Maneuvre impossible ?
Bonjour,
Les maneuvres au port ce n'est pas ce que je préfère mais habituellement j'arrive à peu près à m'en sortir. Il y a un cas où je ne m'en sors jamais, c'est l'arrivée au ponton avec un vent de travers qui m'écarte du catway. Avec mon précédent bateau, sail drive et monosafran, j'arrivais à caler le bateau contre le catway avec le moteur en marche avant, mais maintenant avec quille relevable (et relevée à marée basse) et bisafran, je finis immanquablement collé contre mon voisin puis en tirant le bateau avec des bouts pour le mettre à sa place.
Bref pas la classe...
J'ai bien imaginé attraper un taquet du catway au "lasso" avec un bout qui part de l'avant jusqu'à l'arrière du bateau, mais en solo c'est un peu compliqué.
Avez vous des astuces pour que je sois plus l'attraction du ponton dans ces cas là ?
Merci de vos conseils.
Lasso ; une aussière de quelques mètres avec un très grand oeil pour choper un taquet ou une bitte et amarrage court en embelle en laissant en avant lente.
ça aide
On peut détester les pontons équipés de pontets d'amarrage qu'on peut pas chopper au lasso... un fort et large crochet peut aider en le conduisant sur une gaffe.
Cdlt
JM
Une amarre d'embelle avec une grande boucle ? Mais il faut un taquet à peu près en face du maître-bau... Et être rapide...
Maintenant, quand je sens que ça va finir comme ça, je me pose proprement sur le bateau d'à côté, si l'écart est trop grand je débarque par son pont et j'amarre mon bateau. D'abord je décale le nez à la main, plutôt facile, puis je reprends le cul au winch parce que pourquoi forcer comme un con.
Si ça rale j'explique que c'est mieux qu'une grosse balafre.
Après avec un bi-safran, essaye en marche ar
Bonjour,
Pour ma part, j'ai une aussière courte fixé sur le Catway que je saisi à la main ou a la gaffe et dont je met la boucle sur le winch sur mon roof.
Ça me laisse le temps de descendre sur le ponton pour finaliser l'amarrage tranquillement.
Yann
Il faut pas toujours chercher l'élégance dans la maneuvre, mon bateau précédent, un "AWB" typique (average white boat, haut sur l'eau pour avoir la hauteur sous barreau dans une taille de bateau modeste), avait une sacrée prise au vent. Je me suis ainsi trouvé dans une situation un peu idiote dans un port que je ne connaissais pas avec le type de conditions que tu décris. Le bateau agissant comme une girouette (l'avant du bateau voulant s'écarter du lit du vent), la manière qui s'est révèlée surprenante d'efficacité est d'approcher le ponton en marche arrière, tu te retrouve cul au ponton à 90°. Tu frappes d'abord une amare arrière et ensuite tu débarques avec l'amare avant et tu "tires" le bateau en place à partir du ponton. Pas élégant mais ça marche sur ce bateau la en particulier et tu utilises peu de puissance moteur, gage de modération dans les dégâts éventuellement causés par maladresse. Comme dirait kid paddle je ne dis pas que c'est la solution mais une des solutions :-P. Mon nouveau bateau avec sa hauteur de pont de U-boot a moins ce problême.
Avec un bi safran, la marche arrière peut être une bonne solution.
un bateau, sans erre, travers au vent est dans la plus mauvaise des situations, il décroche et part sous le vent; bi-safran et plan anti dérive relevé, ça complique ... l'amarrage au point d'embelle est la seule solution, encore faut il pouvoir disposer d'une amarre à cet endroit là; si c'est ta place de quai, y poser un taquet ou quelque chose de similaire ?
sinon, arriver à très petite vitesse, sauter sur le catway, et, comme speedy gonzalez, être très rapide pour frapper les 2 amarres avant et arrière (qui auront été préparées), tout en arrêtant le bateau ...
