis en bout de ponton donc c est parfois chaud quand le vent vient du quai...la je saisis l amarre d embelle sans descendre du bateau et une fois qu elle est fixée au taquet je suis tranquille pour mettre les autres amarres.


22 août 2022

Pour résumer l'important est le pas de l'hélice. Si elle tourne á D on va choisir de s'amarrer bâbord contre le quai, un coup de marche arrière va nous plaquer au quai. Même tout seul le principal est de pouvoir sauter á terre avec les deux amarres AV AR en main préparées á l'avance, á poste, par l'avant si on arrive sur tribord pour un motif incontournable,(toujours dans le cas d'un moteur qui tourne á D), par l'arrière dans le cas précédent. Si on connait un peu les réactions de son bato ce n'est pas très compliqué. Si vraiment ça souffle très très fort (depuis le quai bien sûr) et toujours dans le cas de naviguer seul (perso) on se la joue un peu en sautant á terre, mais quand l'amarre AV est tournée et que l'on tient l'autre en main c'est gagné, même s'il faut tirer fort.
Je ne sais pas si c'et une technique très orthodoxe mais c'est ce que je pratique depuis longtemps.


Lulu2:En solo, vous n’avez pas peur de sauter sur le quai ou sur le ponton avec le vent ou le courant qui éloigne le bateau ?
D’une part, il c’est pas exclu de glisser et d’autre part, par principe, on ne saute pas sur un ponton, on enjambe.
Le mois dernier, j’ai vu un équipier sauter sur le quai en accostant un bateau de 50 T. Il s’est raté et est tombé entre le bateau et le quai avec le vent qui poussait le bateau vers le quai. Il y a eu heureusement suffisamment de monde pour repousser le bateau …·le 23 août 2022 10:29
22 août 2022

Salut,

Non seulement ce n'est pas orthodoxe, mais c'est :

  • faux, la méthode illustrée par notre ami MBI montre bien qu'on peut se contreficher du pas de l'hélice et que ça fonctionnera toujours, y compris avec une hélice bec-de-canard par exemple.

  • pas applicable à tous les cas de figure (vent trop fort ou type d'hélice)

  • dangereux de sauter sur un ponton avec une certaine longueur d'amarres en main, et là aussi pas faisable par tous (j'échange volontiers mes prothèses de hanche et de genou gauches contre des jambes de 20 ans).

Je ne dis pas qu'on ne peut pas jouer avec le pas de l'hélice, mais ça requiert des conditions particulières, qui sont loin d'être toujours réunies. En plus de 15 ans d'école, puis de location, le seul voilier "marrant" pour ça, c'était un SO26. Impossible d'utiliser le flux de l'hélice puisque bisafran, mais léger et doté d'une énorme hélice, en marche avant sur l'erre, le bon gros coup de marche arrière déplaçait le cul sur la gauche d'une bonne vingtaine de degrés. Facile pour arriver sans vent côté gauche contre un ponton et aligner le canote comme un chef.
mais inutile dans tous les autres cas de figures.

Après, chacun ses certitudes...

Amitiés,
J


matelot@125162:Oui oui on s'en fiche du pas ...dans les deux techniques, en plus, si on est juste dans la préparation ce qui est souvent mon cas en solo une seule amarré suffit après on a tout le temps que l.on veut ·le 23 août 2022 08:13
Bianca:Mon beau bato (Aphrodite, hélice b.d.c.) se conduit comme un vélo au moteur AV ou AR si on tient compte du pas de l'hélice. Ça détermine toute ma stratégie de maneuvre dans un port. Le coup des deux amarres en main tant que je pourrai le faire ça me va. Quand je serai plus vieux (je n'ai que 74 ans) on verra...·le 23 août 2022 09:26
23 août 202223 août 2022

En complément à la question initiale: comment faites vous pour sortir d’une place ou vous êtes cul à quai 2 amarres à l’arrière une pendille à l’avant cas classique en Méditerranée vent fort traversier perpendiculaire au bateau? En solo c’est pratiquement impossible, j’appelle la capitainerie pour m’´aider.
A deux je mets une amarre en double sur l’avant sur le bateau voisin au vent. Je largue l’amarre arrière sous le vent. Je garde celle au vent en double. Je largue la pendille. Moteur marche avant assez fort. Mon équipière tient l’amarre en double. Je largue d’un coup l’amarre arrière. Le bateau prend immédiatement suffisamment de vitesse pour être manœuvrant mon équipière à récupéré l’amarre avant et je fait mon virage sous le vent sans me prendre dans la pendille du voisin sous le vent. Faut pas oublier de récupérer l’amarre qui traîne derrière.


