FECAMP-BRIGHTON

Bonjour,
je souhaite effectuer cette traversée fin juillet, pouvez vous me renseigner sur les attentions à porter au trafic, la durée probable de cette navigation, les courants......
merci par avance de vos réponses
cdt
Patt

L'équipage
08 juil. 2008
09 juil. 2008

Quelle est la taile de ton baot ?
Si je me souviens bien la traversée doit faire dans les 60 à 65 milles nautiques.

De dieppe il y a 70 milles et avec mon 35 pieds je compte selon la direction et la force du vent entre 10 et 12 heures de traversée.

pour tenir compte des courants alternatifs, Est Ouest, le mieux c'est de partir soit à la basse mer soit à la pleine mer comme cela la dérive due aux courants est quasi nulles puisque tu subiras à durée égales le courant de flot et courant de jusan.

Le rail est plus près de la côte anglaise que de la cote française, et afin de le traverser au plus vite il faut le couper le plus possible à la perpendiculaire comme l'indique les règles de routes et les instruction nautiques.

Par mauvaise visibilité, la brume de beau temp est frèquente en manche, il vaut mieux avoir un radar, ou un recepteur AIS qui t'indiqueras la position, la vitesse et la direction des cargos et autres mastodontes que tu ne manqueras pas de croiser dans le rail.

09 juil. 2008

Baie de somme - Brighton
Il y a trois ans, j'ai fait avec madame St Valéry sur Somme - Brighton. Départ à 3h00 du matin pour pouvoir sortir de la baie à marée haute (+- 2h00 de trajet) et arrivé à Brighton à 17h00.

N'ayant pas le choix, on est parti à la pleine mer. Mais sur un trajet de 12h, à mon avis, pas la peine de calculer la meilleure heure de départ.

Pour le trafic, c'est sur il y en a. Par temps de brume ou brouillard je ne ferait pas cette traversée. Par contre par visibilité correcte je n'hésite pas. Je n'ai pas de radar, ni de AIS. Lorsque que tu traverses le rail ce n'est pas toi qui change de cap pour éviter le trafic, mais bien les gros cargos. Donc le tout est d'être vu. Il faut bien entendu maintenir une veille car on ne sait jamais.

Pour le fun, nous on a croisé le même ferry 6 fois sur le trajet de l'aller.

L'entrée du port de Brighton est très facile et la marina est bien équipée.

09 juil. 2008

Courants, rail etc...
Effectivement, 68 milles entre Fécamp et Brighton.
Peu importe l'heure à laquelle on part puisque, de toute façon, tu auras un cycle complet de marée environ pendant la traversée avec courant sensiblement traversier. A moins d'être amateur fanatique de navigation de nuit,je pense que le mieux est de partir tôt le matin pour effectuer la traversée de jour.
En ce qui concerne le trafic, ce n'est pas le rail, avec zone règlementée. Donc, aucune obligation de traverser à la perpendiculaire, notamment. Ce sont les règles du RIPAM qui s'appliquent.
L'important, c'est de bien surveiller les navires et s'assurer que l'on n'est pas en route de collision (compas de relèvement). Logiquement, c'est à eux de s'écarter de ta route, mais il nous est très difficile de percevoir une modification de route de quelques degrés qu'ils estiment suffisante. Généralement, ils ont un suivi anti collision sur leur radar.
Par risque de mauvaise visibilité (je parle de "risque" et non de la brume qui te tombe dessus sans prévenir), je ne tenterais pas l'aventure.
Récemment, V&V a publié le témoignage d'une officier de la marchande qui expliquait la quasi invisibilité radar des voiliers, même avec une veille attentive.
Mais cette traversée n'est pas une aventure insurmontable. Comme toujours, la "première fois" impressionne, puis on est content que cela se soit bien passé... puis on recommence avec plaisir!!!

09 juil. 2008

Je ne suis pas d'accord
Effectuant 5 à 6 traversée par an depuis 20 ans je peux affirmer que la brume tombe sans que l'ob sy attende et sans qu'elle est été prévue par la météo, donc il vaut mieux être équipé des moyens modernes mis à notre disposition.

Par ailleurs laisser croire que les cargo et autre pétrolier ou porte contener se déroute est une vue de l'esprit et complètement en contradiction avec les règle de navigation car dans le rail se sont eux qui sont prioritaires et c'est à nous de nous écarter largement, comme dans un chenal d'accès à un port.

