Centurion 32 en solo.

Bonjour à tous,
je cherche un retour d'expérience en navigation solitaire sur un Wauquiez centurion 32.
Merci d'avance!

L'équipage
23 avr. 2013
23 avr. 2013

j'ai un bon copain qui fait cela régulièrement ;rien d'infaisable et rien d'exceptionnel.

23 avr. 2013

normalement la navigation en solo n'a rien a voir avec le bato c'est plutôt le navigateur qui doit se remettre en question ......
le centurion 32 est et restera un exéllent voilier ....
alain

23 avr. 2013

Si les bateaux ne sont pas tous égaux face au solitaire. L'ergonomie d'un cockpit, l'organisation d'un plan de pont.....

23 avr. 2013

chacun organise son plan de pont comme il veut ....
perso je préfère avoir le moins de marches dans la descente possible et une bonne visi de l'intérieur
ce qui n'est pas le cas du centurion .
alain

23 avr. 2013

par exemple

23 avr. 2013

cockpit large ou étroit, position des winches de la barre d'écoute, équilibre de barre, renvoi au cockpit......et bien d'autres

23 avr. 2013

le mien

23 avr. 201323 avr. 2013

Quelques clés de réussite d'une bonne navigation en solitaire :
- Connaitre ses limites
- Connaitre les limites de son bateau
- Connaitre parfaitement son bateau
- Ne pas avoir peur de préparer les manœuvres longtemps à l'avance et tout se répéter dans sa tête.
- Avoir un bon pilote
- Savoir et pouvoir réduire très facilement seul.
Le plus difficile restant les entrées et sorties de sa place de port

Je navigue souvent à la journée en solo sur mon 36 pieds, ma limite est 25nds de vent réel, car après mon pilote ne suit pas....
Mais alors, quel pied de se retrouver seul au milieu de l'O, réussir seul une belle manœuvre (envoi de spi, empannage, prise de ris.....prise de coffre, mouillage....)

23 avr. 2013

Si tout le monde n'est pas Tabarly, qui manoeuvrait seul son Pen Duick VI, il ne faut pas non plus se faire une montagne de la navigation en solo. Un équipement et accastillage adéquat et bien positionné, et surtout un bon pilote permettent ça sans problème, même sur des bateaux relativement importants.

Et plus on s'entraîne, plus le stress des débuts disparaitra.. :-)

03 mai 2013

Merci pour vos réponses!Et bonnes navigations à tous...

11 mars 2014

Bonsoir
Et un Centurion 32 pour une boucle atlantique en solo VS Gladiateur ?
Est ce que le Centurion tient la route ?
même assez bas sur l'eau ?
Merci pour vos avis
Dom

12 mars 2014

c'est l’aménagement des manœuvres qui fait la diff.,je navigue souvent seul sur un gladiateur

12 mars 2014

tant qu'a faire autant prendre le gladiateur ,plus un bato est gros plus c'est facile evidement dans les limites du possible y a qu'à demander à Terlain .
sur une transat par exemple on fait généralement le quart en solo , on ezffectue les maneuvres sans l'aide de ceux qui dorment.
alain

12 mars 201412 mars 2014

bof ..
la nav en solo c'est facile...bien plus que la nav en equipage ou on a tout le temps quelqu'un dans les pattes: faut donner des ordres qui ne sont jamais excecutés correctement et rapidement , les equipiers peuvent se blesser , ont le mal de mer , bref c'est la merde.
.
seuls avantages de l'equipage: jouer a scrable ou aux echecs et, faire des quarts de nuit ( surveillance uniquemement= pas peter quelque chose en pleine nuit)
si c'est de filles y'a d'autres avantages
philippe

12 mars 2014

Mais c'est exclure la régate...
Mais bon, t'as dû avoir des sacrés équipiers dans ta vie pour en arriver à cette conclusion.

Mon grand-père, qui a fait mon éducation nautique, mais qui naviguait généralement en solo, est arrivé exactement à l'opposé de ta conclusion. Si un équipier fait pas le taf, ben c'est que le skipper est à chier.
Marrant, non?
J'ajouterai que j'ai tendance à continuer à croire ce que mon grand-père disait. Tu m'en voudras pas?

12 mars 2014

oui c'est vrai je suis un malchanceux...que des daube des faignants de degueulasses..y'en a meme un qui s'est fait tué par les pirates..putain les emmerdements...
sans doute pas la regle surtout en regate
mais tout de meme je pense que la rapport taille / equipage /confort est le suivant , pour la croisiere surtout lointaine:
<10m ;: solo
12m : 1 a 2
15m: 1 a 3
18m : 2 a 5
23m : 2 à 8
bon si on est pauv comme moi on passera sa vie a payer, mais quand on aime on compte po

13 mars 2014

15m: 1 a 3.
Vas-y, je te regarde faire...