Bianca:C'est (presque exactement) le cas de figure de ma place de port la plupart du temps, á une exception: le vent n'est pas totalement traversier, il me pousse aussi en partie au ponton. Pour sortir je dois tourner sur bâbord dans un espace restreint ce que je ne peux pas faire en marche AV. En conséquence mon bato est toujours amarré nez au ponton, et en marche AR je n'ai aucune difficulté á virer sur mon bâbord. Je largue le bout sous le vent de la patte d'oie de la pendille, je largue tout á l'avant (au quai), je reviens á l'AR en tirant fort sur le bout au vent avant de le larguer (lesté pour ne pas se prendre dans l'hélice). Á ce moment je suis á moitié sorti de ma place avec un peu d'erre; moteur AR puis barre á bâbord et sans temps mort marche AV et barre dans l'autre sens. Je ne touche pas les bateaux voisins (quand ils sont présents) ni au départ ni á l'arrivée. (Á deux c'est plus sûr car on peut larguer en même temps AV et AR et le bato ne commence pas á dériver vers la pendille du voisin).Mais il n'y a aucune honte á appeler la capitainerie les jours oú l'on sent que ça risque d'être tordu. Parfois un petit coup de zodiac fait des miracles.·le 23 août 2022 10:14
23 août 2022

Ok en solo sans aide c’est une bonne solution. Sinon à plusieurs 1 barreur et trois équipiers : deux bouts longs passés en double à l’arrière. Amarré en double à l’avant sur le bateau au vent. Pendille larguée moteur en avant les 2 équipiers lâchent doucement du bout à partir d’un tour mort sur les winchs de génois ils gèrent l’avancée du bateau progressivement et en ligne, le barreur gère la puissance pour garder le bateau perpendiculaire au quai, amarre avant récupérée et le bateau presque sorti on largue les amarres arrière et on peut tranquillement virer.


23 août 2022

Petite photo:


Domde:Effectivement en équipage réduit c’est la meilleure solution. Sinon faut tourner a droite et ressortir en marche arrière pas très facile !·le 23 août 2022 10:55
matelot@125162:c'est bien plus simple de sortir en marche arrière cul au vent et pour sortir de cette place en marche avant faut laisser faire le vent plutôt que lutter contre si le bateau et pas à droite c'est franchement simple ...avec un pas à gauche c'est plus délicat.·le 23 août 2022 11:04
23 août 202223 août 2022

c'est toujours la même histoire en solo si le vent de travers vient sur tribord, tu gardes ton amarre tribord et marche avant tu équilibres entre vent et moteur pour que ton bateau reste dans l'axe après avoir enlevé toutes les autres amarres, de la barre tu largue l'amarre tribord et tu sorts... en virant sur bâbord pour présenter ton cul au vent ensuite Avant ou arrière.
Si le vent vient de bâbord c'est l'inverse


23 août 2022

La maneuvre: le bato refuserait de sortir directement cul au vent, par contre en marche av. il tourne sur place á tribord.


matelot@125162:je ne vois pas bien pourquoi ? tu sorts tu laisses le vent faire tu tourne sur bâbord et tu parts en marche arrière cul au vent c'est bien plus simple que de sortir et de tourner tribord contre le vent au risque d'essuyer un refus et un manque à virer ...Avec un pas à gauche c'est encore plus simple Avec un pas à droite c'est plus délicat.·le 23 août 2022 11:15
Lulu2:C’est dans les situations réelles qu’on sait quelle manœuvre il faut faire. Pas dans les livres.La bonne manœuvre, c’est celle que le skipper maîtrise et qui réussit.·le 23 août 2022 11:38
voilovent:Cette configuration est la mienne également, pour ma part je rentre toujours cul a quai et ressort en marche avant comme décrit par MBI .Je m'avance et laisse faire le vent il me sert de propulseur d'etrave :-) ensuite je sors en marche arrière.C'est plus confortable, d'autant plus que j'ai très peu de place pour virer maximum 1metre avant de toucher le bateau en face.Mais qu'entend on par fort vent traversier ? ·le 23 août 2022 12:27
Lulu2:Ça été aussi ma configuration. Pour sortir par en marche arrière, je gréais l’aviron de godille et je donnais quelques coups de pelle en reculant lentement pour faite pivoter le bateau face au vent. Puis coup de fouet pour finir en marche avant.·le 23 août 2022 17:19
23 août 2022

