Centurion 36 : bloque tête en bas dans le coffre arrierre

quand je sévissais sur le port de hyères
je faisais la révision d'un perkins sur un gin fizz ,l'accès sur le coté se fait par le coffre tribord
on enlève un panneau et c'est royal on peut "presque"rentrer dans le compartiment moteur .
donc bien installé avec ma boite à clous j'officiai en toute quiétude :/€.%$£ ext.. quand un fichu bato à moteur passe et fait des vagues et le panneau du coffre se referme ,la cocotte bascule et me voila enfermé .
évidement c'était hors saison et personne ne passe que le quai ,donc je peux hurler .
je commence donc à désacoupler puis desserrer les silent block de mon coté pour basculer le moteur
pour pouvoir passer ,comme je ne suis pas petit il fallait ça ,heureusement que j'avais enlevé la descente avant pour avoir de la luminosité .
et au moment ou j'allais pouvoir sortir ,un de mes partenaires qui avait besoin de moi monte à bord
et bien sur ouvre le panneau ,
j'en ai été quitte pour tout remonter et surtout assurer le panneau avec un sandow .
alain

quand ces intelligent architecte penseront un peut plus a ceux qui font l entretien ce sera une grosse avancé , car pour le moment on devrait les foutres dedans ces gugusse ,il penserait peut être un peut mieux les bateaux .

Bonsoir,
Il m'est arrivé une histoire semblable ,en étant rentré dans la coque en construction pour coller un truc,juste à l'avant.
Impossible de ressortir !
Pas de point d'appui,trop étroit pour pousser avec les jambes...il a fallu négocier un apéro pour que l'ouvrier du chantier aille chercher le Fenwick pour me hisser hors du piège...

Un jour, c’était il y a bien longtemps déjà, je me suis retrouvé coincé, à la suite de je ne sais quelle manœuvre, dans un endroit sombre, étroit, confiné, la tête en bas avec l’impression d’étouffer. Il fallait impérativement que je sorte de là au plus vite; hélas, impossible de bouger les bras pour me tirer de ce mauvais pas. J’essayais bien de crier, mais aucun son ne sortait de ma gorge. Enfin j’ai entendu du bruit à l’extérieur: On venait à mon secours. J’ai senti des mains puissantes se glisser de chaque côté de ma tête et me faire glisser lentement par petits mouvements de flexion, puis arriver à dégager une épaule, l’autre, et le reste est venu rapidement. J’étais tellement surpris et soulagé que je me suis mis à hurler de toutes mes forces. J’étais né.