14 mars 2014

Là pour le coup Philippe, je suis pas d'accord.
C'est pas le taille du bateau qui compte, mais bien le skipper (comme le dit déjà 60nora).
15, 18,23m je prends tout seul. La seule chose qui change se sont les efforts à fournir en solo (hisser la GV d'un 23m c'est autrement plus lourd qu'un 10m)

14 mars 2014

en fait, en solo, la seule difficulté se situe dans les ports, le reste, quelque soit la taille du bateau, c'est la même chose (sauf les efforts comme je disais)

12 mars 2014

Oui, bien sûr, la croisière lointaine est une chose, la ballade entre amis pour 5 jours en est une autre.
(tout de même, 2 pour 23m, j'vais avoir du mal à vendre ça à mon équipière/skippeuse mais aussi trésorière)

13 mars 2014

c'est ce que je m'imaginais quand j'etais petit et qu'on m'avait dit: si tu es premier de la classe tu auras un bon metier..
premier de la classe => que dalle : pas de 23 m pas trois femme a bord :doc:

13 mars 2014

ben non motu tu as dit :

23m : 2 à 8
les pauvres condanné à l'onanisme ? c'est moche la vie !

;=)

signé un trés trés pauvre abstinent !

;=)

14 mars 2014

je viens de relire Jean du Sud, de Yves Gélinas, de belles balades sur un Alberg 30 ... en toute simplicité, humilité, et en solo ...
un bon bateau de 30 à 35', ça vous emmène au bout du monde ...

14 mars 201414 mars 2014

Centurion 32 en solo : je reviens au sujet initial.
Aucun problème pour les manoeuvres, surtout avec un bon pilote et des winchs ST.
Je recommande un petit génois : 130% du génois maxi.
Pour l'affalage du spi, je ne suis pas équipé de 'tout renvoyé au cockpit' et je me sert du winch de GV sur la mat pour renvoyer la drisse de spi au cockpit afin de la contrôler seul en même temps que ramener le spi sous la bôme de GV.
Pour les virements en solo, le tangon amuré entre la ferrure d'étrave et le mat pour éviter d'accrocher les écoutes sur le winch de la drisse de soi ou autre.
Mais je suis d'accord, le Gladiateur présente plus de rangements et de volume. Et le Gladiateur est aussi bien plus performant : groupe 17,5 versus 13 ou 15 ...
Les points que j'apprécie sur mon C32 par rapport au Gladiateur :
La quille qui ne risque pas de s'arracher en cas de rencontre avec un OFNI : le C32 montera sur l'OFNI.
La fardage : moins haut sur l'eau, le C32 y est moins sensible.
Le puit dans la quille est incliné vers l'arrière : plus facile à assécher que celui du gladiateur.
Les bas-haubants AV et AR : le mat a moins de risques de tomber en cas de rupture d'étai et ou haubans. Cela facilite aussi le grutage.

14 mars 2014

Pas mal ton astuce de la drisse sur le winch de GV, je vais essayer. C'est un asymétrique que tu as ?? Tu renvois ton pt d'amure au cockpit ?
A+ DIAMBA

14 mars 2014

Pas mal le spi ( viole/gris jaune) cela doit bien tirer. Il m'a l'air énorme en surface ? Je croix de mémoire que le symétrique sur le centurion est donné pour 70 m2.
Pour le point d'amure je fais pareil sauf que je le largue de devant en priant le bon dieu que le pilote ne parte pas en sucette. Faut que j’essaye de le ramener en AR + ton système pour la drisse.
:pouce:
A+ DIAMBA
PS: sympa les photos.

14 mars 2014

pres du vent le patin d'amure c'est mieux que le davier je trouve

www.hisse-et-oh.com[...]e-d-atn

31 oct. 2014

Bonjour Helios !
je viens de faire l'acquisition du Centurion N°238 (DIWALL).
Ton expérience m'intéresse car je me retrouve avec un tangon "classique" donc pas de patte d'oie !!...et ça je ne connais pas, habitué au gréement de spi habituel.
Donc j'ai un tangon sur lequel on peut frapper la balancine et le hale-bas uniquement en bout de tangon...
Problème, je ne vois pas comment faire un empannage !!
Ensuite j'imagine qu'il faudrait modifier le tangon. Mettre une patte d'oie au dessus et en dessous mais le fait que la balancine ne soit plus en bout de tangon la placerai au milieu de ce dernier et la rapprocherai du mât.....donc de mon radar !!!!
Je viens juste de faire l'acquisition du bateau et n'ai pas fait d'essai "a blanc"...
D'autre part, il n'y a pas de pontet sur le pont pour le hale bas en avant du mât.....
Pourtant ce bateau a porté le spi puisqu'il en a deux (un avec chaussette) et que j'ai retrouvé des photos du bateau sous spi...
Merci de m'éclairer
Hervé