Certe il arrive que de temps en temps de petits cargos change de cap mais pas un pétrolier de 500 000 tonnes à qui il faut 4 kilomètres pour s'arrêter dans une manoueuvre d'urgence avec souvent de gros dommages dans la salle des machines. et cela sans compter, pour les porte contener entre autre, l'angle mort de près de 2 illes nautique dans leur vue vers l'avant. De plus nous sommes très peu visible sur leur radar malgré c'est fameux réflecteur radar que l'on nous oblige à acheter et qui sont aussi eficace qu'une poêlle à frire isséé dans la mature.(d'après plusieurs essais effectuer par des revues nautiques tant françaises qu'anglaise.) Alors vaut mieux compter en priorité sur soit et s'équiper en conséquence,
D'autant plus qu'un recepteur AIS coute entre 350 euros et 600 euros selon qu'il est racoordé à un PC ou possédant son propre écran.

09 juil. 2008

Non et non, Daniel
Ce n'est pas une zone règlementée ni un chenal d'accès à un port.
Les zones règlementées en Manche sont à l'ouest d'ZAurigny, puis dans le Pas de Calais, mais pas au niveau de Fécamp/Brighton (voir tes cartes du SHOM où elles sont indiquées en violet!). Donc c'est le RIPAM qui s'applique, mais ce n'est pas une raison pour aller se mettre sous le nez d'un porte conteneurs filant plus de 20N!
J'ai fait beaucoup plus souvent la traversée vers Salcombe, mais le problème des cargos est le même.
En cas de doute, il ne faut pas insister sur son privilège de voilier et manœuvrer assez longtemps à l'avance et clairement pour éviter toute ambigüité.
Le problème est que, souvent, nous avons l'impression que "cela ne passe pas" et que le cargo n'a pas changé sa route alors qu'à la passerelle, l'officier dispose des outils lui permettant de s'assurer que cela passe, ou bien qu'il change sa route de 2 ou 3°, suffisants, bien que non perceptibles pour nous.
En aucun cas, il ne battra en arrière, ce qui est techniquement impossible. Pour un "arrêt d'urgence", un gros navire met d'abord alternativement la barre toute d'un côté puis de l'autre afin de se ralentir avant de pouvoir battre en arrière. On ne voit d'ailleurs pas la nécessité de s'arrêter en ces circonstances, puisqu'un petit changement de cap suffit.
Quant à la brume, c'est vrai que c'est un risque fréquent en Manche, mais encore plus dans le Pas de Calais où une purée de pois intense peut tomber en quelques minutes alors que tout est parfaitement clair à 2 milles de là!
D'acord aussi sur l'angle mort à l'avant, surtout pour les porte conteneurs chargés, que j'estime également à environ 2 milles. Idem au radar.

Enfin, tous les plaisanciers ne peuvent s'acheter un récepteur AIS et encore moins connecté à un PC, problème de ressources électriques et financières.
J'ai connu l'estime et la gonio avec le SuperNavitech, puis le DECCA avant le GPS. J'ai traversé la Manche depuis près de 30 ans à bord de différents bateaux, sans jamais avoir eu de radar no d'outils très sophistiqués, aujourd'hui GPS et cartes papier, sans jamais rencontrer de risques réels et jamais la brume non prévue (sinon dans le Pas de Calais). il ne faut dons pas se faire une montagne de cette traversée, mais l'aborder avec prudence et inutile de partir à 3 heures du matin.
Si on part de Fécamp à 7h par exemple, on sera normalement dans la soirée à Brighton, donc traversée entièrement de jour, sauf si le bateau ne dépasse pas 3N!

09 juil. 2008

J'aime mieux ces précisions...
J'avoue que la brume est ma principale angoisse en navigation, non pas en ce qui concerne ma route, ma route mais parce que je sais que les radars risquent de ne pas me "voir".
Pour le mauvais temps, nous avons heureusement de bonnes prévisions dans nos mers septentrionales, sauf

en cas d'orage comme celui qui me tomba dessus aux approches de Dunkerque au mois de juillet l'an dernier, seulement annoncé à 15 par un BMS "d'application immédiate!". mais là, on sait quoi faire et on gère le mieux possible.
Je constate que, à l'AIS et au radar près, nos pratiques se rejoignent, mais lorsque la météo annonce de la brume, je ne pars pas.
Des surprises également dans les anglos, comme il y a trois ans au cours d'une escale à Aurigny : au lever, purée de pois, donc on ne part pas, mais on se prépare tout de même. A l'heure de la renverse, le temps clair revient, donc on part. Au milieu, juste en face de Port Braye, re-brume épaisse et pas assez de chevaux pour remonter le courant et rentrer. Nous avons donc descendu le Singe sans visibilité, l'angoisse du skipper!!!

