Il vend son bar pour acheter un bateau volant...

Hello,
Tout est dit dans le titre.
Chapeau, il en faut des "coronnesses",
Bon chance et bon vent à lui:
www.ouest-france.fr[...]6241168
A+

L'équipage
28 fév. 2019
28 fév. 2019

faut aller au bout de ses réves

28 fév. 2019

Couillu, le gars.....

28 fév. 2019

Il a bien raison, je ferais pas l'inverse.

28 fév. 2019

Des "coronesses" le Monsieur ok .

Une question cependant :
j'ai vu plusieurs photos du 747 en vole tribord amure avec son appendices spécial .
Mais comment peut-il le faire "voler" en restant dans la jauge ?

28 fév. 2019

Me semble que la jauge "mini" est beaucoup plus ouverte aux expérimentations que les jauges "class40" ou "imoca"..

28 fév. 2019

Mao, je sais pas mais tu as aussi Arkema.

28 fév. 2019

Le 747 de Seair vole mieux que le proto d'Arkema.

28 fév. 2019

personne pour copier coller les 85% illisible de l'article ? :heu:

02 mars 2019

@ le relou : si tu veux lire un article, tu achètes le journal; et copier-coller un article, c'est hors charte.

01 mars 2019

pour les étrangers (non bretons) on peut savoir ce qu'il y a dans l'article ?
Merci :litjournal: :oups:

Tu n'as pas bien lu, mosc.

Il est écrit suite de l’article réservé au "ABONNES" et pas aux "A BONNET".
Il ne s'agit donc pas des chapeaux ronds des bretons mais juste de ceux qui ont payé pour lire. :mdr:

02 mars 2019

mais ouest france quand même!! on n'a pas ça hors bretagne et paris :litjournal:
les portes du pénitencier c'est donc le folklore bigouden he be :bravo: :topla:

01 mars 2019

Hello,
Voila le copier/coller (pour les photos je suis pas sur)

Professionnel de la voile, l’ancien patron du Breizh’îles de Vannes a vendu son bar pour prendre la barre d’un voilier qu’il veut faire voler pour remporter la Mini Transat 6,50 en septembre prochain.

Quitter son bar pour prendre la barre d’un voilier volant, c’est la nouvelle aventure dans laquelle s’est lancé l’ex-patron du Breizh’îles Laurent Cornic. Aussi connu dans le milieu de la voile pour ses compétences en planche à voile et en multicoque, qu’à Vannes pour ses caïpirinha, le Vannetais se lance dans une nouvelle aventure. À 36 ans, l’entrepreneur-aventurier s’est mis en tête de gagner la prochaine Mini-transat 6,50 en faisant voler un prototype.

Pour arriver à ses fins, il a investi dans le bateau vainqueur de la Mini-Transat 2010 et s’est approché de la société Seair de Lorient, connue pour faire décoller les semi-rigides. Ensemble, ils comptent faire gagner ce drôle de voilier dont l’étrave ronde ne devrait plus glisser sur l’eau mais voler quelques centimètres au dessus pour laisser la concurrence loin derrière.

Si sur le papier, l’idée paraît très simple. Dans la réalité, ce sera un peu plus compliqué. Aujourd’hui, le voilier n’est équipé que d’un foil côté bâbord. Il faut lui en ajouter un second et réussir à trouver le mode d’emploi pour le faire voler pendant une vingtaine de jours, seul… Mais pas de quoi inquiéter le skipper qui, après avoir commencé à naviguer à 5 ans sur un Optimist, a intégré plusieurs équipes de courses dont le team Guyader en Open 7,50 ou Fenêtréa pour sa préparation de la Route du rhum en multicoque.

