Epaisseur dérive

Bonjour à tous

Je suis l'heureux propriétaire d'1 gibsea 31 DI depuis qq mois . Je viens de déposer la dérive totalement corrodée et souhaite la remplacer en augmentant son épaisseur (de 15 à 20mm) espérant ainsi un gain de stabilité en augmentant le lest de 40kg . Passage dans le saumon OK .
Est-ce une bonne idée ?
Après recherche et à titre indicatif, une entreprise d'Arzal me propose la pièce finie, découpée au lazer pour 500€
Merci de vos contributions

L'équipage
01 nov. 2008
01 nov. 2008

tout part à la dérive
si tu augmentes le poids de ta dérive tu vas augmenter la raideur à la toile mais aussi le roulis au mouillage avec des rappels de lest plus brutaux ,c'est le probleme du balancier .
par exemple un voilier sans mat est extrement inconfortable ,
quand on augmente le tiran d'eau d'un voilier on allege le lest le couple de rappel est augmenté
par l'allongement du bras de levier ,le bato etant plus leger il devient plus rapide (ce qui n'est pas sur)et si on met du plomb on diminue le volume en abaissant les poids .
donc ce n'est pas en surlestant qu'on augmente la stabilité .
sur ce bon week end a tous
:-)alain

01 nov. 2008

pourquoi pas

mais 40 kg de lest n'aura aucune ou si peut que l'on peut dit aucune amelioration sur la stab .

par contre je verrai plutot le probleme de remonter la derive avec 40kg en plus .

Devant aussi changer un jour ma derive peut tu apporter quelques precisions : surface,inox ou non

merci

josé

03 nov. 2008

matière dérive
salut

J'ai choisi de refaire ma dérive en acier

1 la société Bretagne Oxycoupage d'arzal me fait la découpe au lazer . Le coût est abaissé énormément du faît que j'ai réalisé le plan moi-même ( origine dessinateur méca ça aide )

2 je ferais faire ensuite une galvanisation spéciale milieu marin par SBG une entreprise de la Chapelle-Caro (56)

01 nov. 2008

materiau dérive
sur certains dériveurs la dérive est en contreplaqué profilé naca avec du lest au bout pour la faire descendre sur d'autres elle est en polyester ,pourquoi pas en inox mais attention
si le saumon est en fonte :electrolyse assurée )
en acier bien protégé par sablage et traitement epoxy avec patins en nylon ça devrait le faire
cordialement
alain :-)

01 nov. 2008

sur le même bateau
que le mien un propriétaire a changer sa dérive acier pour une bois + lest, je ne sais pas les raisons mais il est revenu a la dérive acier.

01 nov. 2008

Dérive
Sur un DI la dérive a uniquement une fonction
dérive et non pas quille lestée.
En augmentant le lest prévu au départ uniquement
pour permettre à la dérive de s'enfoncer on
gagne peut ètre en couple de redressement mais
on modifie complètement les forces nécessaires
pour la remonter et celles appliqués à l'axes
de rotation .
On peut améliorer les caractéristiques de portance de la dérive en travaillant le profil.
J'ai une dérive bien profilée ce qui est bien et
je peste sur le constructeur qui l'a surlestée
à 200kg (pour 2,40m).

01 nov. 2008

pourquoi pas
Un ami sur un gib'sea 262DI a remplacé sa dérive alu par une en acier donc plus lourde en effet.
Il est très satisfait du résultat.
JJ

