ligne de vie verticale, accrochée au mât : déjà pratiqué ?

par exemple accrochée sous le premier étage de barre de flèche : la ligne est plus courte à l'avant, là où c'est le plus nécessaire, plus longue en pied de mât là où on peut mieux se tenir, ne s'emmêle pas à priori et nous permet de se déplacer sans trop de contrainte en passant sous les haubans, et surtout on n'a plus cette longe de M.. qui se prend dans les pattes et a un effet franchement contre-productif.

Par contre si on tombe, il ne faut pas tomber sous le vent au risque de se voir transformé en "pendule mouillé" à moins d'être accueilli par le génois :-) mais au moins on reste attaché au bateau, c'est probablement mieux que rien et plus pratique que les longes.

Est-ce que l'un d'entre vous a déjà essayé cette idée ?

A+

L'équipage
10 août 2022
10 août 2022

Et donc entre le cockpit et le mât tu n'es pas attaché ?


10 août 2022

Ce que je crois comprendre.
Tu remplacerais la longe de 2 m par une longue accrochée sous les barres de flèches.
Comment règles-tu la longueur pour que la longe soit toujours tendue et t'empêche de passer du mauvais côté des filières ? Car le principal danger est de prendre de la vitesse avec arrêt brutal.

Je n'essaierais même pas par curiosité.
La balançoire, pas au dessus du pont.


10 août 202210 août 2022

L'idée est originale mais faire le pendule c'est moyen par mer agitée...
Je me rappelle un copain sur un cata qui l'a fait après un arrêt buffet du hobbie cat qui a enfourné,ça a été assez violent.. l'élastique du bas du cable de trapèze a lâché et il est allé se fracasser sur le mat de l'autre côté...
Et si sur le bateau quand tu te croches en sortant du cockpit sur ce genre de ligne de vie la gv empanne, aie aie...
Si tu es en solo vaut mieux avoir la télécommande sans fil du pilote dans la poche!

Sinon c'est le même principe des outils suspendus au plafond avec un système à ressort qui rembobine le bout de la machine et son fil pour ne rien emmêler.
J'ai vu des ateliers montés ainsi,c'est un grand confort pour un boulot statique.
Je te trouve très courageux pour poser ce genre de question,à voir les réactions ?


TITIMARIN:de toute façon il n'y a personne en ce moment :-) Mais c'est une vraie question. La ligne de vie ca traine sur le pont, on glisse dessus, la longe qu'elle soit son type s'accroche partout, et à part s'accrocher exactement dans l'axe du bateau de toute façon tu as un risque de te retrouver derrière les filières . On peut envisager, à mon idée, une longe courte, complémentaire, que l'on accroche qu'en position statique. Du courage ? moi je dis qu'il en faut encore plus pour trainer ce boulet de sécurité à la patte jusqu'à la plage avant ... ;-) ·le 10 août 2022 14:11
tiktak:Je confirme. Lorsque un cata de sport enfourne et qu’on est au trapèze on a vite fait de faire le tour.J’ai toujours réussi à m’arrêter avant l’etrave mais c’est chaud.Bref pas convainu par ton systeme.Apres c’est vrai que la ligne de vie c’est rarement bien fichu notamment sur les petits bateau ou personnellement je préfère m’attacher au mat ou à des padeyes si possible.·le 10 août 2022 14:40
10 août 2022

Les mouvements subis en bateau peuvent être extrèmement violents et la survie primaire tient d'abord
à rester sur le pont et aucun cas ne pouvoir passer par dessus bord et ne pas rester suspendu sans aucune chance d'y revenir voir de se noyer resté accroché (cas connu publié en Med).
La violence ressentie au niveau du harnais va être d'autant plus forte que le corps projetté a emmaganisé de l'énergie cinétique. Tout doit être fait pour réduire au minimum la distance au solide point de sécurité du moment. En voltige aérienne classique autour de 4G, finalement presque moins violente que ce qu'on peut subir en bateau, on est sanglé à mort complètement ficelé à la machine.


10 août 2022

Voire de se noyer pas voir de se noyer MDR


10 août 2022

C'est la technique du pendu haut et court.


