Hisser la gv au winch

Bonjour à tous.

J'ai beau chercher, je ne trouve pas de réponse à ma questions, assez insolite je pense.

Pour le contexte,
Je suis en recherche d'un voilier, mini 35 pieds. On prend le temps de trouver le coup de coeur. L'idée étant de naviguer bien sûr, mais d'y passer au moins dix mois à y vivre à l'année.
Grosse hésitation entre gv latée et enrouleur. Pas de débat sur le sujet il y atout ce qu'il faut sur le forum.

Ma question est de savoir s'il est possible de hisser la gv (sans enrouleur), sans aller au mat. Juste en utilisant le winch ?
Voir en utilisant une manivelle électrique (pas taper pour ceux qui sont contre !!)
Je pense à mes plus vieux jours où j'aurais physiquement du mal à tirer, et surtout en navigation solo.

J'espère avoir été clair.

Merci à vous

L'équipage
4j

Bonjour Salva,
sur un Centurion 32, j'utilise une manivelle de winch électrique pour hisser la GV. Mais la manivelle m'est surtout utile sur les enchaînements de virements pour le génois à fort recouvrement. Pour la GV, c'est du luxe!!!


Salva44:Merci.C'est donc faisable. Je m'en doutais bien mais autant se renseigner.Le luxe ultime, un winch électrique. Je vais en faire rager certains c'est sûr. Lol.Tant que le physique est là, j'irais au pied de mat. Hisser et embraquer, de là, mais j'anticipe pour plus tard.Merci·le 14 juin 10:43
docego:pourquoi aller au pied de mat ? un qui tire au mat et l'autre qui reprend au winch ;c'est certe plus rapide mais n'apporte aucun intérêt sauf celui de se casser la figure au pied de mat dans une mer formée avec les bateaux modernes tout les manœuvres sont envoyées au cockpit ,éventuellement un bloquer reste présent sur le mat ,mais les winch de drisse sur le mat font parti du passé
je hisse ma gv depuis le cockpit à la main puis ensuite au winch ; de même avec les ris automatiques et cela ne pose aucuns problèmes·le 14 juin 10:50
Salva44:Je suis pas sûr d'avoir été clair.L'idée est justement de ne pas y aller, au pied de mat. Surtout en solo. Même si pour l'instant j'estime ne pas encore avoir le niveau. A chaque sortie ou stage, la drisse était tirée du pied de mat. Et le mou repris au cockpit.Hisser du cockpit j'ai eu l'impression que c'était bien dur.D'où l'utilisation d'un winch dès le début, mais pas au mat, au cockpit.·le 14 juin 10:56
Jef-370:Sur mon 37" désormais correctement accastillé, je monte la GV de 45m2 jusqu'à mi-mat depuis le cockpit à la main, sans winch. C'est une excellente manière d'aller plus vite et de sentir s'il n'y a pas de résistance. Je finis de hisser au winch, toujours depuis le cockpit, voire avec l'électrique si le moteur tourne. Comme on hisse la GV en sortant du port, c'est pratiquement toujours le cas. Côté sécurité, j'ai rajouté deux bloqueurs supplémentaires au piano pour ramener aussi le 3e ris au cockpit, c'est AMHA indispensable. ·le 14 juin 12:50

Ma gv 20m2 sur 33pieds
Je la hisse du cockpit à la main et l etarque au winch
Elle est sur rail
Pour affaler juste besoin de choquer la drisse elle descend seule dans l easy bag


Salva44:J'ai vu des rails avec roulements. A hisser du cockpit, sans le rail...j'ai l'impression que c'est chaud. Le monde de l'occas est fait de concessions. Je retiens l'idée. Si je trouve, sinon je ferais des concessions et je trouve d'autres solutions..Merci·le 14 juin 10:49

Pour hisser entièrement au winch, je pense effectivement que le rail à billes s'impose.

