gros temps en catamaran

bonjour,se message s'adresse a des utilisateur de catamaran d' environ 40 pieds avec expérience . j'ai un projet en catamaran de voyage,baléare ,Sardaigne ,corse ,Italie ,silice,grece ,croatie, venise ,malte,baleare
je n'est aucune experience en catamaran . J'ai lu des livres , et comme tout marin conscient je redoute une tempête . dans tous ces livres on parle de mettre moins de voile ou d’abattre toute les voiles,
quel est la meilleur technique en cas de forte tempête,pourquoi ne pas continuer au moteur ?

L'équipage
29 déc. 2014
29 déc. 2014

En cas de forte tempête en général tu ne fais plus route au près. Sinon un fil que j avais posté il y a quelques temps.
.

www.hisse-et-oh.com[...]ottante

29 déc. 201429 déc. 2014

En Méditerranée les distances ne sont pas très grandes. Les traversées durent 24, 48 ou 72 heures au maximum. Cela signifie que quand tu pars tu as une bonne vue de la météo que tu devrais avoir. A toi à être patient et à ne pas partir si on annonce du gros temps.
En 2013 nous avons navigué de la Turquie jusqu'à Gibraltar en adoptant cette technique et en attendant toujours des vents favorables.

29 déc. 2014

Une avant dernière transat de course avec beaucoup de casse avait très bien montré les limites et les différences entre mono et cata, et dans les pires conditions tout le monde essaye de s'en sortir, pour le cata en sachant qu'il peut dévaler une pente d'eau en survitesse et qu'il faudra alors chercher à le freiner, et qu'une fois retourné il ne se redressera pas tout seul (mais il constituera alors un bon radeau), en réduisant jusqu'à rien du tout la voilure, en faisant en sorte de ne jamais se trouver en travers de la vague, en utilisant le moteur si nécessaire pour essayer de rester un minimum manoeuvrant. Heureusement les catas de voyage sont relativement sous toilés,
Par F8 en Med j'ai suivi d'assez près pendant 6h jusqu'à Calvi, en mono, un cata de cette taille. Il avait réduit comme tout le monde et marchait à la mème allure. Le skipper était relaxe. Les passagers étaient eux à l'abris. Perso ne me trouvant pas assez réactif pour un cata je reste fidèle au mono.

29 déc. 201416 juin 2020

Je n'y connais rien en cata mais trouvé ça.

29 déc. 2014

Je pense que quelques heures à faire du cata de sport dans la brise pourrait t'être très utile afin de commencer à percevoir les fondamentaux de ce type de bateau. Par exemple, il faut perdre le réflexe de lofer dans les surventes qui fait enfourner le flotteur sous le vent et bien comprendre les principes qui sont liés à une stabilité de forme et non de poids. Comme dit plus haut dans la brise au portant ça va vite et y'a pas de frein: sensation très particulière quand on vient du monocoque... Maintenant quand nos monocoques coulent, on est bien content de trouver le radeau de survie, qui n'est jamais d'un point de vue de sa conception, que l'ancêtre du catamaran :-)

30 déc. 2014

Euh, un cata de sport, dans les surventes, en surpuissance, tu lofes... Et reste à l'équipier de se décaler vers l'arrière pour sortir les étraves de l'eau. En pratique, sur certaines plateformes, tu vois même très souvent l'équipier en arrière du barreur et de la poutre arrière.
Je sais pas si on peut vraiment comparer un cata de sport et un cata de croisière niveau sensations et technique, j'ai pas beaucoup d'expérience des catas de croisière (20 ans, j'ai pas encore l'âge... ^^)

29 déc. 2014

Une petite video pour illustrer:

29 déc. 2014

le fil d APATAKI est bien , vu les courte distance tu as peu de risque , tu as raison de prendre un cata , tj a plat , plus de gite , tu iras tj plus vite qu en mono avec plus de confort en mer et surtout au mouillage , le cata c est top , je suis parti depuis 6 ans avec le miens , France Bresil panama Tahit ou je t écris en ce moment . Bonne nav

30 déc. 2014

Ne charge pas les extrémités avant

30 déc. 2014

en mars je suis parti Malte - Tunisie avec une bonne fenetre meteo, 200 miles a faire, 24 heures plus tard on avait un avis de tempete capte sur la meteo Italienne. on est arrives juste a temps. En mediterranee prendre la meteo ne suffit pas toujours...

au vent arriere en med on a pris 2 fois environ 40 noeuds, j ai trouve que les vagues assez courtes n etaient pas dangeureuses du tout, un peu de genois sans gv, le cata reste tres tres stable, des surfs mais raisonnables.
par contre avec la mer de face au moteur des 15 noeuds de vent on tapait dans le clapot, hyper desagreable et pas terrible pour le greement. En dehors de la med on peut remonter au moteur face a des vents beaucoup plus forts.

30 déc. 2014

Et si on parlait du petit temps en monocoque de voyage!!!

30 déc. 2014

"Si tu fais du pres , c'est que tu t'es trompé de chemin " !
Antoine

30 déc. 2014

Pas tant que ca. Faut le prendre comme une philosophie. Rien de pire sur un voilier que de vouloir à tout prix atteindre le but fixé sans composer avec les éléments

30 déc. 2014

Réflexion idiote.

30 déc. 201416 juin 2020

Après 20 ans de mono croisière et régate, je suis passé au Cata croisière voici 16 ans, et je ne repasserai pas au mono, je possède mon dernier bateau avant rebut du captain.

Je dirais qu'on a, surtout au début, plus d'appréhension au port avec un cata qu'on imagine sensible au chavirage, comme le pensent les pratiquants du mono. Dès qu'on est en mer, ça change, car c'est impressionnament stable, et les 2 safrans contribuent à une bonne maîtrise du cap, l'absence de gîte et de roulis est sécurisante et déstressante. Pour l'anecdote, j'ai vu une équipière néophyte, continuer sereinement à se passer de la crème à bronzer alors que le bateau marchait à 15 noeuds avec 27 noeuds de vent, c'est seulement quand le cata est parti à plus de 20 noeuds dans un surf, avec 2 gerbes d'eau de 2 m au dessus du pont de chaque côté qui l'ont légèrement éclaboussée, qu'elle a eu l'impression que ça chauffait un peu !! Elle a rangé le tube, mais n'a pas eu peur.

Bien sûr, il faut ne pas être feignant sur la prise de ris, car la tension sur le gréement est plus forte vu l'absence de gîte. Le risque n'est pas le chavirage, mais la casse. Personnellement, je ne pense pas qu'on soit plus en sécurité au moteur qu'à la voile, qui rend le bateau plus maitrisable, et le moteur dans la grosse piaule souffre beaucoup, vaut mieux le préserver pour rentrer au mouillage ou au port. Donc garder peu de voile, ou plutôt la voile adaptée au temps, mais en garder. Et de la voile équilibrée entre GV et foc. Personnellement, je suis effaré des gens qui pensent faire de la voile en remontant au vent au moteur à sec de toile et en descendant au portant génois déroulé. 90 % des plaisanciers naviguent comme cela en Med. Je suis triste de ce spectacle afflligeant, c'est si beau un voilier à la gite, voiles bien réglée, taillant sa route, je fais des photos à chaque fois, mais je ne sors pas souvent l'appareil. Mais, surtout, je plains surtout l'équipage qui doit être balloté comme dans un machine à laver, qui doit se demander où est le plaisir, sauf quand ça s'arrête, de quoi les dégouter définitivement du bateau à voiles, sauf pour les masos.