Sur mon catway mon amarre traversière est posée sur un tube d'environ 1 m terminé par une dame de nage et est plus facile à attraper.
Un cordage attaché aux 2 extrémités du catway saisi avec la gaffe pour s'en rapprocher. Sinon descente par le balcon avant avec les amarres avant et arrière (plus longue) prêtes pour tirer le bateau à la main.
Le plus dur c'est quand il n'y a pas de bateau voisin - belles frayeurs en solo au ponton d'accueil des Sables d'Olonne !
Oui, l'amarre d'embelle doit être la bonne solution. J'ai vaguement essayé une fois mais pas assez insisté. J'ai la chance d'avoir de vrais taquets que je peut attraper avec une grande boucle.
J'ai le catway à bâbord et la manette de gaz à tribord. En marche avant quand j'ai un équipage pour passer la boucle sur le taquet, et en marche arrière quand je suis tout seul pour être du bon côté, ça devrait le faire.... avec des pare-battage un peu partout (pour faire joli uniquement bien sûr).
le probleme vient de la derive haute c'est étonnant d'avoir un port avec si peu de tirant d'eau comment font les autres bateaux
Bonjour,
Amarrage sur catway, poser une protection inox ou un pare-battage d'étrave, réglé a hauteur du ponton, venir sur son aire appuyer le pare-bat sur le ponton, maintenir la pression en marche AV lente, orienter le safran pour appuyer le bateau sur le catway, (amarrer la barre pour la maintenir en position) puis descendre sur le catway et passer l'aussière AR (à 2 c'est mieux, c'est l'équipier qui passe l'aussière) puis mettre au point mort.
Ensuite on a le temps de régler ses aussières. Ça fonctionne également avec un double safran, il faut accélérer en marche AV pour augmenter la pression du filet d'eau entre les safrans.
C'est la technique que j'utilise et qui fonctionne très bien en solitaire.
ALAIN
Un prop d'étrave et un prop de poupe, problème résolu. Ok, je m'en vais...
Seul je passe une amarre d’embelle sur... un des chariots de génois (j’en ai 2 par rail) c’est du costaud des années 80 mais faut quand même pas stopper les 9t dessus, puis retour au winch du génois. Le compliqué c’est d’amarrer sur un point fixe du quai. Quand le vent vient du quai, faut aller très vite et l’erreur est interdite. Il y a 2 ans j’ai failli me rater du genre à 2/3 cm près tomber à l’eau en sautant et voir le bateau s’éloigner vers les rochers. Depuis j’ai monté un propulseur d’étrave et à 70 balais ç’est no stress confort et sécurité.
Parfois il serait quand-même sympa si au lieu de rigoler ou de critiquer sur le ponton on donnait un peu d'assistance, surtout par vent fort et quand on est seul.
La bonne solution, arriver avec suffisamment de vitesse et jouer aussi avec le couple pour si c'est un inbord. J'ai une forte sangle passée sous le catway et une amarre frappée dessus et je passe cette amarre courte dans un taquet placé au bon endroit sur le pavois ce que certains appellent une embelle en quelque sorte et ensuite, j'ai tout mon temps pour les autres mais, la solution, c'est d'arriver assez vite et couper le moteur au bon moment et finir sur son erre quelque soit le vent, direction et force. J'ai un biquille assez lourd(pas loin de 4 tonnes) et je vire très court. Si je sent que je vais un peu trop vite, deux secondes de marche arrière et le bateau est stoppé.
