Départ sur garde

le point de tire important .. sur l'arriere change de coté

Je ne suis pas clair (qui a dit 'comme d'habitude !?) la position du pare batte doit pouvoir te servir de point de pivotement ...euh toujours pas clair....Bon si amarre et pare bate au même niveau pas le mieux si pare bat sur l'avant du point d'ancrage de ton amarre : petit bras de levier :reflechi:
Qui a dit "un croquis vaut mieux qu'un grand discours " :tesur: :langue2:

Pour ma part, c'est dégagement systématique de cette façon-là :
amarre à l'étrave et sur le quai au niveau du maître bau,
bouée ronde au niveau du taquet avant,
barre pour monter sur le quai,
marche avant gentille
la bouée est écrasée
et l'arrière se dégage tranquille jusqu'à 90° s'il le faut
barre droite
marche arrière en récupérant l'amarre,
et bye.

Jamais pris en défaut.

Je le fais également quand je suis en solo et quand il n'y a pas trop de vent mais sans l'aide du moteur.Je place un gros pare-battage à un mètre de l'étrave. Je pivote le bateau autour avec une aussière en double si je peux la frapper sur le quai au niveau de l'étrave ou en tirant à la main depuis le ponton et ensuite il me reste à monter à bord par l'avant (mon bateau n'est pas trop haut) et à aller rapidement passer la marche arrière.

Une belle manoeuvre ?
C'est ce que je me suis dit quand je l'ai vu l'autre jour, faite par un navire qui battait pavillon suisse... impeccable et sans bavure.
En fait, je ne la vois que très très rarement.

Nous la pratiquons systématiquement pas trop le choix de faire autrement (bateau assez lourd qu'on ne déborde pas facilement à la main :-))

Une des plus belle manœuvre que j'ai vu réalisée c'était un "petit" (50/60 m) caboteur avec un vent le plaquant sur le quai, l'expliquer euh cela va être difficile : pour faire simple une garde descendante lui servant à écarter le cul au maximum, tout en laissant filer au maximum un traversier arrière...euh vous visualisez !? :reflechi:
Lorsque le cul est bien écarté : récupération de la garde, marche arrière le couple de l'hélice (néfaste dans cette configuration) est neutralisé par le long traversier, ce traversier lorsque le caboteur cule ce comporte un peu comme une "fronde", le cul reste forcément à la même distance du point d'ancrage du traversier sur le quai, l'arc de cercle décrit crée une "force centrifuge" , l'étrave dérape pendant que le bateau pivote, se positionne quasiment vers la sortie , le traversier est largué, en avant vers la sortie....
Belle manœuvre, avec un caboteur et sans équipage pléthorique :pouce: :bravo:

Faire croupiat ? En réponse à Hubert

Croupiat, oui pourquoi pas, même si à l'origine c'était surtout avec une ancre ou un grappin

Cordialement
Guy