Day Skipper sur POGO 30

la réponse est "solo"
Je ne me vois pas louer un Pogo seul et sortir en mer par force X sans avoir au moins testé toutes les manoeuvres sous la supervision d'un skipper expérimenté dans la conduite solo -

A quel endroit?

Juste une petite remarque pour le solo, une petite phase intermédiaire en taille pourrait être une option intéressante. Par exemple louer un First 25S avec un pilote auto, et faire des sorties journées. En Juillet, suite à un désistement je me suis retrouvé tout seul sur le mien au Crouesty, j'ai fait le tour de Houat, D'Hoedic, la boucle Beniguet Teignouse..., j'ai trouvé ça assez formateur et ça dégrossit le travail d'apprentissage, une chance c'est que la météo de Juillet fut géniale pour ce genre de sortie.
En plus le petit First pardonne pour les manœuvres de port par sa taille raisonnable, même si l'approche n'est pas géniale, on saute sur le catway et on peut l’arrêter facilement à la main.
Maintenant j'aimerai louer un Pogo 8.50, si je peux encore en trouver un en location, peut-être à un particulier....

Trebor a raison, déja passer les manoeuvres sur un rafiot plus petit permet de valider les acquis, même si la différence de puissance entre certains bateaux nécessite des manoeuvres différentes, mais un Pgo 30 reste raisonnablement toilé.

En l'absence d'écoles de voile solo en Pogo, il te reste une location en embauchant un figariste pour le week-end. Tu vas apprendre quelques trucs.

Je ne pense pas qu'on apprenne beaucoup en solo en l'absence d'un coach expérimenté, par exemple à 2 plaisanciers lambda, il y a un vrai savoir faire et des raccourcis pas forcément évidents..

Franchement, les figaristes disponibles sont légion et pas trop chers au vu de l'expérience. L'empannage en solo avec tangon nécessite déja une bonne après midi, une fois couvert le reste...

reste qu'on ne connait toujours pas ton bassin de navigation et pourquoi un pogo 30 absolument...?

si le projet est d'en acheter un bientot, le plus simple est sans doute d'appeler le chantier, leur faire part de ton projet et leur demander de te faire la prise en main pendant qqs jours moyennant pas grand grand chose

Bon, ben j'ai trouvé mon double...

et le Bongo 960 ?

Tant pis si je piétine le gazon mais je reste persuadé que l'apprentissage du solo s'effectue en solo. Le problème n'est pas ce que l'on doit faire, au fond une maneuvre est une maneuvre, qu'elle soit en équipage ou tout seul, mais de la faire tout seul, il n'y a pas de truc, on se lance sans papa ni maman, on a ses petites (modestes victoires), ses petites galères, mais il n'y a aucune recette. Compter sur des trucs, des astuces pour se lancer me semble illusoire.Le seul truc c'est se lancer.
Un truc, quand même: faire des sorties de durée moyenne en familles avec enfants en bas âge, une compagne qui s'en tape complètement, l'idéal étant d'y ajouter une belle mère, quelques jours á chercher le mouillage idéal, tout faire, popotte comprise, éviter les "tempêtes", répondre avec calme á la question "on arrive quand", et quand enfin on est seul.........tout est si simple.

En tout cas c'est ce que j'imagine que dira un skipper "confirmé".

Y'a quand même plusieurs cas de figure du solo qui l'est sans l'être...

Le faux solo en entraînement, c'est en double avec un gars qui fait le pilote auto pendant que l'autre se dépatouille.
C'est pas mal car ça permet d'ifdentifier ce qui ne fonctionne pas qand on est à la barre.

Ensuite, quand tu navigues en double au large, tu es vraiment deux navigateurs solitaires qui dorment plus que la normale et se saluent toutes les 3 heures, prennt le luxe de partager une bière de temps à autres.

Le pire c'est justement ce que tu décris: un navigateur solo accoumpagné de passagers. Il est beaucoup plus simple de naviguer seul au large qu'en côtier en famille...

Sur La Rochelle, tu as ça :

srr-sailing.com[...]bitable

A définir avec eux...