Ceci dit, je constate que beaucoup de plaisanciers ont peur d'arriver vite et du coup se font piéger et donc dérivent sur le bateau voisin.
hier j'ai manœuvré un voilier dériveur lesté dérive relevée qui a un saildrive juste derrière l'embryon de quille
le rayon de giration au moteur dérive relevée est impressionnant ,c'est au moins 3 fois la longueur du voilier .
je ressors vendredi avec ,je vais voir avec la moitié de la dérive sortie si ça améliore les choses
avec un crochet sur gaffe au taquet d'embelle ,en arrivant marche avant collé au ponton ,on croche et on ride ,
après on a le temps de passer les pointes et les gardes.
alain
L'approche du catway doit se faire de manière à ce qu'il soit a l’extérieure du virage et surtout pas à l’intérieur de la trajectoire du bateau, du coup il dérape vers le catway et s'écarte du voisin.
Maintenant il faut juste une amarre qui fasse office de garde avant...une fois la garde en place c'est facile.
Soit on la met en place bateau collé ou juste avec l'avant du bateau si le vent est vraiment très fort.
Elle peut être frappée sur le taquet avant ou celui du maître bau peu importe.
Une approche dans l'axe est possible aussi! mais il ne faut pas un vent trop fort autrement on est chez le voisin ou pire dans le vide sans soutient...avec le cateway a l’intérieure de la trajectoire c'est inévitable.
Prendre appuis sur le bateau voisin, par vent de travers, c'est aussi une pratique normale si on a les pare-battages qui vont bien!
Avec un petit voilier bi safran, j'ai une méthode bidouillée qui dépanne car au Crouesty nous avons des taquets au milieu des catways. Donc je fait une boucle autour du pieds de mat avec une aussière , le mou est posé sur le roof.
J'essaye d'arriver en voilier avec un angle au milieu du catway (petit voilier je précise). Avant de toucher je met un coup de barre pour redresser et avec l'erre ça pivote en chassant du cul donc appui sur le catway et je stop la vitesse par MA et je descend et récupère mon aussière sous la filière. Je la passe dans le taquet et je la tend et tire le voilier, puis je la frappe au taquet.
Ensuite les pointes avant et arrière sont déjà prêtes sur les filières, je les récupère tranquillement et amarre le boat proprement, en enlevant l'embelle et en mettant une garde normalement.
L'avantage de cette technique c'est qu'elle fonctionne des 2 cotés avec la même préparation, car dès que le boat est plaqué par l'embelle, on a tout le temps pour faire les pointes sans s’énerver. Si le vent repousse du catway latéralement, ça marche aussi à condition de ne pas traîner et d'avoir un peu plus de vitesse à l'arrivée.
Sur les gros voiliers (à partir de 34 pieds), on a moins de marge pour arriver avec un angle au catway, surtout s'il y a déjà un autre gros voilier de l'autre coté. Mais les vieux loup de mer d'HEO diront que c'est pareil et que c'est une question d'habitude ...
Bonsoir,
J'ai tout lu et suis admiratif devant tant d'astuces pour y arriver...
Tu ne pourrais pas mettre un tout petit peu de quille jusque la profondeur des safrans ?
Ça aiderait...
Oui mais comme c'est une quille pivotante, repliée elle est déjà au niveau des safrans. Et puis si je la baisse un peu je vais ajouter du plan antidérive sur l'arrière et ça n'empêchera pas l'avant de partir sous le vent.
Non le mieux c'est l'amarre d'embelle au lasso. J'essaierai quand même la marche avant avec la barre vers le catway mais je n'y crois pas trop.
J'ai le même problème avec un catway qui est en général au vent et même en allant vite, difficile d'empêcher le bateau de dériver et de s'éloigner du catway dès qu'il y a un peu de vent. Quand mon voisin est là pas de problème, je m’appuie sur lui et descendant par l'avant, on règle les aussière tranquillement. Il n'y pas pas beaucoup de d'espace entre les bateaux donc pas vraiment de soucis. Par contre, si la place est libre, cela peu devenir galère car même si j'arrive à sauter par l'avant (au bon saut car il y a du franc bord) et à accrocher l'avant, l’arrière à foutu le camp sur le catway opposé. Avec un bon équipage, on y arrive à faire la manœuvre et à rester suffisamment près du catway pour qu'un des équipiers saute tandis que l'autre reprend l’aussière avec quelqu'un qui reste à la barre et au moteur, mais seul ou même à deux, je n'ai pas trouvé la solution. Prendre un taquet au lasso me semble impossible vu la position.