01 nov. 2008

deriveur et dériveur
si mes souvenirs sont bons le gibsea n'est pas un dériveur intégral mais un quillard équipé d'une dérive pour remonter au près appele à tord dériveur lesté ,il y a plusieures écoles les integraux ou la dérive ne participe pas à la stabilité et ceux avec une dérive lourde ,ceux ou la quille est relevable donc impossible de marcher à la voile quille relevée, et ceux dont la dérive sort d'un embrion de quille .
j'ai eu un hood38 qui a 5T de lest avec une dérive qui pése 120kg mais avec son volume elle n'est pas lourde du tout la carene est à quille longue je naviguais pratiquement toujours dérive dans le puit par contre j'ai eu un ovni35
ou il fallait pratiquement jouer en permanence sur la dérive pour équilibrer le voilier suivant les allures. donc chaque cas est spécifique
je crois u'en interogeant l'archi on pourrait peu etre avoir un avis correct
je sais je dérive mais je n'y peux rien
ALAIN :-)

03 nov. 200816 juin 2020

non non
le 262 DI est un intégral

03 nov. 2008

EXCUSEZ MOI
je n'avais pas vu la photo qui est bien parlente.
JJ

03 nov. 2008

non non !
le 262 comme le 282 sont des DI sans quille
le lest est en partie plat ce qui permet de le poser facilement.
la dérive est d'une grande surface sortie, on dirait un quart de cercle.
mais il y a d'autres modèles en dériveurs lestés comme le mien.
JJ

bonjour
les sources concernant le poids de la dérive du Hood 38 sont assez discordantes : on trouve dans les documentations de 150 kg à 300 kg avec ou pas du plomb au bout.
Mais il est intéessant de préciser que cette dérive, bien que pivotante est profilée et peut se placer en position verticale amenant le tirant d'eau à 3,3 m.
Il paraît qu'elle peut aussi pivoter de + ou - 3° pour améliorer la remontée au vent. En plaçant le bateau sur la fosse destinée aux dériveurs sur le terre plein du port, j'ai constaté en effet un léger jeu dans ce sens quand la dérive est verticale. Mais l'effet est-il réel ?
Il y a eu un proto de l'architecte JEan-Louis Noir qui avait ce système.
Hubert, de Cherbourg

20 jan. 2012

plus qu'un proto il a conçu le dufour T7 dont un certain nombre etaient équipé de cette derive auto-alignante.

19 jan. 2012

bonjour à tous,

Je suis depuis un an propriétaire d' un Gibsea 262 DI, avec lequel je suis allé au Portugal, depuis Arcachon, en 2011.

Le bateau s'est trés bien comporté dans des conditions de mer et de météo pas toujours faciles au large de la Galice.

Toute fois, j'ai eu de grandes inquiétudes avec la dérive qui ne cessait pas de se faire entendre ( bruits de gong ...), et souvent je me suis demandé si je n' allais pas la perdre. Ce qui fait, que dans les conditions difficiles ,j'ai navigué souvent avec la dérive en position intermédiaire.

L' ancien propriétaire avait remplacé la dérive d' origine en alu, par une dérive en acier, mais en oubliant au passage de caler celle-ci latéralement.

Aussi, j' envisage prochainement de déposer et de reposer moi-même cette dérive, en installant des cales cette fois -ci.

Quelqu' un aurait-il l' expérience nécessaire, pour me faire savoir comment procéder pour le démontage, et le remontage ?

Quelle est en gros la méthodologie à respecter ?

Je dispose des plans de l' installation d' origine, mais je ne sais pas s' il faut caler le bateau trés haut sur le ber, de façon à ce que la dérive soit descendue au plus bas ou s' il est possible de la laisser en position intermédiaire.

Sachant qu' elle doit peser environ 90 kg, puisqu' elle est en acier, à présent, comment l' enlever tout en évitant qu'elle tombe brutalement ?

S' agissant des cales, je pense les faire en téflon ou équivalent. Quelqu' un aurait-il une idée de la forme à leur donner, et de leurs dimensions, et enfin de l' endroit précis ou les poser sur la dérive elle-même, pour supprimer efficacement ce jeu
" infernal" ?

Je vous remercie bien sincèrement pour votre aide.