Sur le Swann 44 sur lequel je régate, on a une GV entièrement lattée sur chariots à billes, ça se hisse à la volée depuis le mât jusqu'en tête sans problème et juste étarquage au winch.
Ça permet de prendre des ris et de les renvoyer facilement du près au travers, avec difficulté mais c'est possible jusqu'au grand largue.


Comme je suis venu à la voile tardivement, j’ai regardé que tout soit faisable physiquement sachant que j’ai deux épaules plus ou moins « déglinguées ».
Winch électrique sur la GV, nickel, tu commence à la main et tu fini au winch.
Le winch électrique permet aussi de monter facilement un ou une équipier(e) au mât.
Ensuite avoir tous les retours au cockpit pour éviter d’avoir à aller au mât par mauvais temps.

Je dois rajouter que tant que nous avions un 34 pieds, nous faisions tout à la main et c’était encore largement faisable. Avec les années ça reste à voir.


Pourquoi pas ....c'est juste un peu,long mais si c'est prevu ca se fait sans soucis


4j4j

En solo la méthode qui necessite le moins d'effort,selon moi,c'est de commencer à hisser la gv en direct au pied de mât en t'aidant de ton poids,et quand ça devient trop dur tu reviens au cockpit pour terminer avec le winch après avoir repris le mou à la main.
A deux, un au pied de mât et l'autre au cockpit qu reprend le mou et qui termine au winch.


Patxaran:je rajoute un +1·le 14 juin 12:04
BWV988:Si celui qui n'est pas d'accord avec ma manière de faire pouvait expliquer les raisons de son désaccord, et également proposer des méthodes alternatives, ce cerait plus constructif que d'attribuer bêtement un moins 1.·le 14 juin 12:11
Voyageur29000:Le plus simple c'est quand meme de tout monter depuis le;cokpit ...mais ça demande a a voir des coulisseaux propres et entretenus et un parcours des drisses coherent..mais quand on en est a decouper les efforts ...c'est qu'il;y a un truc qui a ete loupe ·le 14 juin 12:12
Peace And Love:Entièrement d accord avec Bwv, j.ai deux drisses de cockpit, mon fils utilisé celle la , pour ma part je vais au pied de mat et malgré le poids des années il suffit d’utiliser son poids et la gv monte en 15 secondes, puis étarquage au winch. En plus ça permet de veiller au grain avec les lazy jack·le 14 juin 14:29
jerome1966:En solo si ont veut vivre vieux ont fait tous du cockpit....·le 14 juin 19:55
Emge1:👍Disons que l’on fait le maximum du cockpit. Parfois il faut bien aller devant; le moins possible .·le 15 juin 11:03

AMHA : faire attention aux frottements:
Rail de GV, pour un bateau < 40' il existe le "rail" Tides marine sans billes.
Ensuite, penser à la sortie du mat pour la drisse : sur le bateau de mon beau-frère la sortie était plus petite que le diamètre du cordage.
Ensuite la poulie en bas de mat doit être une poulie à billes type Harken "black magic", et si on a une drisse mouflée, mettre la même poulie pour le mouflage.
Ensuite, en procédant comme BWV, on n'a pas besoin de manivelle électrique pour étarquer. (et pourtant j'ai une ewincher)
bateau 38', 40m2 de voile full batten, et je ne suis pas très costaud.


BWV988:+1 également, je précise que la raison pour laquelle il est plus efficace,et donc moins pénible, de monter la gv,au moins en partie,en direct au pied de mât,c'est qu'on peut s'aider de son poids du fait qu'on tire verticalement,ce qui n'est pas le cas quand on opère du cockpit.·le 14 juin 12:22
Patxaran:tout à fait, mais pour pouvoir le faire il faut que la sortie de drisse soit située assez haut, ce qui n'est pas mon cas. J'avais prévu d'inverser avec une autre drisse qui ne nécessite pas cette fonction. ·le 14 juin 12:24
BWV988:Ah oui c'est vrai,et d'ailleurs les poids lourds (j'ai pas dit les gros hein) ont un avantage dans ce domaine. ·le 14 juin 12:32
Voyageur29000:Comme quoi ....c'est bien selon toi ·le 14 juin 12:36
BWV988:Tsss,tsss...je ne sais pas trop comment je dois comprendre ton intervention,mais sache ce n'est pas mon poids qui me fait preferer cette méthode puisque je suis plutôt du genre fluet et léger,une particularité compensée par une grande agilité laquelle me permet de me déplacer de manière fluide jusqu'au pied de mât🤭·le 14 juin 13:20