Je comprends pas trop le problème : si le bateau voisin est place, on s'appuie sur lui avec les bons par bat, et s'il est pas là, on prend sa place calé sur son catway et on ramène le bateau à la main.
Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ??
Je me demande quand même comment ça se passe quand vous sortez de votre port ou quand vous visitez un port blindé, ou compliqué, ou encore un port espagnol où le marinero vous dit au dernier moment "ici!". Ça doit être folklo... Si un jour il faut rentrer sous voiles, j'imagine pas.
Le secret d'une manœuvre au moteur, c'est la vitesse, comme dit très justement Ronchon. C'est ça qui rend manœuvrant.
Bonjour,
C’est un problème certain, que j’ai résolu de la façon suivante:
D’abord, avoir une protection d’étrave.
Quand j’arrive, je colle le nez contre le ponton, mets la barre à contre et en marche avant, je met autant de gaz pour que la poussée de l’hélice contre la force du vent. Ainsi le cul du bateau est plaqué contre le catway et tient tout seul. Je peux descendre tranquillement et amarrer mon bateau.
J’avais découvert cette manœuvre dans un voile et voilier. Vraiment efficace et et élégante.
Bonne journée,
Patrice
Hello,
J'ai prévu ça sur mon canote,j'ai même trouvé d'occase un petit safran en inox profilé tout fait .
Il sera plus près de l'hélice que toi,mais plus petit,j'espère que ça marchera...
Sinon on dirait que tu n'as pas ou presque pas de compensation mais la photo n'est pas très explicite...
Tes barres sont douces ?
Bonsoir,
Que de mélanges de métaux!
Sur les conseils d'un ami j'ai une bague en bronze sur la partie basse qui est en eau et sur le palier du haut qui est hors d'eau du pom ou de l'ertalon je ne me rappelle plus.
Mèche en inox évidemment.
Tube de jaumiere en pvc...
Je prévois de poser des graisseurs.
J'en ai trouvé en inox mais en A2 seulement...j'espère que ça ira ça baignera toujours dans la graisse à priori.
J'ai fait au plus simple et au moins cher...
Pas de retour sur la durée mais à la mise à l'eau d'essais l'année passée le système était très doux. (safrans compensés),mais c'était un temps de demoiselle et faudra voir dans un vent plus soutenu avec une mauvaise houle ...
Sinon Jefa fait des super produits j'adore leur site...
je trouve les paliers JP3 mal conçus, il faudrait les remplacer tous les 3 ans pour avoir la paix.
jefa recommande le changement de la bague tous les 3 ans, mais pas la cage.
Mon propos en image ( RYA Boat handling)
En Med on pendillent gaiement, peu de place pour rentrer si les voisins sont à quai, et marche arrière la plus utilisée.
En solo, arrivée marche arrière , aussières arrières prêtent stop coup de marche avant, descendre en accrochant l’aussiere au vent, on remonte et marche avant selon la force du vent, faut être rapide mais très efficace, évidement à deux c’est plus simple, très faisable en solo avec un peu d’habitude.pare bat obligatoire , mais une fois la manœuvre effectuée on a tout le temps qu’on veut, valable pour mono, bi, tri et quadruple safrans:p
Pour info, je suis tombé sur cet article, consacré à l'amarrage d'un Pogo 36 en solo, cul à quai entre deux ducs d'Albe. A mon avis, c'est parfaitement reproductible avec des pendilles. Par contre, c'est sans doute plus difficile le long d'un catway aux Minimes : en général, il y des renforts en métal entre le catway et le ponton, qui sont très agressifs pour les coques et qui font qu'on pas un angle droit, alors que justement l'arrière d'un Pogo, c'est deux angles droits...
