=== DANGER zone Ouessant === Bois à la dérive
Le 31 Décembre, le Konigsborg en avarie (remorqué vers Brest) en entrée de Manche a perdu une partie importante due sa cargaison de bois. Les planches et madriers commencent à arriver sur Ouessant, Molène au large de Guernsey.
Il me semble important d'insister sur le DANGER CONSIDERABLE que représente ces bois flottant pour nos frêles esquifs, même si peu de voiles naviguent actuellement dans les parages.
Faudrait pas que les coureurs du Jules Verne se prenne ça dans les appendices... à la vitesse où ils vont !
Ah bon! parce que les autres, ceux qui ne sont pas "coureurs", qui sont pas les "héros", eux ils peuvent se les prendre , c'est pas grave!
Oui sauf que les coureurs y vont endommager au pire un flotteur alors qu'un benêto de base ça peut être vite par le fond..
:doc: faut prendre ses cachets !
Duduche Braz (jehenne) n'a jamais rien dit de tel... :lavache:
Il y en a qui ont un début d'année difficile. :scie: :pecheur:
Non bien sur... j'espère que personne ne se tapera une de ces billes de bois ni aucun autre objet flottant qu'il soit non identifié ou pas... j'ai vu des photos de bateaux à qui cela est arrivé et qui auraient bien pu couler... et il y en a dont on n'a pas vu les photos car ils ont coulés...
Je ne connais que le panzer de Mayko qui peut encaisser pas mal... ;-), et la vitesse est un facteur aggravant et les coureurs vont vite, sensément !
:-( :-( :-(
IDEC SPORT a heurté un objet flottant non identifié cette nuit. Le safran du flotteur bâbord est cassé. L’arrivée vers 20h au ponton de Brest n’est cependant pas remise en cause.
Il était environ 4 h du matin, un peu plus de 130 milles dans le sud-ouest de l’Irlande et sur une mer formée, quand l’équipage d’IDEC SPORT a entendu « un double bang » dans la nuit, caractéristique du choc avec un objet flottant non identifié (container, bille de bois, autre ?)
La première frayeur passée, l’équipage de Francis Joyon a constaté que le safran du flotteur bâbord était cassé. Quand ils naviguent tribord amûres, il n’y a donc plus que le safran central d’opérationnel pour diriger le bateau. Ceci dit, pas trop d’inquiétude pour le moment au vu des vitesses constatées : six heures après cette avarie, IDEC SPORT file encore à 30 nœuds vers la ligne d’arrivée. Celle-ci n’est plus qu’à 230 milles des étraves à 10h ce matin. L’estimation d’arrivée aux environs de 20h ce soir à Brest n’est donc pas remise en cause pour le moment.
Il semble qu'il y ait tellement de bois que la probabilité de toucher est loin d'être négligeable (cf previmer)