sur mon Hood 38 gv full battent 35 m carrés ma femme et moi hissons à la main et le dernier mètre à la manivelle électrique.
mais j'ai fabriqué une vraie poulie de mouflage (après avoir essayé la manille Wichard en inox censée remplacer une poulie)


Avec l'expérience d'une première saison de 9 mois à bord non-stop, le rajout d'une paire de winchs dont un électrique côté drisse de GV me paraissait amplement justifié.
Je peux certes me débrouiller sans, mais ma femme n'arrivait pas à monter les deux derniers mètres de la GV toute seule. Désormais, elle peut même m'envoyer en tête de mât si nécessaire. Et au passage de la soixantaine, on sait qu'on ne va plus se muscler beaucoup.

Dans notre cas, ce qui nous a fait choisir une 3e paire de winchs plutôt qu'une manivelle électrique (qui aurait été deux fois moins chère), c'est que les emplacements étaient prévus - avec des renforts - d'origine sur ce voilier, pour des winchs malheureusement en option.
Ils sont également bien placés pour le Walder que nous avions installé au printemps dernier.

Il faut être conscient que la puissance d'un winch ou d'une manivelle électrique peut entraîner de la casse si on n'y prend pas garde. Il est impératif d'être à l'écoute, d'arrêter plutôt que de forcer et d'avoir les yeux partout pour voir ce qui coince, un ris mal lâché, un latte prise dans le lazy, etc. J'ai déjà vu des enrouleurs de GV éclatés "à cause" des winchs électriques, c'est un classique sur les chantiers de réparation.


bleterrier:exact, un gars avait tout eclaté avec un contacteur qui était resté collé. Donc pour moi l’électrique c'est banni surtout qu'un winch fait bien son boulot.·le 14 juin 17:31

Cela fait maintenant une douzaine d’années que je monte la GV de 45 mètres carrés exclusivement du cockpit au winch électrique.
Avec les roulements la GV tombe seule à l’affalage dans le lazy bag.
Hisser la GV du pied de mât au départ nécessite un bloqueur sur le mât en solitaire que l’on doit aller libérer pour l’affalage.
A chacun sa méthode mais la question n’est pas insolite 😀