Dans le gros temps, rien n'est plus agréable et rassurant que de sentir un bateau équilibré, puissant et réactif, seul un couple GV/ Foc peut donner ce ressenti. Après sur des plans comme le Lagoon, il y a un tel fardage que le roof est déjà la GV d'un Fantasia alors là je ne sais pas comment ça se passe, mais mes amis qui en ont ne semblent pas effrayés pour autant.

Bon, après, comme dit plus haut, la météo est suffisamment précise et les distances suffisamment courtes en Méd, pour que je n'ai jamais eu à affronter plus de 45 noeuds dans les rafales, et des vagues de quelques mètres. Ce n'est donc ici que l'avis d'un modeste "marin d'eau douce".

Enfin, avant d'acheter mon cata, j'avais lu le doc joint, écrit par un américain concepteur et amoureux des catas, ça a fini de me convaincre, mais de toutes les façons, j'y serais allé.


30 déc. 2014

Pas mieux :pouce:

30 déc. 2014

Doc intéressant, Colyande. Juste deux points discutables ou contestables :
- Le cata s'est mieux que le mono parce que si ça se retourne, ça flotte comme un radeau de survie.Alors que le mono étant lesté, ça (peut) coule(r)
OK, admettons; mais ça me ferait bien ièch de me retourner avec mon cata, quand bien même il ne sombrerait pas!
- Autre avantage énoncé, les manoeuvres sont moins dures que sur un mono de même taille.
Or il y a aujourd'hui moyen d'équiper un mono de tout ce qui faut pour être manoeuvrer par un équipage réduit.
Sur un multi, du fait de la vitesse, donc du vent apparent et de la pression sur le plan de voilure, je pense que les manoeuvres y sont tout aussi physique.
Sur mon petit cata, malgré un palan de GV sur-dimensionné et et en travaillant du chariot, faut pas être manchot dès que l'on passe les 20 nds.

30 déc. 2014

En réponse à Tribal.

Loin de moi l'idée de dénigrer les monos, amoureux de la mer j'aime tous les bateaux. Et j'admire dans les ports ou en mer quand ils veulent bien naviguer, les beaux monocoques anciens et modernes. Plus que les catas en forme de caravanes flottantes, si vous voyez ce que je veux dire...

La beauté d'un Cata est dans sa vitesse, j'ai décidé d'évoluer vers le multi, quand j'avais croisé au large de Groix un tri de 60 Pieds de course. Le sifflement de la coque qui glisse sans à coup sur l'eau et qui vous croise à 5 m, ça marque les esprits comme un TGV sous un pont.

Mais, dans ce fil, il s'agissait non pas de polémiquer mais de rassurer Tiji, en répondant à ses questions légitimes quand on vient du monocoque. tous les rêveurs de catas, se posent ces questions.

Bien sûr, mon cata, je le préfère à l'endroit, mais honnêtement, je n'ai jamais eu en mer l'impression qu'il allait se retourner. J'ai plus craint la casse dans les surventes, mais ça tient. Un chavirage est une cata...strophe en monocoque comme en multicoque, le monocoque peut se redresser pas le cata, le monocoque peut couler, pas le cata, sauf en cas de dislocation, ce qui était arrivé à l'Outremer près de l'Espagne.

La facilité de manoeuvre sur un cata, est liée à la stabilité et l'absence de gite, et non aux efforts sur les winchs, j'en conviens volontiers. Il est aussi vrai qu'on ne voit pas de Genois monstrueux, type Swann ou X du bon vieux temps sur un Cata, il a besoin de moins de toile à taille égale.

Mais naviguer debout ou assis dans un fauteuil, ne pas se préoccuper du rappel, ne pas subir l'effet pendule du roulis dans la mer, facilite considérablement la manoeuvre. Et que dire des empannages à plat, etc...

Bref, mon message est " si vous avez envie de faire du Cata ou du tri encore plus sûr, mais moins habitable, n'ayez pas peur, mais si vous préférez le monocoque, c'est très bien aussi, mais c'est différent, ni plus ni moins dangereux. Le seul problème du cata, c'est le prix de la place de port surtout l'hiver, car l'été la stabilité et le confort au mouillage fait qu'on fait qu'on n'y va rarement. Aïe, j'ai encore donné un avantage.

30 déc. 2014

On est bien en phase; je trouve juste que le doc Ricain est un poil subjectif ;-)

30 déc. 201416 juin 2020

Le 1er pdf, issu du monde Wharram, relate des situations de mauvais temps et LEUR méthode pour étaler. Je ne sais pas si c'est transposable, et des tas de théories opposées ont été postées. L'intérêt de cette fiche: c'est du vécu, et ils s'en sont sortis.
Le 2° vient de Catana.


30 déc. 201430 déc. 2014

Oops, désolé, le premier pdf correspond au lien de Tup, plus haut, nous avons les mêmes centres d'intérêt, Olivier...

30 déc. 2014

Nous sommes au moins deux a l'avoir lu. :-)

30 déc. 2014

J'ai moins de certitudes concernant les possibilités de chavirage d'un cata. Ne surtout pas croire que ca n'arrive pas. En ce qui concerne les documents plus haut, les wharrams font partie des catamarans qui me semblent parmi les plus aptes à affronter le gros temps. Ne pas oublier aussi que naviguer sous le vent d'une cote et se prendre une rafale très violente, 20 ou 30 kn de plus que le vent moyen, ca peut arriver et sur un cata ca peut se terminer mal.

30 déc. 2014

Non trois. :oups:

30 déc. 2014

Je suis sûr que des fourbes lisent mais ne commentent pas, peut-être sommes nous 5, voire même 6...
Tout le monde, ici aux Antilles dit avoir vu un cata se retourner comme une crêpe, au cap Salomon, et jamais le même. Ceci dit, je n'ai encore jamais entendu parler d'un Wharram retourné, mais bon, les grandes douleurs sont muettes... :heu:

30 déc. 2014

Hiver de je ne sais plus quelle année, première expérience de gros temps pour moi (modéré ceci-dit, de mémoire ça a du atteindre au pire 40 noeuds établis), et première expérience de cata habitable également. A l'époque j'apprenais, en Bretagne et en monocoque.
C'était un convoyage d'un Nautitech 44 neuf au départ de la Rochelle et à destination de la Grèce, j'embarquais comme équipier.

Nous sommes partis par une météo incertaine, 24h plus tard c'était franchement désagréable en plein milieu du Gascogne. Nous faisions route vent 3/4 arrière. La porte de baie vitrée s'est vite fatiguée pour ne plus tenir qu'avec un bricolage, aucun de nous n'osait vraiment aller au poste de barre, situé en hauteur, avec pas grand chose ni pour s'y tenir ni pour s'y caler (ben oui c'est fait pour être utilisé à plat et ça n'était plus trop le cas).
Le second (très expérimenté) et moi même n'étions pas convaincus par le choix du capitaine de laisser la GV au ris 3. Le bateau filait vite, et par 2 fois le second et moi avons clairement senti que la coque au vent ne touchait plus l'eau (je ne parle pas du fait qu'elle ne portait plus, je crois qu'on dit "soulager", mais bien du fait qu'elle ne touchait plus). Le capitaine dormait dans la coque sous le vent à ce moment là, donc il n'a pas été convaincu par nos dires.

J'ai eu la plus grande peur de ma vie, vraiment.
Depuis, j'ai connu plus gros temps en monocoque, (y compris en approchant les barres de flèche de l'eau), et j'étais bien plus serein.

Pour relativiser tout ça :
- c'était ma première expérience de gros temps, c'est forcément une des plus terrifiantes
- première expérience de cata également
- le capitaine n'a, avec le recul, probablement pas réduit comme il aurait dû

Et, n'y connaissant pas encore grand chose en cata, je me dis que j'ai tout à apprendre. Je viens tout juste d'acheter un DL, aujourd'hui convaincu par les avantages théoriques dans le gros temps, alors que cette idée m'aurait fait frémir il y a encore peu.