05 nov. 2013

je dois démonter ma dérive alu d'un gib sea 262; Peux tu me prèter les plans d'installation d'origine. Merci.
Armand;mariejose.angot@wanadoo.fr

19 jan. 2012

Toute manipulation d'une pièce lourde doit ètre bien cogitée, de façon à assurer en permanence la sécurité. Cela implique donc de définir des accès pouvant tenir en suspension ou porter par le dessous la pièce qui doit ètre également saisie et fixée pour ne jamais ètre en équilibre précaire. La sortie par le grutage suppose les accès possibles et des points d'ancrage existants sur la dérive.
Le dégagement par le dessous peut se faire par vérins en prévoyant la hauteur nécessaire. En aucun cas il ne faut accepter une quelconque chute de l'objet, dangereuse et destructrice. Aucune personne ne doit pouvoir se trouver sous la charge!!!
Le dégagement premier de l'axe suppose un soulagement contrôlé et ien dosé.
Le battement signalé peut correspondre à l'abscence de glissières ou de flasques latéraux
proches de l'axe, mais il faut aussi vérifier le jeu avec l'axe de dérive.
Il est facile de concevoir les pièces nécessaires à la correction voulue, situées proche de l'axe. On choisira un matériau ayant une résistance suffisante et un faible coefficient de rétractation ou de gonflement dans l'eau (discuté sur HeO).

19 jan. 2012

un bon moyen d'assurer la dérive lors de la dépose est d'utiliser une sangle de poids lourd, elles supportent 5t... les crochets tiennent bien dans le rail de fargue, ensuite la descente est facile a controler.

20 jan. 2012

pendant près de 20 ans j'ai eu le plaisir de naviguer sur mon Gibsea 31 DL. Après quelques années j'ai décidé de changer la dérive complètement corrodée. j'ai fait réaliser la nouvelle en acier plus zingage plus epoxy plus stratification (un mat et un roving): tenue parfaite mais...à chaque échouage ou presque, la dérive restait coincée (heureusement on peut la décoincer mais c'est pénible). Moralité: surtout NE PAS EPAISSIR LA DERIVE, cela ne sert à rien et c'est une magnifique source d'em..nuis.

11 jan. 2018

bonjour,
nous sommes aujourd'hui en 2018, et votre texte est de 2012, peut être avez vous changé de boat. Moi j'ai le même que vous le gib sea 31 DL. et je me pose la question de l'épaisseur de la dérive. Sur le plan publié par un hisse et ho sur le site, c'est 2 cm. Un autre (sans plan), donne 1.5 cm d'origine... 2 cm feraient 280 kg, ce qui me parait très lourd à remonter. Avez vous encore des éléments? merci d'avance.
dalton marine

24 jan. 2012

bonsoir et merci pour vos interventions constructives .

Une fois le bateau sur son ber, je pense que ce sera l' occasion de bien vérifier la course totale de la dérive pour choisir à quels endroits fixer les cales.

Il me semble que deux cales en téflon ou équivalent, de forme discoîde avec un diamètre d' environ 20 cm, et d' une épaisseur qui sera fonction de celle de la dérive, ainsi que du jeu disponible dans le puit devraient convenir.

En laissant un jeu fonctionnel d' environ 15 mm celà devrait peut-être aller ?

Il va falloir que ces cales aient des bords bisautés ou chanfrénés, pour passer sans accrocher dans le puit, lors de la remontée.

Je vérifierai la possibilié de poser sur l' axe de rotation, et de chaque côté de la dérive, une bague en téflon.

Il parait que les derniers Gib sea 262 construits, étaient équipés d' une dérive en acier et non plus en alu, mais je ne sais pas qui contacter pour en savoir davantage quant au montage, car le chantier n' existe plus.

C'est vrai qu'il est impératif de bien caler la dérive avant de démonter, mais il faut dire que celle de mon bateau est une vulgaire tôle de surface plane,pesant prés de 100 kg, et n' offrant aucune prise.