09 juil. 2008

bonjour ecumeur
En évoquant la distance d'arrêt minimum pour un pétrolier, mon intention était de dire que ce genre de navire avait une énorme inertie et qu'entre le moment ou le timonier agit sur sa barre et la modification de cap effective il se passait un certain temps pour ne pas dire un temps certain avant que la modification de cap soit effective.

D'autre part, bien évidemment que l'on peut traverser la manche sans avoir la moindre électronique, je l'ai également fait à maintes reprises en corsaire et en love-love équipé seulement d'un loch à bateau de fabrication personnel d'après le guide des glénans de l'époque et que cette traversée n'est pas un exploit.

Toutefois qui navigue encore sans GPS, sauf de temps en temps pour le fun. Pourquoi se priver d'aide électronique tel que l'AIS quand on peut l'acquérir, quand à la consommation d'un récepteur AIS autonome genre NASA, elle est minime. Bien sur on peut s'en passer mais quand la brume réduit la visibilité à moins d'un 1/2 miles nautiques c'est bien rassurant de pouvoir identifier les navires que l'on croise dans le rail avec les vitesses, leur cap, 4 à 5 milles à l'avance et adopter la stratégie adéquate pour les contourner et ce d'autant plus que nous sommes très peu visible sur leur écran radar.

Traverser au plus court le rail et perpendiculairement me parait être une bonne pratique même si cela n'est pas obligatoire pour la partie du rail situer entre fécamp et brighton.

Géner le moins possible les navires de commerce qui y croise me parait être la moindre des courtoisies vis à vis d'eux étant donné que nous somme d'une part pour notre plaisir sur la mer et d'autre part infiniment plus mobile qu'eux.

09 juil. 2008

Je me suis trouver dans la même situation au même endroit
Moi aussi j'évite de partir par temps de brume.

J'ai eu la même aventure que toi a Aurigny puis une autre foi devant l'Aberwrach en panne de moteur à la nuit tombante on ne voyait plus l'avant du bateau (un love love de 6,5) et pour la première fois de ma vie j'ai compris l'expression une brume a couper au couteau tellement j'avais l'impression de la toucher. Je te raconte pas l'angoisse du moment en entandant des bruits de mobylette ou de voiture, on avait l'impression d'être au bord de la route.

Pour l'AIS je ne l'ai que depuis quelques mois et j'ai trouver cela bien pratique et rassurant, toutefois, tout comme le GPS je ne m'y fie pas complètement et continue a pratiquer en parallèle les bonnes vieilles méthodes d'autrefois comme par exemple comparer la profondeur indiquer sur la carte au point donné par le GPS corrigé des éléments liées à l'heure de marée et les données de mon sondeur, ou a proximité d'une côte repérer de visu les points remarquables indiqués sur la carte, on est toujours à la merci d'une panne de l'electronnic ou d'une de leurs abérations.

09 juil. 2008

vue de l'esprit
Daniel,

Autant lorsque je quitte Breskens dans l'embouchure de l'Escaut, dans un chenal pas très large pour les gros cargos je veille à ne pas géner le trafic et j'anticipe mes manoeuvres pour passer par l'arrière.
Autant quand je traverse la Manche à la perpendiculaire des routes de ces mêmes cargos je conserve mon cap et je m'assure qu'ils m'ont vu et adapté leur route en conséquence. Et effectivement je constate qu'ils modifient bien à l'avance de quelques degrés leur route.

Je ne parle pas ici de manoeuvre de dernière minute, ce qui laisserait supposer qu'il n'y a pas eu de veille attentive des deux cotés. Et bien entendu je ne vais "m'imposer" aux mépris des règles élémentaires de prudence.

Pour l'équipement, comment faisait-on avant l'AIS ? et avant le radar ?

09 juil. 2008

Moi aussi
Je compte traverser de Fécamp à Brighton fin juillet.
Mon plan est :
1) choisir une période sans risque de brume (ni radar, ni AIS),
2) partir au milieu de la nuit de façon à croiser les rails de jour et à arriver à Brignton l'après-midi.