Si le vent est fort en marche avant dès que la pendille est larguée même en mettant fort le moteur l’ammarre au vent on arrive pas à rattraper le biais. Il faut une aide sur l’avant.


matelot@125162:Il faut la bonne configuration Puissance moteur/ vent /poids ·le 23 août 2022 16:28
matelot@125162:oups!·le 23 août 2022 16:29
23 août 2022

Voici le lien d’un document que je trouve assez complet :

ventdularge.org[...]ort.pdf


Lulu2:Je plussoie à ce qui est cité en exergue dans ce document : « La voile ne s’apprend pas dans les livres, les manœuvres de port non plus »·le 23 août 2022 17:30
matelot@125162:Un peu de lecture ne te ferait pas de mal lulu2...·le 23 août 2022 17:33
Lulu2:Merci pour ce conseil avisé, mais je ne t’ai pas vraiment attendu pour le mettre en application. 😉
Permet moi de t’en donner un autre à mon tour : être un peu moins dogmatique dans tes post, car les situations rencontrées dans la réalité sont plus variées que tu sembles le croire et il y a rarement une réponse universelle.·le 23 août 2022 17:55
matelot@125162:Tu radote lulu2 ·le 23 août 2022 18:02
matelot@125162:Merci @yartef effectivement ce document est bien fait, ce qui me fait plaisir car je retrouve les solutions que j'utilise.Contrairement à ce que certains peuvent affirmer en voile il y a des fondamentaux indépassables quelque soit le bateaux, ces fondamentaux sont universelles et sont conceptualisés sur la base d'une pratique historique qui remonte à très loin.Une théorie conceptualisée mais incarnée, très robuste et difficile à mettre en défaut dans la pratique.Base théorique que l'on retrouve dans les bouquins, les manuels, et l'enseignement.N'essayez pas de réinventer l'eau chaude, pratiquez en ayant comme fil directeur ces techniques fondamentales comme fil rouge, surtout si vous débutez , ne pratiquez pas dans le génie et la science infuse, la voile est une activité qui s'apprend la théorie comme la pratique sont très importants ·le 24 août 2022 07:47
Morteen:Bonjour. Document intelligent et très bien fait, très peu de choses contestables, à conseiller. ·le 24 août 2022 08:43
christophe74:Je réagis à ce fil ici pour plusieurs raisons:1 - J'ai justement fait un stage "Manœuvres de port" il y a quelques années sur l’Échappée belle (Marseille Frioul) avec un solide mistral. J'ai beaucoup appris lors de ces deux jours et je retrouve dans le document les conseils que je mets (presque...) toujours en œuvre dans mes manœuvres.2 - Je dis presque toujours car il nous est arrivé une mésaventure il y a quelques semaines lors d'une manœuvre d'abord très facile et qui s'est très mal terminée. L'analyse que j'en fais pourra être utile à d'autres.Nous (ma compagne, une amie inexpérimentée et moi) avons loué un RM 1180 à Quiberon. Objectif, se faire plaisir avec un beau bateau et le tester pour un éventuel futur achat. J'ai réalisé à mon intention une video sur les aspects techniques de ce bateau pour garder en mémoire ce que j'ai apprécié ou pas sur ce bateau. Si cela intéresse quelqu'un je pourrai lui faire passer un lien de téléchargement. Nous avons donc navigué sur la côte sud de la Bretagne, l'idée était de remonter sur Brest. Nous sommes arrivés un vendredi soir à Concarneau. La capitainerie nous indique que, bien évidemment le port est plein et je prends donc la décision d'aller mouiller dans une baie à droite du chenal. Alors que nous faisons route au moteur vers le mouillage, un zodiac de la capitainerie avec deux petits jeunes à bord vient gentiment nous retrouver pour nous dire que finalement ils pouvaient nous trouver une place dans l'arrière port. Pas d'eau et d'électricité mais ça nous convenait. Première erreur ici, j'avais préparé le bateau pour un mouillage, finalement on va amarrer à un catway et on ne se prépare pas à ça avec ma compagne. Lorsque l'on arrive vers la place prévue, j'engage la manœuvre doucement comme j'ai l'habitude de le faire en respectant le vieil adage "A moins on va plus vite, à plus on tape moins fort". Deuxième erreur, je me suis concentré sur la manœuvre elle même sans me préoccuper avant du bon positionnement des aussières. Ma