31 oct. 2014

Merci Helios pour ces infos précieuses

14 mars 201416 juin 2020

Spi symétrique (le bleu & rouge) mais plutôt plat et pas trop arrondi.
Par moins de 3 noeuds de vent bordé à plat et amuré sur le davier d'ancre via une poulie, je remonte à 60° du vent.
Sinon, il est utilisé avec tangon comme spi asymétrique.
Quand j'affale sous pilote, je largue le point d'amure complètement.
Sinon j'utilise aussi mais pas en solo un autre spi (violet/gris/jaune) plus orienté vent arrière et plus arrondi dans le haut que l'on m'a prêté.

31 oct. 2014

Le radar complique la chose si le réa (ou la poulie) de la balancine de tangon est au dessus du radar : si l'angle fait que l'on touche le radar, il faut prévoir de remonter le réa (ou la poulie) plus haut.
Sinon, je ne vois pas comment faire un empannage ...
Le mieux est de faire l'essai avec une patte d'oie provisoire.
Pour le halebas, une poulie fixée au milieu des deux taquets via un bout en attendant mieux ?
Moi j'ai fait revenir au cockpit le hallebas via le liston opposé à la bosse d'enrouleur de génois => réglage depuis le cockpit.

Je viens de lire en diagonale.
Mon expérience: un super bon pilote... Tout le reste est selon les habitudes et les goûts de chacun.
Pour le spi, la chaussette. Bizarre que de moins en moins de plaisanciers l'utilisent, c'est vraiment top quand on a compris le truc.
Après, la taille du bateau, j'ai fait des entrées de port avec tous les LopLop, de 7.15m à 13.50m... Mon expérience: plus le bateau est lourd, plus c'est facile, à condition d'avoir un taquet à mi longueur pour passer une première amarré unique.
Voili, voilou.

Bernard

14 mars 2014

bon pilote et winchs ST, et ça va bien ...

14 mars 2014

Bon pilote oui ... winch St en option. Le centurion a un petit cockpit stable au près .. on peut lâcher la barre quelques instant pour wincher sans pb.
A+ DIAMBA

14 mars 2014

Souvenir, souvenir ...

Michel Malinovsky a participé pendant plusieurs années à la course de l'Aurore sur son centurion, et a toujours réussi à bien se placer, malgré le fait qu'il avait dû modifier le bateau pour le ramener à la jauge d'un half tonner.

Et tout cela avec un régulateur d'allure et des focs à mousquetons !

31 oct. 201431 oct. 2014

@ODeclav, Bonjour,

"La quille qui ne risque pas de s'arracher en cas de rencontre avec un OFNI : le C32 montera sur l'OFNI".
Je suis convaincu que "l'armement" de la quille du Gladiateur
et son lest en plomb dans son dernier mètre assure la même sécurité que le C32. J'ai "donné" pour en être sûr... En 37 ans, je n'ai jamais eu à resserrer les boulons de quille.

"Le puits dans la quille est incliné vers l'arrière : plus facile à assécher que celui du Gladiateur".
Avec son saildrive et son récupérateur de douche, il n'y a jamais une goutte d'eau au fond de mon Gladiateur.

"Les bas-haubans AV et AR : le mât a moins de risques de tomber en cas de rupture d'étai et ou haubans."
Le faux/bas étai du Gladiateur remplace les bas-haubans avant et permet en outre, avec son ridoir, de bien contrôler la courbure longitudinale du mât.

J'ai grand plaisir à voir naviguer un C32 sous voiles, qui, comme le Gladiateur, reste un bateau d'une ligne indémodable... et d'une qualité de construction remarquable.
A leur lancement, ils étaient plus coûteux que d'autres, mais, merci Mr Wauquiez!

