en vrac !!!

Je t'ai déjà donné les chiffres par mail
... mais pour une coque en alu de 9m35

Bref, revoici les chiffre sur le forum, comme ça tout le monde pourra en profiter.

• sablage de la coque par un pro : 750 euros
• peinture au zinc de chez meta (3 couches) : 400 euros - j'ai passé la peinture moi même
• génois pour enrouleur / guindant de 10.50 mètres : 1600 euros Total : 2750

... c'est sans doute un peu plus pour un voilier de 10 mètres, surtout si tu fais un cycle de peinture complet primaire + epoxy.

OUI
j'ai retrouvé ton mail merci ! c'est tellement le foutoire dans mon ordi en ce moment j'ai les photos de 8 bateaux et tous les demandes de devis que j'ai fait etc..... y en a partout !!
c'est drole maintenant que j'ai vu tous les modeles que je voulais j'ai du mal a me decider en fait c'est pas vraiment du mal c'est un peu le flip de franchir ce pas de l'achat d'un bateau en plus il y a 2 jrs j'etais a la trinité sur mer dans un bistrot et je discuté avec le patron car j'etais venu voir un bateau et le seul truc qui me dit pour me rassurer c'est " les moment de bonheur avec les bateau c'est quand on l'achete et quand on le revend !!! gloups je suis rentré a paris en voiture et pendant 500 bornes j'ai pensé plus qu"a cette phrase ! meme plus au bateau!!

ou se trouve
l'artiste qui ta fait ça ?

12 000e
ca me parait vraiment tres cher !!!

Chatam
Suis actuellement ds la même démarche que Pol...
Actuellement on trouve sur le marché des Chatam propre et bien équipés des années 80 entre 30000 et 35000 euros.A comparer avec l'achat d'1 boat + travaux.
Pour ce qui est des remarques du barman, voici quelques réflexions que je trouve assez pertinentes (copier coller):

"Mon île, je l'ai cherchée loin et longtemps, jusqu'au jour où j'ai compris que mon île, c'est mon bateau" (G. Janichon)

Depuis les trois dernières années, où j'ai eu la chance de vivre à bord de mon bateau, d'alterner ports et mouillages, hivernages et croisières, j'ai souvent pensé à cette phrase, surtout ces derniers temps, avant d'arrêter pour des raisons indépendantes de ma volonté...

Certains vont chercher leur île à l'autre bout du monde, alors que la vie permanente en bateau est déjà un monde à part entière, qui n'est comparable à rien d'autre. S'ils peuvent y ajouter les joies procurées par un grand voyage, nul doute qu'ils y trouvent leur bonheur.

Le monde des nomades nautiques ne peut être compris que par ceux-là mêmes qui le constituent. Un monde de grandes joies et de petits plaisirs quotidiens, de découvertes, non seulement une collection de cartes postales, mais bien celui riche et varié des rencontres humaines qu'il procure. Nous sommes tous alors reliés par la même passion, et surtout nous partageons le même mode de vie ; et c'est sans doute là le principal.

Oh! bien sur tout n'est pas toujours rose, il y a le prix à payer pour cette forme de liberté : les galères diverses, les emmerdes de moteurs, les nuits quasi blanches, et même parfois les petites prières pour que "ça tienne", ou que ça ne "s'énerve pas plus»

Mais quand ça s'arrête, quand on doit reposer le sac à terre, retrouver des modes de vie qui nous étaient devenus étrangers, des soucis dont nous n'avions plus idée, l'étrange agitation du monde qui nous entoure, alors là, qu'est-ce que ça fait mal ! C'est une amputation sans anesthésie. Un vide, un état de manque... Oui, le voyage sur la mer, la vie en bateau, est une drogue, une drogue dure.
Pour ma part, je n'attends que le moment où je pourrai repartir, afin de retrouver le monde marin. Je ne sais si c'est celui du bonheur, mais bien celui qui me convient le mieux.