J' ai envisagé aussi de souder à l' arc, 1 morceau de cornière ( comportant un trou sur une aile) de chaque côté de la dérive, pour pouvoir la saisir par un cordage.

La solution des sangles avec crochets dans le rail de fargue me paraît bien, surtout en utilisant en même temps un palan assez puissant.

Quelque soit la solution à employer, il va me falloir résoudre ce problème, car la dérive n' est pas du tout calée latéralement en ce moment, et quand les conditions de navigation ne sont pas exceptionnellement belles cet appendice génère des contraintes trop fortes sur l' axe de rotation ainsi que sur les équerres de maintien.

Je vous remercie tous, et suis preneur de toute idée, car dans un mois je vais sortir mon bateau de l'eau pour commencer mes travaux.

24 jan. 2012

Bonjour Vega

Vu sur un deriveur mais je ne sais plus le nom
Un patin lateral de chaque coté du puit monté sur une vis
qui passe de part en part du puit. Tu vis un peu pour bloquer la derive
lateralement tu devis pour la manoeuvrer.

Le Moko

05 nov. 2013

Bon je reviens aux fondamentaux....On parle d'un Gib sea 31 qui n'existe pas en DI mais en dériveur lesté. Sur le mien la dérive était normale mais je doute que d'augmenter l'épaisseur soit profitable. Parce qu'il faut la relever, la dérive. Le système est simple mais la deuxième vitesse du winch était nécessaire pour une dérive normale, parce qu'elle "plombe". De plus le GIb sea 31 est quand même bien raide à la toile, parce que le saumon est presque une quille (je crois qu'il fait 60 cm de hauteur et il est très long. . Pour avoir bidouillé et renforcé le point d'attache, en haut il ya de quoi mettre plus épais, mais en bas, avec l'épaisseur supplémentaire de la tôle et le maillon rapide qu'il va falloir monter plus gros, attention que ça ne coince pas en position basse... Sur le bout j'avais fait un noeud de sécurité afin de ne pas laisser la dérive tomber brutalement, parce qu'un jour, en lâchant le fameux bout l'attache s'était coincée en bas dans le saumon...En forçant sur le winch j'ai pu la faire revenir.

11 jan. 2018

je reviens sur ce que j'écrivais en 2012: épaissir la dérive en tôle d'un Gibsea 31 ne présenté aucune utilité: le rapport de lest change de façon quasi infinitésimale et les risque de blocage de façon maximale. Même en augmentant l'épaisseur et en la "profilant"on n'arrive pas à un profil Naca, et donc il n'y a pas d'amélioration de la portance. De toute façon, au delà de 65° du vent apparent le bateau marche mieux dérive haute (sauf que avec une forte houle de 3/4 arrière la dérive relevée aux 3/4 peut améliorer un peu la stabilité de route...). Donc 15mm c'est parfait, pas la peine de chercher les emm..nuis. Un zingage (shoupage?) est une bonne idée mais il est très exposé lors des échouages et ne tiendra pas longtemps sur les zones de ragage. Ne pas oublier: si le bateau reste plusieurs mois au sec la dérive doit être impérativement en bas(ou presque) sinon le blocage est quasi sûr.

Yvesbulle

12 jan. 2018

Un voisin de port, sur son Gib Sea 105 avait fait faire une nouvelle dérive quand la précédente était foutue. Sur les 105 et 106 c'est une simple tôle non profilée.
Cette dérive, il l'a fait faire plus épaisse, je ne me souviens plus exactement, mais du genre 2cm au lieu 1.5. Dès la première sortie des "bong" résonnaient dans le bateau. Apparemment la tranche de la dérive freinait suffisamment le bateau pour que la dérive remonte un peu dans son puits et retombe ensuite à grand bruit. Il a chanfreiné le bord d'attaque et c'est rentré dans l'ordre.
Comme quoi, cette surface est à prendre en considération pour la partie hydrodynamique du bateau.