Quoi qu'il en soit, le cata semble être le meilleur choix pour un bateau de voyage (hors expéditions et cie, et budget mis à part).

30 déc. 2014

Pour avoir subi une bonne dérouillée sur un cata d'un copain pendant plus de 10h, je trouve que le cata ne laisse pas beaucoup le droit à l'erreur dans une mer formée , perso je me sens plus à l'aise sur mon mono. Mais c'est peut être une fausse idée

30 déc. 2014

ce sujet toujours intéressant peut néanmoins s'enrichir des fils du passé, parfois récent
www.hisse-et-oh.com[...]-multis
www.hisse-et-oh.com[...]chavire
www.hisse-et-oh.com[...]du-nord
www.hisse-et-oh.com[...]-squall

etc !

:heu:

30 déc. 2014

amusant de voir tj que les idées sur les catas sont , ça se retourne , ça léve une coque etc .. pendant se temps la , les catas tournent autour du monde pour le plus grand plaisir des proprios qui gloussent de voir les monos avec pas de confort en mer .....fait une transat en mono et en cata vous verez comment vous arrivez de l autre coté ....

30 déc. 2014

Moi qui ait découvert le cata très récemment, j'ai apprécié de pourvoir remplir mon verre à pied sans faux-col en navigation ;-)

30 déc. 2014

Mais chut !!
laissez les proprios de mono vivrent "en pente" , rouler en nav et au mouillage ( ça m'amuse toujours sur les blogs la mention : ce mouillage etait rouleur )
laisser les etre ravis d'atteindre 8 N en Vmax
D'ancrer bien au large car leur tirant d'eau ne leur permets pas d'approcher
et enfin de circuler dans leur toute petite annexe qu'ils ne savent jamais ou stocker
sinon quand il n'y aura plus que des catas , on aura encore moins de places dans les ports

30 déc. 2014

on vient de passer un an en méditerranée avec un cata (construit sur une base mono) et autant dire... qu'on s'est fait secoué ! Par une météo en autre pas fiable du tout, ils annoncent quelque chose, c'est le contraire, ou alors ça change d'un seul coup. Pour ça la méditerranée est peu fiable, j'en aurai peur de prévoir sur plusieurs jours..

c'est "drôle" c'est idées sur les catas, d'accord il y en a moins que des monos mais rares sont les accidents de catas quand même, ne pas confondre cata de course et cata habitable.

Ok le cata c'est stable mais ça aussi des inconvénients notamment pour prendre le vent.

Comme d'autres on s'est déjà posé la question "en cas de tempête", bah en cas de tempête je ne me pose pas la question, je rentre la tête dans mon cas, je ferme tout c'est étanche et j'attends que la machine à laver est fini son programme essorage, après on verra.

Trève de plaisanterie c'est un sujet intéressant, le gros temps en cata. Ce n'est pas une tempête c'est bien moindre, mais pour avoir surfer au lieu de série de déferlantes de 4m (par notre faute, erreur humaine comme souvent lors des accidents malheureusement), je dirai que le cata il lui en faut pour se retourner quand même.
Après ce n'est peut être pas vrai pour tous les catas, le notre a une faible largeur (4.5m)

31 déc. 2014

Bonjour,
Juste une question pour ma culture personnelle, c'est quoi "un cata sur base mono" ?

31 déc. 2014

deux monos accouplés? qui donneront naissance qq lunes plus tard à une petite annexe ?

30 déc. 2014

"laissez les proprios de mono vivrent "en pente" , rouler en nav et au mouillage"

on s'est fait la remarque ici à Roses parce que nous avons eu pas mal de vent hier dans la nuit et que notre voisin de ponton dormait bien "en pente" comme tu dis, alors que nous on ne bougeait pas... et là je me suis dit "qu'est ce que je l'aime mon cata", ok le cata ca peut avec des inconvénient mais qu'est ce que c'est sympa de pas avoir de gîte entre autre chose

30 déc. 201430 déc. 2014

"rares sont les accidents de catas quand même,... "
Désolé de te contre dire mais compte tenu du faible pourcentage de multicoque qui naviguent, les accidents sont au contraire nombreux (en pourcentage)
86,0% des accidents concernent des monocoques
14,0% des accidents concernent des multicoques
Tu trouveras tous les éléments sur mon blog: karibario.blogspot.com

31 déc. 2014

14% des multicoques , mais tu ne précises pas si c'est en course, en location ou en croisière. Je n'ai pas les stats en tête, mais pour ce que je connais, la location avec skipper non expérimenté en multi, ça doit augmenté les stats.
Et dans tes 14%, c'est quoi comme type d'accidents.

31 déc. 2014

Effectivement Alex, je ne sais pas s'il s'agit de location. Mais, de mémoire, il s'agit d'accidents en croisière. Je n'en ai pas enregistré en 2014.
On peut donc écrire 100 % des accidents concernent des monocoques. :-) et donne du crédit à ceux qui pensent, à juste titre, que l'on peut faire dire ce que l'on veut aux chiffres.

30 déc. 2014

Euh... vous oublieriez pas un truc là?
Ceux qui naviguent à plat sont ceux qui en ont les moyens!

30 déc. 2014

Pour ma part c est le contraire

31 déc. 2014

Pour ma part c est aussi le contraire.

30 déc. 2014

Mon cata , 120 000 € complet , et je navigue dessus depuis 6 ans autour du monde ....

30 déc. 2014

c'est amusant de lire les interventions de ceux qui naviguent en cata, on a l'impression d'être face à des fidèles prosélytes qui veulent convertir les mécréants ! ^^
mais ça c'est seulement quand il ya des discussions cata/mono, sinon en général ceux qui ont bourlingué savent que sur un cata quand ça secoue ça secoue très sèchement, la plupart du temps de manière bien plus désagréable que sur un mono, que ça soit en nav ou au mouillage.
c'est vrai, un multicoque ça roule pas ... mais quand ça tangue faut s'accrocher, et quand ça secoue, le verre sur la table du cockpit il ne glisse pas, non, il saute !
un multicoque ça va vite, c'est vrai pour beaucoup, mais la différence avec les monocoques se réduit quand les conditions sont très mauvaises ... pis quand il faut faire du cap des multis y en a moins qui font les fanfarons !
et puis aussi, quand ça devient dur dur dur, contrairement à ce que dit "nous1704", sur un monocoque tu t'enfermes et t'attends que ça se passe, oui ok parce que si tu te fais coucher tu te redresseras, sur un multi s'enfermer et faire le dos rond c'est un peu plus risqué !
tout ça pour dire qu'après avoir eu 2 monocoques et avoir juste goûté au cata ... je vais ptêt m'acheter un tri ! :mdr:

30 déc. 2014

Aux Antilles , la nav est entre les iles soit au près ou au bon plein , mais c est court les navs et a 9/10 nds c est rapide

30 déc. 2014

tu m'expliqueras comment ton pote a fait une fois arrivé aux antilles, pour être tout le temps au portant entre les iles ;-)

31 déc. 2014

Tout le monde sait que les Prout ne remontent pas au vent

31 déc. 2014

Je cite:
"tu t'enfermes et t'attends que ça se passe, oui ok parce que si tu te fais coucher tu te redresseras, sur un multi s'enfermer et faire le dos rond c'est un peu plus risqué ! "
J'ai croisé sur une traversée il y a 30 ans, un quillard sur le dos.
Ça arrive quand même.
Je n'ai pas encore navigué avec mon cata, mais il est certain que je ne m'enfermerai pas pour attendre que ça se passe, quoique, certains l'ont fait et, avec de l'eau à courir, ça parait jouable.
D'ailleurs quand Woods a abandonné son Eclipse, il a été retrouvé à l'endroit...