Équipé par Seair, le voilier 747 de Laurent Cornic a déjà volé sur un bord à l’occasion d’un essai. Le faire pendant une vingtaine de jours de course sur une transatlantique sera une première.
Équipé par Seair, le voilier 747 de Laurent Cornic a déjà volé sur un bord à l’occasion d’un essai. Le faire pendant une vingtaine de jours de course sur une transatlantique sera une première. | SEAIR
Cette fois, il travaille pour lui. Et ça, il s’est faire aussi. Parti au Brésil il y a treize ans, il y a ouvert avec sa compagne un club de voile ainsi qu’une pousada, sorte de «?bed and breakfast?» à la sauce brésilienne. Ils sont rentrés en 2016 pour ouvrir le bien nommé Breizh’îles où ils servaient leur bonne humeur, leur cuisine du monde et leur cocktails dans un bistrot de plage, en plein centre de la ville. «?Il nous a permis de se relancer à Vannes, de se faire un réseau?», apprécie son ancien patron qui investit désormais tout son temps dans ce petit voilier de 6,50 mètres.

Laurent Cornic est toujours à la recherche d’un sponsor pour boucler son budget et donner un nom à son Magnum 747.
Laurent Cornic est toujours à la recherche d’un sponsor pour boucler son budget et donner un nom à son Magnum 747. | OUEST-FRANCE
Rêvée, une victoire lui permettrait de réaliser un autre rêve, devenir skipper professionnel à la barre d’un coursier océanique. En attendant, il va falloir boucler le budget de 150?000?€ nécessaire à l’équipement et la préparation du bateau. À sept mois du départ, l’entrepreneur a réussi à décrocher un peu moins de la moitié du budget et cherche toujours le sponsor qui pourra donner son nom au bateau actuellement baptisé Magnum 747.

Et pour leur donner confiance et s’assurer un bon vent, il a déjà convaincu le météorologue Jean-Yves Bernot de se charger de son routage. Surnommé le sorcier, c’est le routeur de la plupart des records océaniques et des vainqueurs. Bateau volant, experts en foils et en météo, s’il veut voler, Laurent Cornic n’a pas envie de se faire voler la victoire.
A+

02 mars 2019

merci

01 mars 2019

Article désolant et bien loin des réalités de la mini.
(Quand je lis" experts en foils et en météo, s’il veut voler, Laurent Cornic n’a pas envie de se faire voler la victoire" je ne sais pas si rire ou ou pleurer...

01 mars 2019

De plus, le routage est interdit en mini, avec une VHF, c'est de toute façon pas possible. Bernot ne doit sûrement pas être content d'être cité ainsi.

01 mars 2019

Étonnant en effet d'aborder, de présenter (car ne lit que le retour donné par une tierce personne) un projet course avec un tel aplomb quant à l'objectif. La mini est l'école de l'inverse .
Cela n'empêche pas de vouloir y aller plein pot mais surement pas en le criant sur tout les toits, surtout de nos jours.

01 mars 2019

Exact. Mais le problème de rester discret, c'est que l'on ne trouve pas de sponsors. D'un autre côté y aller en le claironnant partout, c'est risquer de rentrer grillé si on lâche le morçeau dès de golfe de Gascogne.
Bon, on va dire que le marin est bon, et c'est le journaliste qui ne l'est pas.
Il va quand même falloir le mettre à la jauge ce bateau, et la c'est une autre histoire.

02 mars 2019

Extrait de la jauge, pas vraiment contraignante pour les appendices :
J-20 APPENDICES
Se définit comme appendice, les safrans, dérives, foils, voile de quilles et tous dispositifs ayant vocation à créer une portance hydrodynamique.
Les appendices peuvent augmenter la largeur définie en J-3 une fois le départ pris sans toutefois qu'elle excède 6,50 mètres dans la plus mauvaise configuration.
Une fois la ligne de départ franchie, les appendices peuvent augmenter le tirant d'eau au-delà de la limite définie en J-4.

01 mars 2019

A noter qu'à la prochaine mini, les bateaux seront équipés de telsat, alors routage !!!

02 mars 2019

Non, ils n'auront pas de téléphone satellite. C'es toujours interdit par la classe qui a négocié l'affaire avec la fédé.

02 mars 2019

Non. Téléphone satellite ne veut pas nécessairement dire routage autorisé.
Il peut être scellé à l'intérieur et ne servir qu'en cas d'urgence.
Par le passé, un Ministe à été radié à vie de la Classe Mini pour avoir utilisé son téléphone hors urgence.
Ça devrait calmer les petits malins qui voudraient tricher....

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