Mais si vous avez la largeur disponible, je pense que ça se tente. Avec en plus le gros avantages de la marche arrière, qui permet un meilleur contrôle et une visibilité parfaite sur la manœuvre.
bonjour à tous: je vais sans doute me repeter !ça doit etre l'age!naviguant en solo depuis des lustres et 12 mois par an en general voiçi mes petits trucs pour ne pas se pourrir la vie, tout d'abord en saison(mais j'evite cette periode) j'informe le port avant d'entrer que j'ai un bateau lourd peu manoeuvrant en marina= deriveur integral sans propulseur et souhaite si possible une plaçe en bout de ponton,j'ai toujours une amarre sur la bitte au milieu du bateau ,pour le melody de mon fils un gros bout est fixè en clef sur le rail de fargue dessus est fixè une amarre !toujours j'amarre d'abord le milieu de ce fait le bateau peut legerement pivoter mais s'appuit soit sur la defense arriere ou celle à la proue mais il ne peut s'eloigner du quai apres j'amarre tranquille le reste! pour partir si le vent pousse sur le ponton un bout a l'arriere du ponton jusqu'à letrave safran tournè vers le ponton et moteur en avant ,l'etrave va se coller sur le ponton(defense) et le cul s'eloigner du ponton puis inversion de la barre et marche arriere on peut aussi pratiquer à l'inverse et partir en marche avant mais seul il faut s'organiser pour vite courir recuperer l'amarre frappèe en double par vent violent je demande à un bateau de la capitainerie de me tirer par le cotè(utilitè du bout sur la bitte ou fixation du milieu de la coque) en solo avec un voilier important je suit la meteo et evite de me mettre dans des situations compliquèes par forts vents ,dans ce cas je choisi un endroit d'attente ou je peux mouiller
Tout à fait d'accord.
Des bonnes pratiques :
Si la place est impossible, en demander une autre;
En cas de besoin, demander de l'aide à la capitainerie.
Enfin, prendre la météo locale... avec du bol le thermique va tomber dans 2 heures..
@Captaiwatt +1.
En ce qui me concerne, l'amarre d'embelle est la panacée!
Debutant, je ne me souviens plus qui m'avait suggeré son utilisation systématique... ...Mais après quelques mois de manoeuvre parfois scabreuses, je lui dois une fière chandelle :
Quelque soit la situation, dès qu elle est frappée, je suis tiré d'affaire sans autres complications.
Je recommande sans réserves!
En parlant de bon sens, pourquoi il n'y a pas systematiquement, un taquet à mi longueur du bateau , ou un pontet au niveau des cadenes..., afin de fixer une amarre d'embelle ?
Pour le point de fixation sur les cadenes , j'imagine que le plus simple est d'utiliser une sangle Au Crouesty nous avons la chance d'avoir des taquets à mi-catway, donc avec mon aussière autour de la base du mat (je la passe bien sous toutes les poulies de renvoi au cockpit), c'est le principe de ma manœuvre sauf que je n'ai pas besoin de palan car j'ai un petit voilier (et que des petits problèmes).. ·le 29 juil. 2020 12:02
Pour mon amarre d'embelle, j'ai un bout sur mousqueton que je fixe sur le rail de fargue, à l'endroit le plus adapté en fonction du moment. Suivant le repérage, cela peut être en avant ou arrière du maître bau.
A deux, chacun a son bout "mousquetonné", ce qui permet d'être très rapide sur les manœuvres dans les ports inconnus où on découvre sa place au dernier moment, et ainsi réagir plus vite que le catway soit à droite/gauche/absent/position des taquets sur celui ci...
concernant la perche à dame de nage avec l'amarre prépositionnée dessus, la seule limitation est la location de l'emplacement pendant l'absence du bateau à des plaisanciers indélicats qui utilisent vos amarres et ne remettent pas en place l'amarre sur perche...