31 déc. 2014

c'est une évidence mais tous les multicoques ne se ressemblent pas, il y a autant de différence entre monocoque et catamaran qu'entre catamaran et trimaran.
De plus le type monocoque est loin d'être monolithique, de même que catamaran.

30 déc. 2014

Dire que le cata n'a pas de tangage est idiot, et la stabilité n'a rien a voir avec pas bouger!! Je connais des mouillages ou même en cata c'est invivable(certes moins qu'en mono).
Effectivement faire le dos rond en cat est plus risqué voir suicidaire.
Pour la proportion dans les accidents des catas, il faudrait relativiser avec le pourcentage de multi qui navigue par rapport au mono qui navigue effectivement car proportionnellement, au niveau mondial, les catas naviguent plus.

30 déc. 2014

Par définition, plus un navire est stable, plus il va rouler de manière rapide, ample et désagréable pour l'équipage... Le pire étant quand la fréquence des vagues est égale à la fréquence propre du navire. Là, tu passes en roulis paramétrique et c'est carrément la merde. Conséquence, la plupart des navires de croisière sont "instables" (on dit aussi "volages"), par nécessité de confort à bord.
Un peu paradoxal, je sais, mais la stabilité a beaucoup à voir avec le fait de bouger ou non, et pas dans le sens "logique"

30 déc. 2014

Je peux pas vraiment dire que ce fut long... Mais ce n'était qu'une remarque générale de ma part.
Un mono ne peut compter que sur son lest pour rester d'aplomb, d'où un centre de gravité très bas et une stabilité excessive qui entraîne un roulis et un tangage assez rapides.
Un catamaran repose sur sa stabilité de carène, donc pas de lest, un centre de gravité très "haut", et un navire qui ne pourra pas porter autant de toile qu'un mono (question de sécurité...) mais qui sera en revanche très confortable en mer car roulant et tanguant plus lentement qu'un mono, et avec moins d'amplitude.
Donc oui, je comprends que beaucoup trouvent les catas plus confortables (ils le sont de par ce centre de gravité assez haut).

30 déc. 2014

qui a fait de long voyage en cata sur les intervenants ??

30 déc. 2014

bonsoir,
je prend le train en marche. je rentre juste d'une deuxième transat (la première en lagon 400, la deuxième en lipari 41). ben suis peut être un trouillard mais çà fait la deuxième fois que j'ai mal dormi.... jusqu'à 25 nds (apparents) çà va, mais après franchement je trouve çà moyen, je me dis que si çà part en sucette, çà va pas le faire,genre pilote qui cabane et bateau en travers, grain plus (trop) fort que la normale etc...
je crois que je m'y ferai jamais. pour du cabotage au soleil (déjà fait) c'est génial, par contre pour aller au milieu de nul part, je prefere le mono. on ne me refera pas !

30 déc. 2014

Si tu avais en transat 25 nds apparent , tu avais dans les 35 nds réel alors ?? rare sur toute une transat !!

30 déc. 2014

entre 25 et 35 (rafales) pendant une petite semaine. l'année dernière pareil. çà use !

30 déc. 2014

@tdm 12000 M.

30 déc. 2014

"bleuoizo

Euh... vous oublieriez pas un truc là?
Ceux qui naviguent à plat sont ceux qui en ont les moyens!"

Heuuuu non ! Notre cata entièrement équipé 50 000 payé, départ pour tdm il y a 1 an et aucun fond d'avance, on a du s'arreter 3 mois pour renflouer la caisse, c'est pas une question de moyens ahah

le coté secoué en cata alors là je confirme ! quand ca se secoue c'est une vrai machine à laver... hors mis que cette sensation je ne l'ai eu que en méditerrannée, en atlantique même avec 4m on est pas autant secoué. on oublie pas les inconvénients des catas côté vent, au près pour avancer (en tous cas pour nous) on peut toujours courir !

prochaine étape de l'année la transat et cata ou pas, avec 3 bambins à bord on se pose des questions surtout quand tout le monde se fait secouer en ce moment

m'enfin toutes ces comparaisons ne sont pas à mal, on dit que les gouts et les couleurs ne se discutent pas, simplement nous faisons nos choix par rapport à ce qu'on pense être le mieux pour nous-même, ce n'est parce que nous par exemple propriétaire d'un cata trouvons cela mieux pour nous ou que d'autres proprio d'un mono trouve cela mieux pour eux, est une critique pour l'autre, ce sont juste des avis personnels, faut pas prendre la mouche

31 déc. 2014

Merci de toutes ces réponses cela était tres instructif .

Quelqu'un a essayé ou navigue avec un catana bali ?

31 déc. 2014

@tiji , moi je parlais catamaran , pas bassine a 2 coques
le bali est correct pour un tour de mêd ,ou les canaux aux Antilles avec comme sur les Lagoon le moteur sous le vent en marche , mais pour un TDM la non .
Une hérésie l avant de ce trawler a voile

31 déc. 2014

je ne sais plus quel architecte disait que pour apprecier d'un coup d'oeil le potentiel d'un cata , il suffisait de regarder la taille du trampoline a l'avant .
Alors la pour le coup , le bali est hors course !

Un cata est tres sensible au tangage et quand on voit les masses d'eau dans le mauvais temps qui passent sous et sur le trampoline , la je me ferais du souci .

En ce qui concerne le risque de chavirage , c'est toujours possible : j'ai en memoire celui du Bahia 43 au large du Maroc Med , ça m'a tres touché car je connaisais le proprio, idem il y a 20 ans pour le catana retourné au large de Porquerolles ( j'avais hesité a acheter l'epave mais je suis trop supersticieux )

Le pire est toujours possible , a nous d'essayer de l'eviter
A l'heure actuelle , avec la precision des gribs , meme en Med ( voir le site de Lamma it ) et avec du temps devant soit, on peux eviter beaucoup

Antoine , sur les mers depuis 40 ans , et depuis +- 20 ans avec un cata tres lourd n'a jamais affronté des vents tres fort : il navigue intelligement , il cite d'ailleurs comme les 2 avancées majeures pour la plaisance le GPS et les Gribs

31 déc. 2014

et puis ça s'est aussi vu des monocoques perdre leur quille (bon surtout pour les courses) ou la liaison coque-pont s'ouvrir ou une vanne ouverte à la gite. Et puis pour ce qu'ils ont en commun, les passe-coques et panneaux qui explosent ...

31 déc. 2014

Et parfois aussi des amis se chargent de transferrer le bateau, parfois dans des conditions difficiles, pendant qu'Antoine parcourt le Monde, car il faut tout de mème assurer des rentrées.

31 déc. 201416 juin 2020

Dés que ce genre de fils démarre on retrouve :

  • des pro-monos pour qui le cata est dangereux dés force 5
  • des pro-multi pour qui rien ne peut arriver . Je pense que la vérité se situe entre les deux. (pas trop dure à trouver, je sais). . Le gros problème des multicoques est qu'ils ne supportent pas la médiocrité. Pour vivre en sécurité sur un multicoque, il faut un équipage qui ait quelques connaissances (on peut très bien apprendre sur son propre multi, en commençant sur des navigations pas temps moyen), il faut également et c'est peut être là le plus important, un bon multicoque. Quand je dis bon multicoque, je ne dis pas forcément un cata rapide, mais un catamaran marin. Quelques exemples de multicoques sécurisant pour la croisière :
  • outremer
  • fountaine pajot première génération et deuxième
  • catana première génération et deuxième
  • Prout (quest, snowgoose...)
  • Heavenly twins
  • Plan Lerouge
  • Plan Wood
  • Plan Riviére
  • Plan Kelsall
  • Plan Wharam ....