BWV988:C'est sur qu'avec un winch électrique c'est plus facile. Sinon avec la méthode classique en pied de mât on peut facilement se passer de bloqueur, il suffit juste de faire un nœud provisoire qui bloque la drisse à sa sortie.Je crois que ça s'appelle un nœud de voleur mais je n'en suis pas sûr.Il s'agit en fait de la moitié d'une demi clé gansé et il suffit de tirer sur le courant une fois rendu dans le cockpit pour défaire le noeud.·le 14 juin 14:24
Peace And Love:Ou d’avoir un taquet sur le mât.·le 14 juin 14:32
Addiction:Un coinceur bien positionné libère la drisse à l'étarquage, j'ai un coinceur Harken pour la drisse de spi et un pour la gv, super pratique pour hisser au mat, dès que j'etarque du cockpit la drisse est libérée du coinceur, et quand je n'ai pas envie de hisser la gv du mat, je hisse direct du cockpit sans le winch, écoute et hâle bas libre ça grimpé sans soucis (bateau de 11m) le winch c'est uniquement pour étarquer sinon c'est sans fin !·le 15 juin 11:19
Milkan:Perso je fait un noeud dont j'ai oublié le nom, il ne passe rentre pas dans le mat et reste bloqué par le poids de la GV et quand je reprend depuis le cockpit il se défait quand je met en tension. ·le 17 juin 20:26
Addiction:Un nœud gansé sans doute, mais il ne faut pas mettre trop de tension dessus sinon wallou pour le débloquer, ·le 17 juin 20:42
Milkan:D'après internet il semblerait que ce soit une demi clé gansé... Quoi qu'il en soit la seule tension ( avant que je la reprenne) c'est le poids de la gv ce qui ne m'a jamais posé problème pour le moment ·le 17 juin 22:03
Addiction:Oui, cela dépend bien sur du poids de la voile, avev les full batten va devient vite lourd, je ne peux pas retenir ma drisse d'une main et faire le noeud gansé de l'autre, c'est pourquoi j'ai choisi le taquet coinceur, ·le 18 juin 03:55
Milkan:Effectivement, ma gv est aussi une fullbaten mais elle fait moins de 28m carré. C'est vrai que c'est relativement lourd et a choisir j'aime autant si l'on est 2 que le second rattrape le moi au fur et a mesure.·le 18 juin 07:42
roc:J'ai 44 m² full batten et le noeud gansé sur la drisse fonctionne très bien !·le 18 juin 09:20
BWV988:Milkan,en fait pour être plus précis il s,'agit d'une demi clé gansée non terminée faite à moitié,ça prend une seconde à faire avec une seule main, et pas besoin de serrer ce noeud, l'essentiel est qu'il bloque la drisse et qu'il se défasse instantanément en tirant sur le courant en arrivant au cockpit.·le 18 juin 09:54
roc:Et faire une toute petite ganse, qui glissera presque instantannément en tirant le dormant. Si on fait une trop grande oreille, il est possible que le noeud se serre trop pour la relacher.·le 18 juin 13:56
Addiction:La consistance du cordage peut rendre plus difficile le largage, je le constate sur les pare battage ou je fait un cabestan gansée, certains glissent bien mais d’autres beaucoup moins.·le 18 juin 14:01

Le mouflage limite déjà bien les efforts nécessaires.
Plus important, la lubrification, du rail, des charriots ou de la ralingue selon le cas.J'aime bien le lubrifiant sec au PTFE, d'autres préfèrent le savon, le suif...
Le réglage des lattes compte beaucoup : Trop de tension égale plus de compression et de frottement.
Le meilleur ami est le temps : Si l'on va deux fois moins vite, la puissance nécessaire est, elle, divisée par deux.
Les 57 m² de ma GV semi lattée montent sans problème à la main. On finit au winch pour étarquer uniquement. La situation était très différente avant une lubrification efficace.


Perso, gv de 34m2 (de souvenir), je hisse à la main sans effort au pied de mat et je peux aussi le faire du cockpit avec un peu plus d’efforts. Ce qui me dérange avec le winch c’est qu’on peut forcer et peter des trucs, surtout quand on délégue le hissage. Mais lorsque que la force de l’âge n’est plus, il faut bien trouver des parades


Hello,
Je hisse(GV lattée 43m2) à la main, en pied de mât...ça va tout seul, en moins d'une minute, gràce à un rail et des chariots(sans billes, récupérés à priori sur un Swann).
J'étarque les derniers cm au winch.
J'ai bien sûr un taquet.
Je le fais toujours au mouillage, avant de remonter l'ancre...si j'ai à intervenir au mât une fois en nav, c'est pratiquement toujours pour relâcher un ris, jamais pour en prendre un.
Donc presque toujours dans de bonnes conditions...
Pour affaler, rien de plus simple, en allant au mât également, cette fois ci en arrivant au mouillage, donc sans danger.(manoeuvre en solo la plupart du temps, même si je suis accompagné)
Je n'ai pour l'instant, et après quelques centaines (milliers peut-être?)de miles parcourus jamais regretté la config"retours au cockpit" que j'avais sur le cata, avec ses paquets de "nouilles" à gérer dans le cockpit.
Mais il faut de l'accastillage de qualité...sur le Neel, lorsqu'on lâchait du cockpit la drisse de GV, la voile descendait d'à peine 1 m, il fallait crapahuter sur le roof(sans anti dérapant à l'origine) et tirer dessus pour la descendre.
J'aurai aussi 60 ans cette année, je compte bien(et j'ai intérêt à) garder ma masse musculaire intacte encore quelques années, hein...