J'ai vu très récemment un Boréal avec les lignes de vie prises entre balcon de pied de mât et le côté de la casquette en dur.


matelot@19001:@Hubert : c'est ce que j'ai, des lignes de vie entre balcons de mât et le côté de l'arceau du rail de GV. C'est très pratique.·le 11 août 2022 13:07
roberto:+1, moi aussi·le 11 août 2022 18:34
10 août 202210 août 2022

Ca me semble compliqué et contre mon principe KISS (keep it simple stupid).

Par contre ce qui concerne les lignes de vie latérales "classiques" et dans une processus de réflexion général concernant l'utilisation de mon bateau en solo, cette année-ci pour la première foi je ne les ai pas installé après l'hiver.
Effectivement mon bon sens m'indique que ces lignes de vie sont plus dangereuses qu'autre chose en cas de solo car elles n'empêchent pas de voler au jus par contre on pendera par dessus les filières traîné par le bateau ce qui est pour finir la pire des situations.
Aussi j'ai beaucoup d'accastillage sur le pont en sortie de cockpit donc non seulement ce système de lignes de vie est à mon sens dangereux en solo mais en plus la longe s'accroche partout en déplacement.
Donc au final lors des déplacements je ne suis pas accroché et quand j'arrive au lieu de travail (mât, plage avant) je m'accroche en un point central et fixe du bateau. J'ai notament au niveau de la plage avant un rail central avec 3 cadènes qui forment autant de point d'attaches. Sur le mât j'ai 4 gros anneaux inox qui serve à accrocher les mousquetons des drisses et tangon.
Dans le cockpit aussi j'ai un point d'attache central. Donc toujours fixe et centraux les points d'attache pour moi.
Au final je me sens bcp plus en sécurité et pour les 3 mètres ou je ne suis pas attaché en déplacement et bien je me prends en main et fait bien attention et puis c'est tout. Bon je suis encore assez en forme aussi.
Cet état des choses m'a en partie été inspiré par le navigateur solo et youtuber Norvégien Erik Aandera. Ce type a aussi été sauveteur en mer.
En complément j'ai une petite balise PLB personnelle dans la poche de mon ciré.
En équipage c'est différent et dans ce cas les lignes de vie classiques sont certainement utiles, du moment que l'équipage est costaud assez pour ramener à bord un type qui pendouille par dessus les filière dans des états de fraicheur divers.


outremer:Dans tous les cas il ne faut à aucun moment se retrouver sans fixation au bateau. Lors d'une course célèbre, pendant une seconde seulement un équipier très expérimenté s'est retrouvé sans aucune fixation au moment d'une manoeuvre du skipper. Il s'est fait immédiatement balayé éjecté et n'a jamais pu être récupéré !!!!!!·le 11 août 2022 21:10
outremer:Dans tous les cas il ne faut à aucun moment se retrouver sans fixation au bateau. Lors d'une course célèbre, pendant une seconde seulement un équipier très expérimenté s'est retrouvé sans aucune fixation au moment d'une manoeuvre du skipper. Il s'est fait immédiatement balayé éjecté et n'a jamais pu être récupéré !!!!!!·le 11 août 2022 21:10
outremer:Dans tous les cas il ne faut à aucun moment se retrouver sans fixation au bateau. Lors d'une course célèbre, pendant une seconde seulement un équipier très expérimenté s'est retrouvé sans aucune fixation au moment d'une manoeuvre du skipper. Il s'est fait immédiatement balayé éjecté et n'a jamais pu être récupéré !!!!!!·le 11 août 2022 21:10
10 août 2022

En solo ou mal accompagné a partir d'un certain âge......interdiction d'aller a l'avant.
Un bateau avec des pasavant étroit est aussi a proscrire Benetaux 30,1 par exemple.


10 août 2022

Bonjour à tous

Le sujet à le mérite de remettre en avant le sujet avec un point commun la ligne de vie classique parait à tous peu pratique et pas très efficace.
Moi j'ai vue sur un bateau un rail tout le long du roof avec un chariot qui coulisse, le gars avez une longe assez courte presque pas possible d'être débout.
Idéalement il faut supprimer la cause, le déplacement vers l'avant.