En ce qui concerne les mouvements, les bruits ... quand ça bastonne dure dehors, oui, çà tape et ça couine, mais certains plus que d'autres, car encore une fois le choix du bateau est primordiale, mais également son chargement (la quantité et son centrage).
.
Pour conclure, du gros temps sur un multicoque moyen ça peu devenir l'enfer, sur un multicoque conçu pour, ça se gère, et cela sera moins long qu'avec un mono. Et comme tout bateau, plus que la mer, c'est la côte qu'il faut craindre.

31 déc. 2014

Bjr Tangnard,
Où ranges-tu le Dazcat 1195?

31 déc. 2014

Zut j'ai oublié les plan Newton dans les bons multis.
Dazcat1195 est un multisure à mon avis.

31 déc. 2014

Dois je préciser que j'approuve la totalité de ce qu'à écrit Alex...
En précisant toutefois que le sens marin doit être plus fin sur un catamaran et qu'on ne peut comparer un cata lourd et un médium ou léger.

31 déc. 2014

Tdm quant les quatamaran sont sortie il y a peut d'année aujourd'hui! les utilisateur de mono aluciner et se moqué des cata, j'ai eu la meme sensation que toi quant j'ai vue le Bali ,Mais je demande a voire se sont quant meme des constructeur de catana c'est pas des amateur. Sur le salon de paris j'ai regardé le bateaux en détails il y a des détails qui me laisse penser que je vais reservé mon opinions apres avoir ecouté des utilisateurs
Mais ravis d'avoir ton sentiment qui etait proche du miens
J'attend si il y ades utilisateurs

31 déc. 2014

Tidj, les d'archi travaillent pour les chantiers qui travaillent pour les clients et très rarement dans l'autre sens.
Parole d'archi(le plus grand par le nombre de bateaux fabriqués), le client(final) ne veut pas sortir des sentiers battus(c'est pourquoi les nouveautés en course finissent à la plaisance et jamais dans l'autre sens).

31 déc. 2014

C'est vrai pour les plus gros chantiers, mais quelques chantiers sortent des sentiers battus, comme le TS42, les trimaran neel par exemple.
Comme dans tout commerce, il faut faire le choix entre faire de la quantité ou de la qualité. Si l'on veut vendre beaucoup, il faut s'adapter à un maximum de possibilité. Si l'on veut pouvoir vendre un produit spécifique, il ne faut pas compter en vendre beaucoup, mais viser la qualité au maximum.

31 déc. 2014

Bonjour à tous, une question pour ce qui on connu le mono et sont passé au cata. Dans du gros temps mais vraiment du gros comme j'ai vécu avec mon Fast 38 , la tempête, de 2OO3 Ralliant Fornel / port Camargue de nuit au moteur ( connerie, imprudence cela va de soit ) de nuit sans lune remontant la mer, serais je passé avec un cata de croisière, sachant que les petite déferlantes et la hauteur de certaine vagues dont je ne sais dire la hauteur mon terriblement malmené à me dire que nous allions mourir en mer. André

31 déc. 2014

Si tu remontais au vent au moteur avec un monocoque de 38 pieds, tu l'aurais fais à la voilie avec un catamaran de 38 pieds de croisière bien conçu. Un Hélios 38 par exemple et ce n'est pas Tangnard qui me démentira. ;-)

31 déc. 2014

Capten. Je sais ce que vaut un 38 pieds au moteur, je sais ce que vaut un catamaran de même taille.
Si tu parles de "vagues phénoménales, des trous sans fond et des déferlantes" , je t'indique donc que le meilleur moteur qui soit sur un voilier ne te permettra pas d'avancer dans ces conditions.
Si tu parlais marin en nous indiquant, qu'il y avait 40 nds de telle direction et des vagues de X m, cela serait plus informatif.

31 déc. 2014

Et bien tu as un sacré moteur et une hélice qui va bien... :-) Jamais je n'ai navigué sur un voilier capable de le faire avec de la vraie mer, même un Amphitrite avec un 60 cv.

31 déc. 201431 déc. 2014

je connais rien en cata , mais remonter une mer en tempête face au vent ou au prés, je voudrais bien voir cela, avec des vagues phénoménales, des trous sans fond et des déferlantes, si j'avais eu un bateau de série pas sur que je sois ici, et pour remonter cette mer je crois que c'est plus à mon montage tracteur avec le bourin

31 déc. 2014

viking35, face au vent 45 a 5O nds Nord / nord /E rafale 55, je remontais face au vent toute la nuit et je l'ai remonté cette mer déchainée, ma cabine avant a travaillé et heureusement que j'ai un bateau solide, après je te laisse libre de ne pas croire que je suis rentré par conditions, je n'ai rien approuvé. André

31 déc. 2014

Tu dois avoir raison , mais le president de catana, a du faire un prototype et le sortir par force 7 pour le tester non.?

15 fév. 2016

Tiji: Il a tellement bien testé son Catana 38 qu'il a chaviré entre Syt Raphaell et Ste Maxime...Je considère que les Catana sont d'excellents voiliers, pourtant j'en connais deux autres qui ont chaviré sur ancre flottante (44 et 57 pieds). Conclusion: l'ancre flottante est à proscrire

31 déc. 2014

Ensuite force 10

31 déc. 2014

ESSAIS PAR FORCE 10 ? mais pendant combien de temps, car toutes les heures qui passent font bien souffrir le bateau

31 déc. 2014

"cata sur base mono", l’architecte qui l'a pensé s'est inspiré de ses plans monos, il fait 14m en longueur mais 4m en largeur. Les cata qui n'ont en général ni pataras ni bastaques, le notre en a. Il a été construit de faible largeur pour être auto-dressant, le mât lui a été rempli de mousse justement pour qu'en cas de retournement il puisse se remettre dans le bon sens.

quand je dis que pour ma part je reste dedans j'attends que ça passe, oui en effet, mais notre bateau a été conçu ainsi, nous avons par exemple derrière le carré, une deuxième barre de secours, bateau qui peut être dirigé depuis l'intérieur d'une part, d'autre part qui est totalement étanche reconnu à la mise en circulation. mais cela concerne le notre évidemment

le constructeur a pris avec le notre l'ouragan hugo en 89, classé catégorie 4, le mât n'a d'ailleurs pas céder, sont sont les câbles de la barre qui ont lâchés avant, seul dégât a déplorer sur celui-ci

31 déc. 2014

Bonjour tu es sur qu'il est auto redressant ? Je me souviens que les "iroquois" avaient des soucoupes en tête de mat pour éviter qu'ils dépassent 90 degrés ce qui serait déja pas mal. ensuite il faudrait mettre travers au vent et aux vagues pour qu'il se redresse.

Un mat étanche c'est déjà pas mal.

31 déc. 2014

Je suis resté à coté pendant une dizaine d'heures et bien que les vagues fassent dans les 7 m (mesurées par le houlographe de chassiron, devaient faire pareil au large), il ne s'est pas remis à l'endroit. Le mat pliait, mais ne rompait pas. . Par contre, plus facile à évacuer qu'un cata à l'envers, encore que je n'en ai pas l'expérience. Quand on voit la taille de la soucoupe, elle doit aussi influer dans le mauvais sens sur le couple de chavirage.

j'ai eu un Iroquois et j'avais gardé la soucoupe.
Je n'ai jamais chaviré mais j'ai vu plusieurs fois comment il fallait faire pour y arriver (à chavirer) un peu plus de vent un peu plus de mer ....
MAis j'ai vu des photos d'Iroquois chavirés :
avec la soucoupe inclinaison environ 100°, un zodiac peut le redresser ou même une grosse vague (au moins un cas)
et il flotte très haut, les hublots ne sont pas dans l'eau;

Sans la soucoupe, la cabine et le cockpit sont dans l'eau ...