compagne s'aperçoit qu'il n'y a pas de pointe arrière, elle la met en place fissa, fissa et se précipite vers l'avant pour aider notre amie (inexpérimentée) à passer la pointe avant au petit jeune de la capitainerie qui nous attendait tranquillement.Troisième erreur, sur ce bateau il y a des bastaques que l'on installe lorsqu’on navigue avec la trinquette. Elles étaient en place et barraient les passavants (c'est un tel bordel à frapper que je ne les avais pas enlevées après l'affalage). Ma compagne s'est pris les pieds dedans, résultat fracture de l'humérus et des mois à venir de galère pour récupérer l'usage de son bras.Trois petites erreurs pour une conséquence grave! Trois petites erreurs à mettre sur le compte d'une confiance excessive qui m'a fait schunter un protocole pourtant bien établi avec ma compagne (on communique, on réfléchit avant d'agir). C'était trop facile.....Après analyse commune de cet épisode malheureux, nous avons décidé de mettre en place un "paré à amarrer?" avant de débuter toute manœuvre comme nous avons un "paré à virer?" avant tout virement.·le 24 août 2022 12:20
Lulu2:En suivant le conseil avisé de MBI, j’ai pris le temps de parcourir le document cité par YATERF. Il donne effectivement les fondamentaux ; il est excellent à cet égard. J’y relève toutefois quelques erreurs ponctuelles dans les annexes.·le 24 août 2022 16:49
Morteen:Lesquelles ?La seule que j'ai vu c'est qu'il parle de garde montante et de garde descendante. Une garde est toujours montante, au point que garde montante est un pléonasme, une garde descendante ça n'existe pas. Mais c'est une erreur très répandue. Tu as trouvé quoi toi ?·le 24 août 2022 17:13
Lulu2:Les termes de garde montante et garde descendante sont des termes traditionnels. Ils peuvent cependant prêter à confusion pour certains. Une garde montante va du quai à l’arrière du bateau inversement, une garde descendante va du quai à l’avant du bateau. Mais il est effectivement plus clair de parler de gardes avant et arrière, même si ce n’est pas très marin.
Quant aux annexes du document d’YATEF, j’y vois effectivement quelques erreurs :
- le schéma du circuit de GO montre la possibilité de faire le retour de GO à l’aval de la pompe basse pression ; cela peut rendre impossible la purge du circuit ; c’est clairement à déconseiller.
  • le schéma du circuit de refroidissement ne mentionne pas le casse siphon, ni le col de cygne qui sont pourtant indispensables.
  • le tableau sur les cordages indique que le polyamide est peu élastique et peu sensible à l’abrasion, ce qui évidemment erroné.
·le 24 août 2022 17:46
Morteen:J'ai appris le matelotage et les termes pour désigner les différents cordages d'un professeur passionné et passionnant en école de marine marchande et je confirme qu'une garde est toujours montante et que garde descendante cela ne se dit pas. En MarMar, les boscos parlent en affect de garde avant et arrière. ·le 24 août 2022 17:51
Morteen:En effet pas en affect putain de clavier de merde :)·le 24 août 2022 17:53
Lulu2:Je fais amende honorable concernant les gardes. Certains dictionnaire indiquent ce que j’ai écrit plus haut. Une recherche plus poussée te donne raison’ Morteen. Une garde d’amarrage est toujours montante. Le terme de garde descendante concerne un cordage frappé à l’arrière d’un bateau et qui sert à le freiner ou à l’arrêter lorsqu’il est hâlé par l’avant. Désolé pour mon erreur.·le 24 août 2022 18:07
Morteen:Ne sois pas désolé, c'est tout à ton honneur d'avoir vérifié.·le 24 août 2022 18:22
24 août 2022

Une petite question à nos pros de la manœuvre dans les ports ;-)

La situation qui me pose le plus de problèmes au ponton, c’est quitter ma place quand le vent souffle pile dans l’axe du bateau, vent dans le dos, en solo.
Déjà, mon voilier (quille longue, gros rayon de giration) n’est pas facile à gérer en marche arrière en temps normal, mais en utilisant le pas de l’hélice, je me débrouille.
Cul au vent, il se place très vite en drapeau dans le lit du vent, même en mettant les gaz, et je me retrouve perpendiculaire aux pannes, bien stable…

Que feriez-vous ?