Le Moko


11 août 202211 août 2022

Holà,
Comme Hubert dit la place des lignes de vie c'est au milieu du bateau...
Pas besoin de sortir des théories fumeuses c'est le seul endroit à mon humble avis où les poser et on ne se retrouvera pas noyé et accroché pendant sur le côté de la coque.
Et poser des cadenes solides dans le cockpit d'où on peut aussi se faire éjecter.
Expérience vécue en pleine nuit avec baston au Cap Creus...
Pourtant à la barre je n'ai rien pu faire.
Les dieux m'ont donné une bonne leçon avec une belle vague scélérate venant de nulle part.
À part mon orgueil rien de blessé,et j'ai pu remonter sur le bateau grâce à une accalmie providentielle qui a duré quelques minutes heureusement,et à l'aide de la personne restée protégée dans le canote.


11 août 2022

peut etre qu'avec un rappel ne tête de mat et un sandow dans le pataras cela le ferait !
Pour avoir un jour eu un équipier passé à l


11 août 2022

désolé, suite à un fausse manip, c'est parti.
Donc pour avoir eu un équipier passé à la baille dans du mauvais temps, je dis merci, car je ne pense pas que je l'aurai récupérer sans la ligne et le harnais...on peut penser que si Tabarly avait été accroché on l'aurait récupérer. et ce n'est pas le seul !
en solo, c'est le réglage de la longe qui compte, il en faut deux, une courte pour se déplacer et une longue pour travailler à l'avant. il faut juste apprendre à s'en servir. et il faut aussi les entretenir.


Polmar:J'aurais plutôt tendance à utiliser la courte pour travailler, plutôt que la longue. Ainsi moins d'accumulation d'énergie cinétique en cas d'éjection. Et pour les déplacements, longe trois points avec un mousqueton dans chaque main et en avoir toujours un croché avant d'ouvrir l'autre!·le 11 août 2022 13:35
11 août 2022

Bonjour à tous.

Merci pour vos interventions toutes pertinentes !

Et effectivement, je me sent moins souple que quand j’étais plus jeune ... :-)

L'enrouleur : En fait jusqu'à maintenant je n'avais pas d'enrouleur mais pour justement éviter d'aller à l'avant, je l'ai adopté (et cela rassure ma femme). Je pense que par temps calme c'est un bon système mais cela se gâte justement dans le mauvais temps : Écoute qui se coince dans le guindeau ou dans le tambour car lent à s'enrouler et laisse le temps au fasseyage de mettre le bazar... (First 32 = recouvrement important) et j'arrive presque à la conclusion que de toutes façons il faut enrouler le génois au moment ou il ne serait pas encore gênant de changer la voile d'avant ...

Lignes de vies latérales : A proscrire, cela a bien été dit par les interventions.

Fausses sécurités : Quand on se crois pas tout seul alors qu'en fait on l'est, et plus sournoisement s'attacher à un accessoire fixé par des rivets, notamment les anneaux du mât, qui ne tiennent pas assez à l'arrachement.

J'ai effectivement des cadènes dans le kokpit et une sur la plage avant, trés centrale : cadène de hale-bas de tangon. Je m'y accroche ... MAis entre deux accrochages, c'est là où je ne me sent pas bien. D'où cette idée probablement perfectible de la longe verticale.

Je pense que cela mérite réflexion. Si d'autres personnes pensent avoir de bonnes idées, n'hésitez pas, cela s'appelle le "rebond" ;-)


Polmar:Alors, une ou deux filières centrales complémentaires, permettant de s'y crocher dès que la capote et le rail d'écoute sont derrière soit.·le 11 août 2022 13:38
11 août 2022

Bonjour,

çà fait maintenant 35 ans que j' envisage d' installer sur mon bateau une "ligne de vie aérienne".
Dans les années 80, j' avais fait une première tentative sur ma Corvette en utilisant un enrouleur de ceinture de sécurité de bagnole.
Les problèmes étaient que çà ne fonctionnait (l' enroulement pour rattraper le mou et le blocage) que si la traction sur la sangle était de bas en haut, interdisant ainsi de positionner le bidule au niveau des bdf.
J' avais ensuite fait un montage avec l' enrouleur au pieds de mât, la sangle prolongée par un câble inox souple passant dans une poulie à l' avant des bdf.
Le débattement du bazar permettait, sans se détacher de partir du cockpit, d' aller à l' avant en passant entre les bas-haubans et le mât, tout çà en ayant la ligne toujours avec un peu de tension, et le moindre choc bloquait le déroulement.
Le problème, c' est qu' à peine un mois après l' installation et essai "théorique" au mouillage, le truc était pourri/rouillé/bloqué avant d' avoir eu le temps de le tester dans du temps musclé.
Mais les essais réalisés m' avaient encouragé à envisager d' en construire un 100% en inox, mais depuis 35 ans, je n' ai toujours pas trouvé le temps de finaliser ce travail.