31 déc. 2014

oui oui je suis sure, à la construction il a été coulé dans le port de Noirmoutier, du moins essayé, ils n'ont jamais réussi à le maintenir dans l'autre à l'envers. Ensuite il y a un systeme de sécurité de transfère d'eau d'une coque à l'autre s'il ne se remettait pas tout seul

31 déc. 2014

le roof doit être assez important pour qu'il reste instable mais sans le gréement. et c'est pas évident de tenter la même chose avec le gréement.
intéressant comme concept.
ça prouve qu'il y a des archis qui ont sérieusement creusé le question. en plus c'est un cata alu, assez lourd et sur.
j'ai fait marseille Alexandrie en hiiver en 77 avec un cat fisher 28, assez mauvais bateau, très mal dessiné par un archi incompétent en catas.
j'ai serré les fesses plusieurs fois mais c'était surement plus un sentiment d’insécurité, jamais guéri ni oublié. comme avoir peur en avion par exemple.

31 déc. 2014

Il y a eu aussi le Misty Miller, catamaran à quille, sensé être aussi autoredressable...

31 déc. 2014

Je pense que dans un cata, la sécurité dépend beaucoup plus de l'équipage et de sa compétence, là où un monocoque accepte plus facilement les erreurs.

31 déc. 2014

Il n'est pas dit qu'on fasse mieux avec deux qu'avec une... ^^
Au fait, tu traiterais pas les équipages de monos d'incompétents par hasard? :heu: :mdr:

31 déc. 201431 déc. 2014

Pour viking

Eté 2003 départ les Baléare IBIZA , départ de nuit force 9 établi vent ¾ arrière.
Vacance agréable pendant 3 semaines

Départ arrive ,prévision météo AVIS DE TEMPETE EN MED, base de retour, FORNEL MINORQUE.

1er jour pas de vent ,partons a 40 milles au large pécher le petit thon , retour à FORNEL vers 20heure .

2 eme jour idem pas de vent, soleil

3eme jour tel à l’employeur pour prévenir du retard ( grogne de celui-ci)toujours avis de tempête, repartons pécher plus loin 50 milles ,toujours pas de vent, consultation de l’équipage pour rentré, un oui un non, je tranche on rentre et rajoute font chier la météo pas fiable, donc en route.
Tranquillos 5 nœuds la vie est belle ,mer plate, pas de voile établies(pas de vent).Environ 22heures petite risée voile dehors , vive le vent, mais le vent monte ,monte ,monte j’ai compris, 15, 20, 30, 35, 40, 45, 50, 55, rafale 60 nœud sommes en tempête, mauvaise manœuvre, grande voile sur enrouleur explosé impossible de la rentré déchirée en plusieurs endroits bruit intenable. équipement complet, gilet de sauvetage, la nuit arrive des vagues monstrueuses j’ai vue par force 9 en haute mer, mais la monstrueuse, le cœur bat vite ,suis pas un pro, les vagues passent par-dessus le pont, une rivière, deuxième harnais, ces cochonnes me tire vers l’arrière pour me faire culbuter, la nuit est très noire, le bateau passe les vagues retombe dans un fraca épouvantable, la peur s’estompe,
Le loch passe de 6 nœuds à zéro mais on avance.je sollicite mon équipier pour qu’il prépare dans deux contenairs étanche ce que je lui dicte, sais jamais faut prévoir l’abandon du navire, je navigue tous droit sans chercher à venir prés des côtes d’ailleurs le cap pas d’importance à se stade , attendre le levé du jour, rester sur l’eau, je me rassure le bateau est solide, je crois savoir navigué par gros temps, alors pas de blême, mais voila après vient le doute, comme l’envie de pisser, aller comme les enfants dans le pantalon ,pas question de laisser la barre à des novices, et puis le temps passe finalement vite, le jour commence à venir, la jauge elle à descendre , vraiment basse , merde je vais pas manquer de carburant, la mer est moins creuse, plus de déferlante, un coup de pilote je regarde les équipiers dans le carré, la tête de mon cops les yeux en orbite, il me regarde ,je le rassure, je reprend le barre, sur bâbord me semble la terre, oui et je hurle, terre, terre, tous le monde sur le pont, la joie de la voir cette terre,
Encore force 6/7 le bateau passe mieux les vagues, je laisse la barre, au cops direction chiot, pas le temps, des bruits sourds, j’analyse, mon sang se glace,
Je sort, l'ancre n'y est plus, je hurle des ordres moteur au ralenti je vais à l’étrave, catastrophe elle laboure l’étrave je la remonte, quel massacre, le temps diminue
Le cap en vue, soudain sa gueule ! On coule, on coule, les ordres fusent, la pompe de cale en fonctionnement, la cale se vide, mais l’eau remonte vite fait ,la pompe de cale suffit plus, bidouillage avec la pompe d’eau douce, doucement le niveau descend, un qui surveille, et nous mettons le zodiac à l’eau inspecter l’étrave, sous la ligne de flottaison une balafre de 15 cm de long et 3 cm de large, voila la voie d’eau, préparation de sacs plastiques, et rubson , dangereux de mettre les sacs avec les doigts, je vide la cartouche de rubson en deux fois dans le creux de la main, et quant la balafre sort de l’eau, je rentre le joint,
Excellent, juste un petit suintement. J’appelle la capitainerie de port Camargue pour prévoir un lift de toute urgence quand je rentre, mais voila la jauge indique 0, je sais qu’il reste normalement une dizaine de litres, l‘ai étalonné il y a bien longtemps, réduire la vitesse pour économiser, et enfin arrivé, le bateau est levé,
Que de dégâts.

Résultat une voile déchirée, un étrave percée, une fixation arrière du moteur cassé,
Mon cops lui m’a dit je ferais plus de bateau
J’ai dit à ma femme finit je traverse plus

Et bien l’année suivante tous l’équipage aux Baléares, A la passion

Euuuuuuuuuu maintenant je fait gaffe à la météo

02 jan. 2015

@Capten
Tu pars avec un F9 établi, toi? Et de nuit?
C'est quoi ton métier, cascadeur?
:non:

02 jan. 2015

Je suis déjà parti avec du 9 établi de nuit pour faire porto vecchio, olbia de nuit sur un bateau de loc que je ne connaissais pas et un équipage que je connaissais a peine. Il faut arrêter, pour faire de la voile il faut du vent.
Et du 9 au portant avec un peu de longueur de coque ça se passe très bien, c'est même là que c'est le mieux :p.

31 déc. 201431 déc. 2014

Merci pour ce récit. Mais il est évident que j'aurais géré cette traversée très différemment...

Si je comprends bien, tu as effectué une centaine de milles par 50 nds et rafales à 60 mollissant à 6/7 face au vent! Sans compter la mise à l'eau de l'annexe pour réparer la coque dans ses conditions. Il faut vraiment être maso.

Je note: (grande voile sur enrouleur explosé"? C'est bien là l'un des problème d'une GV sur enrouleur...

J'aurais aussi aimé connaitre la puissance du moteur...

Bon réveillon et à l'année prochaine.