Quant au courant, ce n'est pas un souci majeur, excepté à la sortie de Fécamp au flot pour éviter d'être dépalé sur le cap Fagnet .

Bonne traversée

09 juil. 2008

Attention en arrivant à Brighton
A marée basse il n'y a pas beaucoup d'eau dans les passes, serrer la digue ouest car il y a un banc de vase, à moins que depuis mon dernier passage il ai eu un dragage de fait.

09 juil. 200816 juin 2020

comme d'hab....
notre amiral a 100 % raison :-)

AMHA, le meiux est le départ à l'aube.

Et la tof à coté, ce-ti-ou ?

Indice compéltement à droite

09 juil. 2008

Chacun fait comme il l'entend
Mais personnellement je partirai avant les aubes.
68 NM à 4 Nds de moyenne = 17 heures
Arrivée visée à 20 h (heure française) =&gt départ à 3 h.

Tant mieux si ça va plus vite. Mais comme ça, je suis certain d'être arrivé pour l'apéro.

10 juil. 2008

Sur une longue traite ...
en solitaire,je privilégierais la méthode à l'anglaise ou à la hollandaise quand la vitesse tombe trop. Je m'efforce de ne pas dépasser des durées de 11 à 12 heures... sauf imprévu!

10 juil. 2008

Je précise...
SW 4B.
Donc en partant même à 6h du matin, cela fait une arrivée théorique vers 20h avec encore 2h30 de jour.

10 juil. 2008

4 noeuds ou 5 noeuds ?
voila la question clé !!!

En gros deux solutions:
1/ on fait avancer son boat à sa vitesse, on navigue à la voile pure et souvent, on dira deux fois sur trois, la moyenne est plutôt vers les 4 noeuds, et il vaut mieux partir en milieu/fin de nuit.

2/ on veut le faire en 12 heures, on n'hésite pas à mettre un p'tit coup de bouzin dès que la moyenne tombe sous les 5 noeuds, en résumé on navigue à l'anglaise. On part à l'aube pour arriver à l'heure ou les pubs démarrent leur activité restaurant, soit 18 heures.

Chacun navigue comme il veut

:pouce:

10 juil. 2008

Tout dépend de la météo....
Si elle annonce du NNW, évidemment, mieux vaut changer de destination.
Mais si c'est du SWB, les 5N seront tenus sans problème, donc 14h. Comme en juillet, il fait jour jusqu'à 22h30 et que l'on arrive tout de même sur une côte bien balisée...
Je préfère prévoir ainsi plutôt que me lever à 2h du matin. Affaire de gout personnel...

10 juil. 2008

c'est bien pourquoi la tof ...
que j'ai msi en ligne a été prise devant Fécamp, mi-mai, vers 6 heures du matin.
Arrivé Newhaven, 8 heures le soir, avec +/- 3 heures de moteur.

PS: en plus, avec un p'tit peu de moteur, la bière reste fraiche.

10 juil. 2008

L'avantage avec une traite d'une douzaine d'heures...
c'est que l'on peut faire route compas directe sur Brighton puisque les dérives dues au courant s'annulent.
Surtout ne pas suivre les conseils du dernier No de V&V qui recommande de suivre le GPS pour faire une route fond la plus droite possible. il est probable que l'auteur n'a jamais navigué dans nos mers à marées! et à courants!!!

10 juil. 2008

C'est hélas une erreur de débutant courante.
En fonction de l'heure de départ calculer la dérive résiduelle pour l'ajouter ou la retirer du cap direct surtout par fort coefficient de marée, et garder ce cap durant toute la traversée, ainsi on peut facilement faire entre 2 et 5 miles de moins que si on fait cette erreur de suivre aveuglément le cap indiqué par le GPS. Ca n'a l'air de rien, mais ça permet d'arriver avant la fermeture des pubs et prendre sa première "Best Bitter".