12 jan. 2018

je trouve très surprenant qu'une augmentation d'épaisseur de 5 mm puisse provoquer la remontée d'une plaque de tôle de plus de 100kg. Il doit y avoir une autre explication (ou plusieurs). En revanche arrondir (chanfreiner) le bord d'attaque est évidemment une bonne idée, de même qu'effiler le bord de fuite peut (très légèrement) améliorer l'écoulement des filets d'eau, sans toutefois, et c'est dommage, améliorer la portance puisque le profil reste beaucoup trop mince pour se rapprocher d'un profil Naca.
Régatant beaucoup à l'époque, j'avais fait chanfreiner le bord d'attaque et effiler le bord de fuite avant de faire galvaniser la tôle. Je n'ai jamais réussi à mesurer une véritable amélioration des performances au près: c'était surtout bon pour le moral...

17 jan. 201816 juin 2020

Bonjour à tous, propriétaire d'un CHAMPAGNE depuis 1an (plan Harlé, chantier Aubin de 1984), j'ai entrepris de changer la dérive cet hiver.
Ce voilier est un dériveur lesté (6T dont un saumon de 2T) de 10 m, tirant d'eau de 1,40 m à 2,2 m dérive baissée.
J'ai heureusement les plans d'architecte de la dérive en place, avec indication des cales téflon.
A l'origine elle faisait 12 mm en acier et elle a été refaite en acier 15 mm.
Je vais vous joindre ces plans.

Voici l'état de la dérive en avril 2017.
La rouille ne traverse pas ... mais pas loin !

J'ai demandé deux devis : un en acier 15 mm qui sera galvanisée et une en inox 12 mm.

18 jan. 2018

c'est de la corrosion galvanique ,es-ce que la dérive en tôle est reliée électriquement pour l'équipotentialité
avec une anode de protection pour tout ce qui trempe ..?
alain

17 jan. 2018

@yvesbulle
"si le bateau reste plusieurs mois au sec la dérive doit être impérativement en bas(ou presque) sinon le blocage est quasi sûr."
Peux-tu préciser pourquoi ? ça m'intéresse.

18 jan. 2018

Dérive qui bloque au sec...D'abord c'est par expérience perso: mes trois derniers bateaux étaient des dériveurs lestés avec quille en fonte et dérive en acier. Le 1° des trois n'est jamais resté plus de 15 jours au sec==> pas de problème. Le 2° est resté 6 mois ==> dérive bloquée par une rouille un peu pulvérulente, mais assez dure pour provoquer le blocage, développée entre la fonte et l'acier au point de quasiment souder la dérive à la quille. Le même phénomène s'est reproduit avec mon bateau actuel lorsqu'il a passé 7 mois au sec (en Grèce). J'avais cru que cela n'arriverait pas puisque l'espace entre la dérive et la quille était beaucoup plus important que dans le premier cas, mais...Dérive bloquée par la même rouille. Depuis le bateau passe les 7 mois d'hiver sur cales, dérive baissée ==> depuis 6 ans aucun blocage. Il semblerait que l'humidité suffise pour provoquer cette oxydation qui, n'étant chassée ni par l'air ni par l'eau, s'accumule jusqu'à "souder" la quille et la dérive. Et pour débloquer, ça n'est pas simple!!

17 jan. 201816 juin 2020

@Ohlamer
Tout dépend de l'âge de la dérive.
Sur les gib'sea 28 on fixe une anode rosace et ça prolonge beaucoup la vie de ladite dérive.
La mienne a 9 ans et elle est impeccable. La 2ème photo est de Juin 2017

19 jan. 2018

@margotte
Elle est en effet en bon état.
Ma dérive n'a en effet pas d'anode et elle n'était pas peinte tous les ans ...

19 jan. 201819 jan. 2018

Je ne fais l'antifouling de la dérive que les 2 ou 3 ans et je la relève dès que le bateau est à l'arrêt pour limiter la photosynthèse.