31 déc. 2014

oui tu as raison si cela devait se reproduire je gérerais différemment c'est sur. être maso, non , mauvaise décision, nous aurions du faire demi tour et se mettre à l'abri derrière les Iles, quand à mettre l'annexe à l'eau par 6/7 aucun problème juste savoir gérer, la voile c'est de ma faute, pour le moteur je voulais un bateau tracteur qui puisse me rentrer en tout vent raisonnable, cause employeur et équipage tous dans la même entreprise. quand j'ai fait ce montage, tous les pros mon dit non , vous allez fatiguer le moteur et glacer les cylindre, chose qui est vrais. Moteur 4108 avec échangeur, ratio de l'inverseur inadapté, hélice de diamètre 42 à fleur de la surface, impressionnant la cavitation en marche arrière mais combien efficace, mes voisins de ponton peuvent le dire, le moteur monte à peine à 2OOO tours à fond, en général je marche à 5/6 nds à environ 1500 tours, en 23 Ans cela va faire la quatrième fois que je le refait, mais cette fois ci chemises et piston neuf , voilà le descriptif . André

31 déc. 201431 déc. 2014

trouvé sur la recherche. forums > Forums techniques > le catamaran est-il adapté à la med ?.

Missing

professeur

le catamaran est-il adapté à la med ?.

Le week-end dernier "l'accroche coeur" un catamaran de 13 metres s'est retourné au passage du cap creus vers 23 h, par 45 nds de vent. 4 morts. Il avait participé à la "route du sel" course de voiliers amateurs entre ibiza et barcelone. L'équipage était connu pour une grande maîtrise de ce genre de course et de bateau. Pour l'instant personne ne sait vraiment ce qui s'est passé. En moins de 2 ans c'est le 2ème accident impliquant des catamarans, dans nos parages. Cela me fait réviser pas mal de choses !

31 déc. 2014

je pense que l'on ne joue pas dans la mêmes catégorie .
moi je parle de catamaran de croisière, pas de course sur toilé
avec la gagne dans la tète moi je parle comment passé avec le maximum de sécurité un gros coup de vent qui n'aurais pas était prévisible
et le sujet était pourquoi ne pas continuer avec les moteur ?
plus cool dans l'idée non :-)

31 déc. 2014

Pour l'OUTREMER 45 « Accroch’cœur » , on sait très bien ce qui s'est passé et il était en mode convoyage.

17 avril 2006 : Chavirage - 4 disparus, 2 rescapés - Cap Creus - vent 40 à 55 noeuds - OUTREMER 45 « Accroch’cœur », - 13,5 m - (Pas d’usage du canot de survie)

31 déc. 201431 déc. 2014

Grosse erreur de vouloir faire route avec les conditions qu il avait , pourquoi dérive baissé sur la photo d une coque retrouvé .
Je léve mes dérives dans le mauvais temps ,Tropicat est un vrai cata , dérives , plage avant dégagé par un filet a maille pas trop serré , poids centré au pied de mat ,mouillage , gas oil ,batteries . carène étudiée ..

01 jan. 2015

Convoyage peut être mais sportif pour accroch'coeur, avec une grossière erreur, la dérive au vent baisse dans une mer trés mauvaise (le cap creuz). Toujours facile de critiquer après.
.
Pour avoir connu du très gros temps en outremer 55, je peux confirmer que ce sont des bateaux marins.

01 jan. 2015

pour info, rapport suite accident "accroche coeur"
www.beamer-france.org[...]118.pdf

01 jan. 2015

je suis votre fil avec attention , très instructif

01 jan. 2015

Matelot Ou est la réalité?
Dans le même post, tu écrit "après avoir fait la même ''régate''et "Accroch'coeur n'était pas en "convoyage""

01 jan. 2015

c'est la METEO, et s'obstiner à vouloir être plus fort qu'elle relève de l'inconscience////. tout est dans cette phrase, plein de gens qui se sont dépassés en effectuant des exploits en étant inconscient du danger on était adulés lors de leur réussite, et celui qui s'est tué à était traité d'inconscient , voilà entre plusieurs inconscients, ces ceux qui on perdu la vie qui on étaient traité d'inconscient. le jugement peut t'être tout a fait différent d'un individu à l'autre suivant ces compétence .

02 jan. 2015

@Capten
Sur le principe du dépassement, je suis d'accord, mais cela reste théorique, et marginal.
Maintenant, otes moi un doute: où places-tu le curseur de l'inconscience, si tu sors de nuit avec un F9 établi?
Parce que moi, F9, je les ai toutes petites, et je reste dans mes pantoufles :pecheur:

02 jan. 2015

Je n"ai jamais hésité , même un instant, à rester au port, surtout pour naviguer au moteur le vent dans le nez sur 200 milles!

02 jan. 2015

9 en mono... Pourquoi pas? Après, de nuit, je dis pas... Là j'hésiterai franchement.

02 jan. 2015

J'suis jeune, con et inconscient, que veux-tu... En tous cas je l'aurais surement pas fait au moteur.

01 jan. 2015

Matelot ta vidéo si il y a bien F10 est trop près des cotes pour être représentative de la haute mer.

02 jan. 201502 jan. 2015

je suis incapable de dire la hauteur des vagues que nous avons subit par nuit bien noire, la seule chose nous avions l'impression de tomber dans un gouffre quand certaine étaient passée

02 jan. 2015

@capten, c'est sur que tu as pris du mauvais temps face au vent et qu'il aurait mieux valu faire demi tour, mais force 10 ce n'est pas pensable une seconde !
la seule maniere de savoir c'est de retrouver les archives météo. il y a des sites dont un en allemand facile à retrouver via le moteur de recherche

02 jan. 2015

Matelot, pour ma part quand je "rentre à la maison" après une course, j'effectue un "convoyage"... ;-)
Quand aux faits, il me semble que le rapport du BEA Mer est tout à fait précis. Encore faut il le lire entièrement.

02 jan. 2015

Dans ce fil on parle de catamaran et gros temps.

Cette histoire "Accroch'coeur" est intéressante.

Les catamarans sont stables jusqu'à ce qu'ils chavirent. Ensuite, à l'envers, c'est un faux sentiment de sécurité de dire qu'ils continuent de flotter.

Si l'on se trouve à l'envers par beau temps et mer chaude, pas de problème. Mais c'est rarement le cas.

Je voudrais connaître des récits de catamarans chavirés loin des côtes, dont l'équipage a pu survivre en attendant les secours.

Les monocoques chavirent aussi. Mais à moins d'une voie d'eau, en principe ils se redressent.

02 jan. 2015

@dulcinea : bien vu la formule "stables jusqu a ce qu ils chavirent".
J ai aussi la meme curiosité que toi : par mer forte, ça doit être particulièrement inconfortable de patienter sur une coque retournée, meme celle d un cata. Y a pas grand chose pour s accrocher...

02 jan. 2015

Sur le mien j'avais une sangle de vie tendue à "l'emplanture" des coques sous la nacelle sur lesquelles je pouvais crocheter mon harnais en sortant par la trappe de survie des toilettes.

02 jan. 2015

Dulcinea, des monocoques qui se redressent c'est dans la théorie, dans la pratique, vu que l'on retrouvent personnes, on peu supposer qu'ils coulent(il suffit de relire quelque fils passés=principalement le retour traversée de l’Atlantique).
Moi le seul F10 que j'ai pris c'était au mouillage et encore il faudrait vérifier(cyclone hortensias/Bayona).
Effectivement le rapport d'Accroche-cœur est intéressante à lire comme l'autre cata sur les cotes marocaines.

02 jan. 2015

Tu triches, la plupart des monocoques qui se retournent le font du fait de la perte de leur quille.
Il suffit de regarde les archives du Fastnet (1979 en particulier) pour voir la quantité de navires qui ont fait un tour sur eux même, sans démâter.

02 jan. 2015

Sous-entendu: "qui se retournent et restent retournés".
Il suffit de regarder les courbes de stabilités des voiliers pour voir que seul des modèles récents plus larges que la normale (coques planantes entre autres) sont vraiment susceptibles de rester à l'envers en cas de retournement sans perte de quille...
Et lors du Fastnet, ils n'ont pas vraiment chaviré, ils ont fait (selon les dires d'un douzaine d'équipages) un tour complet, sans s'arrêter à l'envers.