Morteen:Coucou. Le bateau est sous-motorisé ?·le 24 août 2022 09:05
Estran:On pourrait le dire... 7.5 CV pour 2.5 tonnes, mais suffisant dans la grande majorité des situations·le 24 août 2022 09:10
Morteen:Donc, si il fait le drapeau entre les pannes, c'est parce que le moteur manque de puissance, non ?Il se met parallèle aux pannes (pas perpendiculaire) si j'ai bien compris. ·le 24 août 2022 09:16
matelot@125162:Ben tu fais un départ sur garde avant en te laissant pousser par le vent... après je sais pas dans quel sens tu vas...·le 24 août 2022 09:17
matelot@125162:J'ai 20 ch pour 2.6 et je trouve cela juste avec une hélice bec de canard·le 24 août 2022 09:18
Morteen:MBI : il navigue en solitaire. Les départs sur garde en solitaire, ce n'est jamais simple.Je ne suis pas certain d'avoir compris la question. // ou perpendiculaire ?·le 24 août 2022 09:23
Estran:Autrement dit : je me retrouve parallèle à ma place de ponton. Et c'était le moteur standard pour ce voilier à l'époque (fin des années 70 ;-)·le 24 août 2022 09:26
Morteen:Vent arrière ou vent de travers ?·le 24 août 2022 09:30
Estran:Je pensais avoir été claire : je me retrouve vent arrière, en drapeau dans le lit du vent. Et toute tentative pour pivoter, en avant ou en arrière, me ramène tout de suite à cette position de stabilité.·le 24 août 2022 09:50
Morteen:D'accord, c'est moi qui ait mal compris. ·le 24 août 2022 09:55
Lulu2:« Que feriez-vous ? ». Perso, si le coup de fouet ne fonctionne pas, je gréerais l’aviron de godille.·le 24 août 2022 09:57
Estran:@Lulu2 : pour sortir en marche arrière à l'inverse du pas de l'hélice ?·le 24 août 2022 10:10
Lulu2:Oui, pour faire pivoter le bateau face à la sortie.C’est ce qu’il m’arrive de faire dans de pareilles circonstances.·le 24 août 2022 10:15
Estran:Merci, je vais faire des essais·le 24 août 2022 10:19
matelot@17523:Tu n'aurais pas oublié de préciser qu'avec sa quille longue de folkboat, ton bateau ne doit pas tourner sur place?As tu demandé s'il serait possible de changer de place, par exemple en bout du ponton B côté école de voile où tu aurais beaucoup plus de place pour reculer?·le 24 août 2022 17:57
Estran:Si si, j’avais précisé « gros rayon de giration ». Pour faire un demi-tour entre 2 pannes, sans vent ou par vent faible, il me faut au moins 3 avant-arrière. Ma place me convient bien vu le pas de l’hélice, et elle bien protégée du vent en général, sauf 2 ou 3 fois dans la saison où je me retrouve avec le problème évoqué ici…·le 24 août 2022 19:12
24 août 2022

Un petit schéma


Morteen:Délicat en marche arrière, le pas de l'hélice et le fardage s'opposent et effectivement, avec un "petit" moteur et un vent soutenu, le batal peut ne pas virer. Perso, je rentrerai dans la place en arrière, les appareillages en seront facilités. Surtout que tu dis que tu maitrises le pas.·le 24 août 2022 10:07
Estran:Outre que je n'aime pas trop la configuration "cul au ponton", ça exposerait mon safran en cas de mauvais dosage des gaz ou de rafale au mauvais moment, et ça compliquerait la manœuvre à chaque arrivée...·le 24 août 2022 10:22
Colino:Je dis peut-être une connerie mais en remontant la panne directement en marche arrière, même avec le pas d'hélice, tu vas sans doute avancer (ou reculer plutôt) en crabe mais j'imagine que ça te permettra quand même de dégager là où tu as plus de place et virer tranquillement ensuite non ? Vous confirmez que dans cette configuration (pas d'hélice, fardage et petite motorisation) ça suffit pour empêcher totalement de sortir ? C'est intéressant mais je n'imaginais pas que ça pouvait aller jusque là...·le 24 août 2022 19:05
24 août 2022

Ah je n'avais pas compris tu es dans un catway...alors ce que le propose n'est pas adapté...