ED850:Oui pareil. Mais on est dans des conditions particulières par rapport à une majorité des intervenants d'H&O. Nous sommes à 99% du temps au mouillage, donc montons la GV avant de remonter l'ancre, en lieu protégé et nous avons des bateaux lourds et tolérants sur lesquels nous avons très rarement le besoin de réduire la GV. Pour ma part, la drisse de GV est entièrement en cable inox qui s'enroule sur un winch emmagasineur. Je tourne la manivelle en pied de mat et un enfant de 8 ans pourrait le faire, ça ne force pas.·le 14 juin 19:50
Pat45:je trouve qu'on n'est pas si nombreux que ça à monter la GV au mouillage...beaucoup commencent par le quitter, puis se mettent face au vent.C'est une habitude que j'avais prise durant mes 18 mois en solo sur mon ancien cata.L'intérêt, quand on part à plusieurs en mode "régate"(j'ai gardé l'esprit "compet"), c'est qu'on prend la tête dès les premiers miles!!!Et puis on évite les tensions quand on est en couple et que madame a pour mission de mettre le bateau face au vent(mode humour, hein...)!·le 14 juin 21:07
Patxaran:@Pat : Pour garder le bateau face au vent, il y a... le pilote automatique. ·le 14 juin 22:07
ED850:J'ai gardé cette habitude de nos divers tdm sans moteur. La GV est toujours hissée avant de remonter l'ancre, puis bordée à fond pour ne pas être propulsive pendant que je remonte l'ancre. Ensuite il suffit de faire les derniers mètres en attendant que le bateau soit bien orienté et de retourner à l’arrière, choquer la GV et on est partis. pas besoin de démarrer le moteur.Je pense que l'habitude de ne monter la GV qu'après être partis vient que beaucoup de gens sont habitués à quitter des ports. Tout comme beaucoup ont des difficultés à bien mouiller, car manque d'expérience. ·le 14 juin 22:31
Peace And Love:Pareil Ed, mouiller et lever l’ancre , toujours sous GV·le 14 juin 23:13
Patxaran:quand on utilise le guindeau, il est très recommandé de mettre le moteur en route pour bénéficier de la charge par l'alternateur. Ce qui n'empêche pas de hisser avant de remonter l'ancre.·le 14 juin 23:58
Dim31:Un de mes grands plaisirs est de ne pas démarrer le moteur pour quitter le mouillage. Remonter l'ancre au guindeau est très très loin de vider une batterie en bonne santé. Le panneau solaire compensera en 20 minutes, après 14h, quand la batterie de service sera pleine. (Batterie moteur 80Ah, panneau 200W, ancre 16kg et 50m de chaîne de 10mm). Si le vent est de plus de 15 kt, je démarre le moteur pour soulager le guindeau. Et aussi s'il y a la côte ou d'autres bateaux tout près sous mon vent.·le 18 juin 00:53
16h

Bonjour,

Sur mon 36 pieds, GV FB ~35m2 (pas de rail à billes) je hisse généralement à la main au 3/4 puis au winch ou alors si on est deux, je vais au pied de mat pour hisser à la main et le deuxième reprend le mou puis fini au winch MAIS lorsque j'avais les "bras en mousse" (problème de tendons cassés aux épaules) et encore aujourd'hui quand mes épaules me font souffrir, je hisse totalement au winch soit classiquement, soit, si j'ai vraiment mal, avec la manivelle électrique que j'avais acheté pour pouvoir renaviguer à la fin de ma convalescence.

Donc, la réponse est "Oui, bien sur qu'on peut hisser au winch classique ou électrique"

AMHA, ça serait quand même dommage de casser les ailes au bateau en lui mettant un enrouleur de GV juste pour cette raison la, surtout si c'est un bateau qui marche bien à la base.


Phare du monde

  • 4.5 (18)

2022