02 jan. 2015

Malevolence: " la plupart des monocoques qui se retournent le font du fait de la perte de leur quille" Il va falloir que tu révise les fondamentaux.
Aussi bien pour les soit disant nombreux monocoques qui perdent leur quille que pour les voiliers qui ont chavirés lors du Fastnet 1979 sans démâter...

02 jan. 2015

Une ligne de vie sous la plateforme? En effet.
La plateforme doit être qq cm sous l'eau. J imagine que la ligne de vie court le long des flotteurs de manière a pouvoir être accroché tout en étant assis sur le flotteur?

02 jan. 2015

le premier FAST 38 semi dériveur c'est retourné en traversant, je connaissais bien le proprio puisque semi constructeur amateur comme moi, il s'est redressé malgré ses 4'10 M malheureusement sa copine embarqué , une allemande qu'il a connu juste avant de partir est décédé noyer au bout de son harnais coincé dans la filière, et quand j'ai appris cela dans les 3/4 mois après j'ai transformé le mien en quillard

02 jan. 2015

"un "convoyage" est fait par un skipper pro rémunéré et qui embarquera les équipiers qu'il peut trouver. " C'est ta définition personnelle.

Mais ce n'est pas celle qui est employé en Manche par TOUS les équipages qui "ramènent" leur voilier après une course, y compris quand le propriétaire est à bord.

02 jan. 2015

L'idée de ce fil est le gros en temps en cata. S'il m'est arrivé d'être pris dans du mauvais temps,(en mono) il était gérable, puisque je suis encore là. Mais avant tout, il m'a pris par surprise.
Selon moi, et j'enfonce une porte ouverte, la meilleure attitude est de ne pas sortir par mauvais temps, mais là nous semblons (presque) tous d'accord.
Comme cité par certains intervenants, compétents et expérimentés, le type de cata impliqué fera la différence entre une croisière musclée et une galère. L'essentiel me semble être le bon sens, la connaissance de nos limites et de celles de notre bateau. La chance, une fois que nous aurons fait tout notre possible pour préparer notre bateau lucidement, sera peut-être le coup de pouce final, qui décidera de l'issue...
Tout est possible et les miracles existent, tel celui-ci:
www.dailymotion.com[...]le_news

02 jan. 2015

"reste à trouver la définition du convoyeur."
synonymes : accompagner, acheminer, conduire, escorter, protéger.
Il n'y a pas de notion de rémunération.

02 jan. 2015

Non, il y a aussi des passionnés qui convoient pour le plaisir contre remboursement des frais

02 jan. 2015

Dans du gros temps en fuite, ce n'est pas de moteur que tu as besoin mais de frein, donc la question comment freiner.

03 jan. 2015

Bah une ancre flottante, pardi!

03 jan. 2015

Je me souviens d'un fil où je sais plus qui avait dit qu'il fallait attacher l'ancre à l'avant sur un cata. Mais là, tu n'es plus en fuite...

03 jan. 2015

Euh, attends, j'suis perdu là!
Où que j'ai merdé? Sur le terme ou sur la position où amarrer le frein? Ou sur les deux?

03 jan. 2015

hautement décommandé sur un cata. tu peux retrouver plus haut des fils qui évoquent des accidents

03 jan. 2015

tu peux taper
drogues on a catamaran offshore
puisque tu lis l'anglais
attention "drogue" c'est pour freiner le bateau
et sea anchor pour s'y amarrarer

les anglos saxons sont plus fanas que les français de ces équipements

15 fév. 2016

Malevolence: Deux des trois Catana qui ont chavirés avaient utilisé une ancre flottante.

03 jan. 2015

mais tu peut avoir les moteurs en marche arrierre ,enfin a contre sens de la vitesse

05 jan. 2015

Si c'est du moteur que tu as besoin !!
En doub?ant les malouines avant d'atteindre Ushuaia,j'ai eu une mer formée, toujours difficile a estimer.mais je pense entre 6 et 8 m entre crête. Le vent n'était pas très violent 35 nœuds en rafales. Les surfs étaient trop rapides et l'enfournelent butoirs, diminuer de la toile n'aurait servi à rien. La solution adoptée fut pour ralentir le bateau et je vous le suggère vivement si cela vous arrive est de battre arrière dans les gros surfs, ça marche bien et freine considérablement le boat. Nous ne butions plus dans les vagues.

05 jan. 2015

Encore faut-il avoir et le/les moteurs pour et le carburant.

05 jan. 2015

@ggallo
Alors, là, je m'interroge.
Tu as "battu arrière" avec quel type de bateau?
Quel est ce nouveau type de nav où l'on doit faire arrière pour freiner un bateau, et où l'on s'insurge de l'usage de freins traditionnels?
Là on ne navigue plus à la voile, et encore, je ne sais pas si un commandant de bateau moteur tenterait cette manœuvre, qu'évidemment je n'essaierai même pas (1/hors bord et 2/ je n'y crois pas du tout)
Que ceux qui ont effectué ce genre de manoeuvre nous renseignent, svp, histoire de feire avancer la discussion. Je rappelle que le fil traite de gros temps en catamaran, ce dont je n'ai évidemment pas l'expérience...

05 jan. 2015

moteur embrayé en marche arrière , ça freine le bateau

il me semble que G Pesty sur son tri "architeuthis " a pratiqué cette méthode entre NY et la France

05 jan. 201516 juin 2020

De mémoire, c'est comme ça (au moteur, embrayé en marche arrière...) que les Swale ont passés le cap Horn avec leur cata et leurs 2 enfants dans les années 70 ...

05 jan. 2015

pourquoi pas, ça doit pas être sans risque pour le moteur, perso je mettrai plutôt des trainards mais toute suggestion est la bienvenue, surtout qd elle a été testée

J'ai un souvenir un peu différent de leur aventure : les moteurs été à l'arrêt et embrayes pour ne pas laisser tourner les hélices et sur un surf au moins un moteur à démarre tout seul entraîne par l'hélice.

03 jan. 2015
03 jan. 2015

Je ne sais pas s'il y a une vérité universelle concernant les catas (et le reste)
Les Wharrams semblent réagir d'une certaine façon, voir le lien ci-dessus, et ce sont AUSSI des catas, même s'ils sont différents. Les liens postés ne sont pas de la théorie, je me répète, mais du vécu, documenté...
Pour d'autres, j'ai cité Catana, les dites méthodes sont à proscrire. Ils ont sûrement leurs raisons, qui suis-je pour douter d'eux?
Ensuite, en situation, nous faisons des choix, et c'est ce qui fait la différence, si nous rentrons au port...
Bonne année à tous.

05 jan. 2015

Je me demande combien de possesseurs de monocoques (comme moi) cherchons à nous convaincre des désavantages du catamaran... parce que tout simplement on n'arrive pas à justifier le prix de deux beaux monocoques de 13m contre 1 catamaran de 13m alors que nous n'avons même pas encore le beau monocoque de 13m ?

J'avoue que ça fait envie...

:goodbye:

05 jan. 2015

@dulcinea, tu peux trouver des catas de 37 p, au prix d'un vieux first 30 surestimé.
@tdm, souvent aussi pétole avec de la houle!!
Il y a des b-a-ba, type la dérive au vent, penser à freiner(et donc avoir ce qu'il faut, voir le cata Enza en arrivant sur Brest) plutôt que d'accélerer, anticiper plutot qu'un mono..

06 jan. 2015

je connais cette annonce à 31 000 €. c'est un First 30 E , plan berret, qui est naturellement plus cher car plus récent que le 30 pur sucre, plan mauric.
un 30 mauric ne peut dépasser 15 000 € maximum maximorum. Il y a des catas de 37 pieds à ce prix ?

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