Pour les gardes en solo c'est juste un peu d'organisation mais c'est toujours plus simple a deux

Autrement dans le cas du dessin je mettrai une garde arrière pour pivoter et faire remonter le nez contre le vent et m'extraire du cat way


Estran:Un petit schéma, MBI ? :-)·le 24 août 2022 10:24
matelot@125162:Ce serait avec plaisir mais la je ne suis ni en position ni équipe pour le faire ·le 24 août 2022 10:26
Morteen:Mais avec le pas de l'hélice et le vent qui pousse vers les pannes, avec ta garde qui va retenir le batal, tu risques de te faire drosser (sur les pannes).·le 24 août 2022 10:27
matelot@125162:Non non c'est justement la manoeuvre sur aussiere qui va te permettre de pointer le nez dans la bonne direction, la garde est frappée pour faciliter la rotation ·le 24 août 2022 11:47
24 août 2022

Schéma de principe départ sur garde arrière


matelot@125162:Si le pas et a droite cela tournera quand même une fois la traction sur la garde établie ·le 24 août 2022 12:05
matelot@125162:La garde peut être frappée au centre le bras de levier marché très bien aussi·le 24 août 2022 12:08
Calypso2:Ce n'est pas bon le bateau n'a pas de vitesse en retirant ton bout il va ce rapprocher du cul des bateaux et pas de vitesse et vent de travers tu vas te retrouver plaqué sur l'arrière des bateaux.Il faire marche arrière aussi loin que possible vers le ponton en face voir même si possible rentrer dans une place libre et partir en mettant vite du gaz·le 24 août 2022 12:21
Calypso2:Sinon l'extrême que j'ai du faire une ou deux fois par vent vraiment fort c'c'est passé sur un catway en face un bout en face pour pouvoir retenir le bateau avant d'avoir de la vitesse ·le 24 août 2022 12:25
Morteen:Oui Calypso c'est ce que j'ai essayé de lui dire. D'accord avec toi.·le 24 août 2022 12:41
matelot@125162:Dans ce cas il faut être rentré en marche arrière et sortir en faisant tomber le nez du bon côté le plus haut possible...·le 24 août 2022 12:55
Lulu2:La méthode de la garde à la pointe du catway peut éventuellement fonctionner à condition de régler finement la longueur de l’aussiere et la position du point auquel elle est fixée au bateau. Ce qui ne peut s’obtenir qu’en tâtonnant. C’est peut-être faisable à plusieurs avec une bonne coordination, mais hasardeux à essayer, voire dangereux, en solo.·le 24 août 2022 17:00
Estran:La place vide sur le catway d’en face, c’est l’idéal, et c’est ce que je fais quand c’est possible. Quant à gérer une garde suffisamment vite en solo, avec le risque de la prendre dans l’hélice, je suis sceptique ·le 24 août 2022 19:18
Domde:Il faut demander quelqu'un de la capitainerie pour venir gérer la garde. Il faut trouver le point idéal qui permet d'orienter l'avant au mieux.·le 24 août 2022 20:28
24 août 2022

Il y a un point qu'aucun d'entre nous n'a mis en avant. Lorsqu'on constate que l'opération va foirer, il faut décider de se dégager pour recommencer en tenant compte des éléments qui amenaient à l'échec.


24 août 2022

Les petites motorisation c'est plus chiant à manoeuvrer ...avec 50ch tout devient facile


Estran:La remotorisation en plus puissant viendra en son temps… quand mon vieux Volvo monocylindre rendra l’âme 😉·le 24 août 2022 19:21
Lulu2:Les petites motorisations, ça apprend à manœuvrer en finesse. 😊·le 24 août 2022 20:13
25 août 202225 août 2022

Bonjour
J'ai trouvé un excellent tuto sur youtube qui récapitule tout ce qu'il faut savoir.
Il est en anglais mais c'est une très bonne chose d'apprendre les termes anglais.


Feu sur l'épi Dellon, à l'est de l'ancien Lazaret à Sète

Phare du monde

  • 4.5 (189)

Feu sur l'épi Dellon, à l'est de l'ancien Lazaret à Sète

2022