J' en avais déjà parlé sur Héo et était passé pour un fou.

Avec un tel montage, il est aisé et rapide d' évoluer entre le cockpit et la plage avant, et même dans le pire des cas (éjecté du bateau quand la ligne est "au plus long"), il est impossible de se retrouver sous l' eau à l' extérieur des filières.
Perso, je préfère faire le pendule au bout d' un câble venant des bdf que faire le sous-marin accroché à une ligne de vie sur le pont.
Les lignes de vie centrales... j' en ai installé sur mon canote.
c' est sécure pour aller du cockpit au mât (pas possible de passer par dessus bord), mais complique sacrément le déplacement, à moins de ramper sur le pont, ce qui est très lent.
Le plus gros problème de la ligne de vie aérienne est,pour moi, l' interdiction de faire un empannage involontaire en étant dans le cockpit, mais on ne s' y attache qu' en prévision d' un déplacement vers l' avant.
Evidemment, avoir une telle ligne de vie ne dispense pas d' voir également des points d' attache dans le cockpit et à l' avant + lignes centrales (c' est ce que j' aurai... un jour!).

Gorlann


TITIMARIN:c'est une excellente idée ! un enrouleur spécifique, en remplaçant la sangle par une drisse, par exemple disposé sous le pont en pied de mat pour mettre ce mécanisme le plus à l'abri. Ces enrouleurs se bloquent par centrifugation de masselottes lors du déroulement rapide. il faudrait les disposer de sorte qu'elles ne se bloquent pas intempestivement avec les mouvements du bateau . A mon sens, c'est réalisable. Trés belle intervention, MERCI !
Plus on est de fous, moins on le devient :-) La révolution passe toujours par trois phases : 1) ridicule2) Dangereux3) évident. pasdeclimatsanseau.unblog.fr[...]idente/ ·le 11 août 2022 10:56
James :Dépendre du blocage d'un système qui se déroule je n'oserais pas...Il faut un truc simple,et un harnais à deux longes.Une bonne sangle et de bonnes coutures...·le 11 août 2022 11:15
Pierre3:@James, oui moi aussi....🙄·le 11 août 2022 12:51
gorlann29:@James: depuis l' invention de la ceinture de sécurité à enrouleur dans les 70', combien n' ont pas correctement fonctionné en cas de choc? En tout cas, beaucoup plus de conducteurs et passagers tués parce qu' ils ne l' avaient pas mise!Si le système est bien conçu ET réalisé,il n' y a aucune raison pour que ce ne soit pas fiable.Gorlann·le 11 août 2022 13:55
James :Oui je comprends mais là on est sur un bateau, pas les mêmes contraintes...·le 11 août 2022 15:39
11 août 2022

Personnellement, j'éviterais de prendre comme point d'attache tout élément du gréement, car même si démater reste peu fréquent, cela représente quand même un risque...
Jean


Pierre3:Sans compter la cata si empannage accidentel au moment du retour vers le cockpit avec ce système, ça donnerait une image genre gag de Gaston Lagaffe de Franquin.·le 11 août 2022 13:41
gorlann29:@Pierre3: une simple retenue de bôme annule totalement ce risque.·le 11 août 2022 13:50
jeec:Et quand je dis grément, ce n'est pas seulement le grément dormant.J'ai déjà vu crocher son mousqueton sur un palan de GV ou sur une écoute de génois.·le 11 août 2022 14:02
11 août 2022

Bonjour,

Je ne comprend pas bien quel problème tu veux régler avec ce système?

Une ligne de vie en sangle le long des passavants, quand on s'en sert on croche une longe courte pour ne pas pouvoir passer de l'autre coté des filières et on peux se balader presque librement de l'arrière à l'avant du bateau. La sangle se tien bien à plat sur le pont et ne roule donc pas sous les pieds quand on ne s'en sert pas.

Avec ton système, je ne vois que l'inconvénient de compliquer la chose et de le rendre plus dangereux donc je n'en vois pas l'utilité.