17 jan. 2018

Lorsque cela fait trempette en permanence dans l'eau de mer, j'ai tendance à plus faire confiance à l'acier qu'à l'inox, à cause de la corrosion granulaire qui ne prévient pas.

18 jan. 2018

il est sûr que l'immersion en eau salée active les effets d'électrolyse sur tte la surface de la dérive
cette attaque continue au sec par oxydation naturelle du métal, multipliée par l'appauvrissement de la surface/l'intérieur du métal, d'où le gonflement
à la mise au sec, un bon nettoyage/ponçage ou brossage métallique puis traitement avec les produits adéquats évite le pb ou en tout cas le limite
aussi il faut utiliser l'acier adéquat, la ferraille à ferrer les ânes est à proscrire, j'ai perdu les références de cet acier, dommage car ma dérive en a moins à vivre que vécu...
JL.C

19 jan. 2018

Pour les zones immergées: acier inox 318, non?

18 jan. 2018

Le jour où j'ai une dérive à refaire (j'ai eu plusieurs DL Harlé, et je connais très bien le Champagne, je ne la fait ni en acier zingué, ni en inox, ni en alu...
.
Je fais un marbre d'une simple planche de CP ordinaire, recouvert de film alimentaire.
je trace grossièrement la forme de la dérive (5 cm de plus partout)
.
j'achète 10 kg de résine époxy, (sans doute moins, faut calculer précisément), et 10 kg de bibiais 1000 g/m².
+ un peu de tissus d'arrachage.
.
Je Pose un tissus d’arrachage, puis strate 15 mm d'épaisseur partout, voir un peu plus au niveau de l'axe et du câble de relevage (faut voir la largeur du puits et je mets le deuxième tissus d'arrachage.
.
Un coup de disqueuse autour, arrondi devant, chanfrin derrière.
Un petit coup de résine où j'ai meulé, déglaçage, antifouling.

19 jan. 201819 jan. 2018

@Guillemot
Je veux bien croire que cela réduit le prix ... mais il faut avoir un minimum de maîtrise de la stratification.
Par ailleurs, sera-t-elle assez lourde pour bien rester en bas ?
Je n'ai pas idée du poids de ce type de dérive fini.
La mienne représente une portion de disque d'environ 90 ° d'angle et d'1,3 m de rayon depuis le trou de l'axe.
En acier 15 mm elle était donnée pour 150kg.

19 jan. 2018

j'ignore le prix d'une dérive en acier galvanisé ou inox...
La maîtrise du stratifié, ça s'apprend en stratifiant une dérive, par exemple !
Elle sera nettement moins lourde qu'en acier mais coulera. Par contre, un palan deux brins, voir un bout en direct, permettra de la relever.
Si les patins Ertalon sont usés ou pas parfaitement ajustés, elle fera beaucoup moins de bruit qu'une dérive acier.

08 fév. 2018

La suite de mes questions de remplacement de dérive et le prix acier INOX sont sur le sujet du forum suivant :
www.hisse-et-oh.com[...]orrodee
Merci.

25 fév. 2018

Bonjour,
Sur mon gib sea 31 DL, de 83, le point de tire pour le relevage de la dérive a rompu fin octobre 2017. J'ai donc profité des plans publiés par un collègue Héo que je remercie, (Merak, je crois) et j'ai fait faire un devis pour une dérive acier dont l'épaisseur est de 1.2 cm. (vérification faite à terre). Résultat, 730€ TTC.
Ceci dit, la dérive est à ce jour réparée, consolidée sur ses deux axes, point de pivot, (axe changé) et point de tire. Elle sera remontée lors de la mise à l'o du boat en mars/avril. Le prix devrait être inférieur tout compris à celui de la dérive neuve dont le transport et le remontage n'est pas prévu dans le prix indiqué. voici donc mon expérience sur le sujet.

Cap Otway  australie

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