01 nov. 201401 nov. 2014

Ce que je voulais dire, c'est que par rapport à une carène 'moderne' telle que celle du Gladiateur, l'arrondi de la pointe avant devrait provoquer moins de dégats sur un C32.
Je suis d'accord avec toi sur la solidité de la quille du gladiateur : rien à voir avec celle de certains autres voiliers. Le profil de coté du voile de quille du gladiateur est assez pentu par rapport à d'autres profil quasi verticaux : dans une certaine mesure le Gladiateur résistera mieux à un OFNI qu'une quille quasi verticale.
La quille du C32 est creuse : on pourrait y loger plusieurs batteries sous le plancher et sous le niveau de la carène. D'origine, le C32 est livré avec une vache à eau dans ce volume.
Avec quelques dizaines de litres dans les fonds le C32 reste sec.
C'est le premier endroit qui se rempli. C'est assez facile de mettre une pompe à cet endroit pour garder le reste du bateau au sec.
Le lest est vissé tout en bas et je pense que le rating assez bas du C32 et ses faibles performances par petit temps sont une conséquence de son voile de quille assez large.
Pour les haubans et bas-haubans, c'est juste pour dire que sur un C32, il faut que les 3 cadènes latérales lachent (ou le hauban et les bas haubans) pour que le mat tombe du coté opposé.
Sur pas mal d'autres voiliers, Gladiateur compris, il suffit que les deux cadènes lâchent (peu probable, mais possible). Les deux cadènes sont à proxmité l'un de l'autre avec report d'effort séparé sur le Gladiateur.
Gage de sécurité par rapport à des constructions plus récentes où une seule pièce supporte l'effort des deux (hauban + bas hauban).
Ces deux paires de bas haubans avant et arrière présentent des inconvénients sur le C32 : au grand largue, la bôme et la GV appuient sur le bas hauban arrière et lors des virements, le point d'écoute doit passer devant les bas haubans avants et donc s'accroche plus facilement que s'il n'y en avait pas. Sur le Gladiateur, c'est mieux sur ce point : juste le bas étai.
Et idem pour le tangon, son évolution peut être limité par les bas-haubans sur le C32.
Et si on veut faire passer l'écoute de génois sur un rail intérieur sur un C32 : c'est bien moins simple sur un C32 que sur un Gladiateur.
Sur bien des points j'aurais apprécié d'avoir un Gladiateur : rangement, vitesse (groupe 17,5 versus 13 ou 15) notamment. Bien meilleur par petit temps qu'un C32.

17 juil. 2015

Bonjour
Je retrouve ce fil ou je posais il y a plus d'un an la question de la préférence entre Gladiateur et C32.
Et bien voilà ça y est j'ai craqué pour le Gladiateur N° 52 !!
et je suis le plus heureux des navigateurs !!
Bien sur acheté pas cher donc pas mal de refit en perspective pour l'hiver mais j'aime ce bateau je m'y sens bien.
Pour avoir navigué récemment sur un Jouet 32 qui pour moi est un "faux" gladiateur je peux dire que les quelques bords que j’ai fait ces jours derniers et en le convoyant de La Rochelle (je ai acheté Bakoua il y a un mois!) m’ont vraiment rassuré et me permettent de dire que c'est bien le VRAI et qu'on y est vraiment en sécurité par rapport au jouet, plus rude, plus sportif et plus étriqué...
Voilà
je vais sans doute passer l'hiver au chantier mais quel plaisir...
à très bientôt

17 juil. 2015

Eclate-toi ! :pouce:

21 juil. 2015

Bonjour,

Je reviens une seconde sur l'empannage avec un tangon classique (rvbz22).

J'avais posé la question (il y a bien longtemps) à M Malinovsky : il m'avais répondu qu'il utilisait 2 tangons, avec un bras et une écoute de chaque bord ... comme sur les gros bateaux !

D'ailleurs, à l'époque, on considérait que la méthode de l'empannage "bout pour bout" n'était valable que si le spi ne dépassait pas 60 m².

Bonne journée

Tiama

21 juil. 2015

Bonjour,
pour répondre à Tiama, pour un Centurion 32 avec son tangon d'origine il suffit en fait de bien faire reculer ce dernier après avoir décroché le bras afin de le frapper sur l'autre amure. La manoeuvre se fait avec un barreur qui sait bien tenir le spi en "cerf-volant" plein vent arrière avant de revenir grand largue sur le bord opposé. Il est vrai qu'à une époque on avait un tangon sur chaque bord pour faciliter l'empannage de ce spi de 70 M2.