La ligne de vie, ça ne sert presque jamais, sur un bateau bien conçu on passe à l'avant facilement s'en en avoir besoin même quand ça gite fort, que ça soit au vent ou sous le vent, mais quand on ressent le besoin de s'attacher pour passer à l'avant, il faut que ça reste simple, fiable et utilisable sans arrière pensée.

AMHA.


gorlann29:Bonjour Now, le problème que je veux régler avec ce système, c' est que je n' aime pas être amarré "par le bas". J' y trouve les inconvénients suivant: c' est une entrave au déplacement, et çà n' empêche pas de tomber (voire çà aurait plutôt tendance à provoquer les chutes par effet croche-pieds), à moins de se déplacer à genoux, ce qui est lent et pas pratique.Mais si tu trouves que les lignes de vie "classiques" sont impeccable... tant mieux pour toi!Pour ma part, j' ai très souvent maudit ce type d' attache, même si pour l' instant je l' utilise faute de mieux.Après, l' immense majorité des plaisanciers se contente de ce que les chantiers ont fait pour eux, et de ce que les schips proposent dans leurs rayons... tant mieux si çà leur convient, mais je ne trouve jamais de bateau adapté à mes envies/programe/façon de naviguer... donc je suis tout le temps en recherche de ce que je considère comme "amélioration", en le faisant moi-même puisque çà n' existe pas (et si çà existait déjà, je n' aurais probablement pas les moyens de me l' offrir!).Gorlann·le 11 août 2022 14:37
Now:je comprends l'envie de faire mieux et plus adapté, mais dans ce cas la je trouve (c'est personnel, chacun à un ressenti diffèrent) que ça produit un système moins pratique et peu fiable. La simplicité induit souvent la fiabilité et une simple sangle ... c'est simple. Cela dit je n'utilise quasi jamais les lignes de vie. Mon bateau à des passavants larges et qui permettent de se caler les pieds efficacement, je préfère passer à l'avant libre de toute entrave, je trouve ça plus sécure. ·le 11 août 2022 15:51
11 août 2022

Sinon, il y a ca. Avec un peu d'entrainement, tu dois pouvoir rejoindre la plage avant en un seul bon. Très pratique aussi pour catapulter un équipier sur le quai une haussière à la main. N'hésite pas à publier des videos pour nourrir le débat.


11 août 2022

Je comprends bien que les lignes de vie à plat pont sont un frein au déplacement, et que l'on envisage à la place des alternatives plus aériennes.
Avec cette dernière hypothése, et à la gîte, on risque de se retrouver vite suspendu sous le vent au dessus de l'eau.
Jean


11 août 202211 août 2022

Je pense que le problème des déplacements ne se règle pas avec une ligne de vie qui fera qu'on restera accroché sans arrêt mais plutôt avec des solides et main-courantes bien disposée sur le pont.
On est l'ancêtre du singe, rappelons-nous en :-)
En ce qui me concerne je m'accroche avec ma longe qu'a destination et endroit de mon "lieu de travail" sur un point fixe et central par rapport à l'axe avant/arrière du bateau.
Un truc que je remarque dans la vie est que plutôt qu'être bardé d'assurances etc, accroché en permanence devant, derrière et par le dessus rien ne bat le fait de simplement faire attention, cela bien entendu sans tomber dans le travers de Tabarly en étant de nuit pas accroché et avec un type de gréement 3X plus dangereux que les nôtres (corne d'un gréement aurique qui se ballade à tord et à travers en maneuvre lors GV non hissée). Donc il y a la voie du milieu qui est mon choix.
P.S.: le seul endroit ou je mettrais une ligne de vie est ma plage avant car j'y ai un rail central, mais en latéral, non, éventuellement entre le mât et le capot en position centrale si j'y trouve des bons points d'attache dans une dizaine d'années quand moins en forme.
P.S.2: dans les grands voiliers les marins qui se balladaient dans la mâture s'accrochaient aussi que quand arrivés à destination/lieu de travail. C'est à dire quand ils devaient avoir leurs mains (de singe) libres.


11 août 2022

Tout depend de la taille du bateau et de ses passavants.

Sur des bateaux de moins de 8m les lignes de vie le long des passavants ne sont pas satisfaisantes mais c’est mieux que rien.

Discussion intéressante pour permettre à ceux qui ont des astuces qui fonctionnent de les partager.


Québec, le cap Gaspé

Phare du monde

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Québec, le cap Gaspé

2022