Maneuvres en marche arrière

dérive basse ,aucun problème mais 3.2M de tiran d'eau .
l'hélice repliable n'apportera pas grand chose sauf à la voile
le mk1 manoeuvre mieux que le mk2 ,l'hélice est plus près de la quille .
il n'y a que l'entrainement ou la pose d'un propulseur
il y a 6cm d'épaisseur de coque à percer à l'étrave .
alain

Solution efficace et peu onéreuse : une dame de nage et un aviron de godille. Quelques coups de pelle suffisent à faire tourner le bateau comme on veut.

Quand je me suis posé la question du choix de l'hélice, je me suis dit que le critère principal était de pouvoir reculer droit, donc que le couple de l'hélice engendre un effort latéral minimum.
Un article de journal anglais (Yachting Monthly) avait déjà répondu, je le mets en PJ.
J'ai donc acheté une Flexofold 3 pales repliables qui était en option chantier.
Et de fait, mon bateau recule tout droit malgré ou grâce à son bisafran et à sa carène.
L'article date de 2009, donc peut-être que depuis cette date de meilleures hélices sont sorties sur le marché.

salut,
les manoeuvres de port en marche arrière, éternel débat ...
avant de se lancer dans les grands travaux d'un propulseur d'étrave (complexe, couteux, risqué si pas parfaitement réalisé ... mais efficace) je rejoint l'avis de Lulu2 soit une godille à l'arrière ou tout simplement manoeuvrer avec la pale de son régulateur d'allure si on en a un, c'est bien sur moins pousse bouton mais aussi efficace qu'un propulseur d'étrave et en parallèle avec l'utilisation du pas d'hélice, avec de la pratique ça aide à comprendre la conduite d'un voilier dans un espace réduit et la tendance théorique héossienne étant d'apprendre il n'y a plus qu'a passer à la pratique ... avec calme, courtoisie envers son équipage et ... assurance

En marche arrière, il m'est impossible d'aller droit, et totalement impossible de tourner d'un côté.
Je n'ai pas de solution autre que celles que j'utilise : le point mort + de la vitesse = je vais ou je veux, en serrant les fesses à cause de la vitesse.

Mais je dispose d'un gros moteur (63CV pour 12 mètres) avec une puissante hélice tripale = je stoppe le bateau par 2 coups d'accélération;
et je dispose aussi d'un propulseur en tunnel, qui m'aide surtout à rectifier mes erreurs. Cédric a raison : quand on en a un et qu'on sait s'en servir, on ne s'en paserait plus.

j'ai eu un hood 38MKII avec une hélice fixe
comme la bête pèse lourd ,je prenais pas mal de recul pour le lancer en marche arrière ,et moteur au point mort j'y allais sur l'inertie ,le port de la londe c'est 1.M60 donc dérive relevée à bloc ,en plus ma place orientée N/S et ici c'est du vent d'E ou W
dominants.
toujours le cul face au vent sauf au dessus de 15NDS ou là je rentrais en avant .

vu les caracteristiques du bateau je pense que dejà il mériterai d'avoir une helice tripale que plutot bi ..
et avec la derive baissée ça devrait le faire tres bien

Hello,
Que de suées froides à l'époque avec un Tayana 37 à quille longue malgré une tripale fixe.
A chaque marche arrière, c'était de l'impro complète, suivant les conditions rencontrées...
Heureusement que le mien est bien plus simple à manoeuvrer, peut-être grace à la position plus centrale du moteur?🙄