11 juil. 2008

on est bien d accord !
;-) ;-) ;-) ;-)

11 juil. 2008

C'est un peu difficile...
de tenter de déterminer la dérive résiduelle car tellement de choses peuvent se passer en une douzaine d'heures.
Mais enfin, on peut faire une évaluation. Je corrige en fin de parcours, selon que je suis allé plus ou moins vite,mais, en fonction de la direction du vent, je prends de la marge de manière à éviter de devoir ramer contre vent et courant dans les derniers milles.
Dans l'article de V&V, l'auteur qui n'a sans doute jamais navigué par ici, préconise une route fond rectiligne alors que l'important, c'est la route surface. Si on navigue à cap constant, la route dessinera une belle sinusoïde sur la carte.
Encore plus délicat sur St Peter/Jaudy (Tréguier) par exemple,45 milles.
Sur une marée, les vecteurs de courants font le tour du cadran avec des forces variées. En plus, il faut anticiper d'éviter les Roches Douvres. Si on part de St Peter à la renverse de BM pour laisser les RD à bâbord, il faut corriger vers l'ouest car pendant un bon moment, le courant portera à l'est.
C'est tout de même plus intéressant que de naviguer bêtement en droite ligne ou faire cracher la route par un PC plus ou moins connecté à d'autre appareils!

11 juil. 2008

je suis
completement de ton avis !

au depart de Ouistreham je prefere me regler pour croiser les rails de nuit parce que en effet je trouve qu il est plus simple d identifier les cargos et leurs route avec les feux de route , tu sais exactement ou tu en es , je trouve ça plus pratique et en plus on arrive en face de jour tres longtemps avant la fermeture des pubs donc tout va bien !!

;-) ;-) ;-) ;-) ;-)

10 juil. 2008

J'ai toujours préféré Newhaven à Brighton
Et ces deux villes, tres proches, sont le symbole même de cette volonté anglaise de vivre "à deux vitesses" :
Brighton, et sa marina luxueuse, ( et chere ), mais sans âme. On y trouve tout le confort, mais le plus souvent impersonnel. En haut de la falaise de tres belles, voire superbes villas rapellent que Brighton a été la destination privilégiée de la riche aristocratie londonienne, pour laquelle les gens du coin avait le "privilege " de travailler ( ou plutot de servir ).
A quelques miles, Newhaven, et son port aux vieux pontons en bois délabrés. Ici pas de yacht de luxe , mais de vieux westerly et de vieux cotres en bois pourraient raconter de vieilles histoires. Une route, pas trop bien goudronnée, mène au village en longeant le fond du port et ses vvieux bateaux de pêche rouillés. Un port tout à fait "vielle Angleterre", avec ses pubs colorés et ses maisons branlantes. La pauvreté est parfois évidente. Ici l'on boit de la guiness et pas du whisky hors d'age, on regarde le foot à la télé et pas le golf, on joue aux fléchettes pour tuer le temps ; ça discute, ça braille, parfois ça chante, ça s'enerve.
L'armée du salut s'est instalé dans une ancienne église et vend du broll pour aides les plus pauvres. On est bien loin de Brighton et des autres coins du sud de l'Angleterre. Plus prohe des vieux ports de la cote est.
Tout cela est un avis tres personnel, et peut etre un peu "tranché", mais je concluerai en conseillant de visiter les deux , pour ne louper un des deux visages de la vielle Angleterre.

10 juil. 2008

je partage ...
versus Brighton (voir Eastbourne), Newhaven merite le détour.

01 juil. 2014

Qui peux me renseigner sur l'encombrement de la marina de Brighton en Juillet et Août ? Place dispo au ponton visiteur ou mise à couple obligatoire ou sur pendille ?

C'est pour ne pas être pris au dépourvu si je l'inscris au programme des vacances ...

01 juil. 2014

Sur pendille ??? à Brighton ??? Ce n'est pas encore la Méditerranée.
Sérieusement, c'est grand, très grand et je n'ai jamais connu l'endroit bondé au point d'être tous à couple.
J'y ai déjà passé une semaine en juillet - août sans problème (sauf que ce n'est pas donné).
Tu peux aussi demander au bureau pour avoir une place dans la marina (ailleurs qu'au ponton visiteurs).
Si tu veux être plus près des animations, magasins et bus, c'est mieux d'être placé côté ouest.

01 juil. 2014

Dans la marina , tu veux dire du coté du shipchandler ?

01 juil. 2014

Non, pas dans la lagune derrière la marina à laquelle on accède par l'écluse devant le shipchandler. Je veux dire dans le reste de la Marina sur une des deux jetées flottantes.

01 juil. 2014

Ok , je vois , merci pour le renseigenement :pouce:

ANDROS

Phare du monde

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ANDROS

2022