21 juil. 2015

si sur le tangon on a le croc d'un coté et la cloche de l'autre la manoeuvre
que j'explique n'est pas réalisable .
mais si on a deux crocs et un anneau sur le mat on décroche du mat on frappe le tangon sur l'autre bras ,on décroche coté sous le vent et on ramène le tangon sur le mat
si on peut manoeuver les crocs avec les bosses
alain

21 juil. 2015

et c'est là que des barbers sont utiles pour rapprocher les écoutes et stabiliser le spi

22 juil. 2015

Bonjour,

Merci pour vos réponses, je n'avais pas pensé à faire "reculer" le tangon avant de le passer d'un bord sur l'autre.

Petite question supplémentaire : est-il possible de faire cette "manip" sans toucher ni au hale-bas ni à la balancine (qui reviennent logiquement au cockpit) ?

22 juil. 2015

il faut un peu de jeu pour changer de bord, le minimum pour ne pas déstabiliser le spi, relacher un poil le halebas

22 juil. 2015

les bases du solo:

-un bon pilote auto
-ne pas se laisser déborder (c'est à dire: anticiper, partir sous-toilé puis remettre de la toile si besoin)
-Garder à l'esprit que n'importe quelle situation pourrie peut arriver à tout moment et qu'il faudra être prêt (prise de ris etc..)
-Ranger son cockpit

22 juil. 2015

Merci à Bil56 pour sa réponse : il faudra que j'essaye !

Par ailleurs, je pense à autre chose à propos du Centurion : comme sur tous les bateaux de cette époque, les drisses de foc et GV reviennent au pied du mat, contrairement aux bateaux modernes. Mais il est vrai qu'avec un bon pilote, cela ne doit pas poser de problème, même en solo.

22 juil. 2015

Pour ce qui est des manœuvres de plus forts que moi te donnent moults renseignements
13 ans de plaisirs avec "Titus" N°273, merci H Wauquiez pour la qualité de l'ensemble, un peu faible au portant , ce n'est pas un fer à repasser léger, au près très stable, raide à la toile, au moteur manœuvres très faciles en marche AR
intérieur sympa et costaud, facile à garder comme neuf, cockpit long pour sa taille donc accueillant au port
perso je n'ai pas l'âme solitaire mais eu que des équipiers (ères) peu marins
une échelle AR fixe indispensable bien que bas sur l'eau, une sécurité sur le PA (facile) et la barre le met à la cape
Ensuite se furent 15 ans de Hood 38, putain de barre à roue qui fait que le tiers du cockpit ne sert pas au port, mais ma douce moitiée ne se fit pas à un bateau bas sur l'eau et la cinquantaine lui faisait vouloir plus de confort, autrement magique au près , mais j'ai toujours regretté "TITUS" si facile à gèrer

22 juil. 2015

mon voilier aussi a les drisses en pied de mat. J'étais retissant et préférais les manœuvres revenant au cockpit.

Au final, je m'aperçois qu'on est souvent contraint de se rendre en pied de mat (drisse qui bloque, latte coincée dans le lazy-jack, coulisseau qui merdouille, ris à prendre etc..

Du coup je prends l'habitude de tout faire du pied de mat. ça impose d'avoir un bon pilote auto mais ça marche bien.

Là je parle pour un "grand voilier", c'est moins valable sur des unités plus petites.

Le plus dur en solo c'est l'arrivée au ponton... pour le reste c'est assez simple, il suffit de tout faire "plus tôt".. avec un bon pilote auto, on envoie, empanne et affale le spi tout seul sans problème... Perso j'aime bien, je fais du "solo" en famille, si vous voyez ce que je veux dire...

A lire pour les anglophiles le numéro de "Practical Boat Owner" de ce mois ci où ils passent en revue les différentes manoeuvres de voiles en "Short handed" (duo ou solo).. dommage qu'il n'y a i pas/plus d'équivalent en Français...

22 juil. 2015

Merci pour vos réponses.

En ce qui concerne les manoeuvres de port, on trouve des tuyaux dans le petit livre de Gilles Barbanson sur la navigation en solo.

Tant que j'y suis, il me semble que pour manoeuvrer sans pilote un bateau avec drisses au pied du mat (sauf pour le spi), la prise de ris à la cape ne doit pas poser de problème. C'est surtout un changement de foc (avec mousquetons) qui doit être assez galère !

22 juil. 2015

un bon PA
une mécanique fiable pour les manoeuvres de port
bcp de défenses
des filières et lignes de vie solides
AIS et merveille seront appréciés en hauturier
un bon thermos
bcp de méthode

22 juil. 2015

Merci Ptiplouf pour tes encouragements...
Ton C36 fait bien envie aussi, mais j'ai trouvé mon gladiateur au prix d'un arpège alors...c'est bien.
Bon vent à toi...

Phare du monde

  • 4.5 (116)

2022