arrêt spi


mieux qu'un départ au lof...

L'équipage
23 mai 2013
23 mai 2013

Matossage !...

Publiée le 19 déc. 2012
Entraînement au CEM (Centre d'entraînement Méditerranée). Au large de la Grande Motte, Xavier Macaire et Yves Le Blevec déboulent à 15 noeuds au vent arrière et accèlèrent à 20 noeuds en envoyant leur petit spi par 35 noeuds de vent. "Normalement commente Macaire en Figaro, ça reste maniable..."Sauf qu'en l'occurrence, la manoeuvre aboutit à une figure aussi spectaculaire qu'involontaire. Un enfournement magistral, du planté comme on n'en voit qu'en multi. L'erreur ? "On n'avait pas déplacé la totalité du matériel à l'arrière et on était obligé de naviguer bien vent arrière pour ne pas s'approcher trop de la côte", dit Macaire. "Du coup il était difficile à Yves de décharger l'étrave". Beau résultat.

j'aime bien voir cette version de la vidéo avec les commentaires

et l'analyse du skipper :

bateauxonline.fr[...]-figaro

23 mai 2013

je viens de lire l'analyse du coach: intéressant;

j'avais repéré qu'ils étaient très abattus (un départ à l'abatté aurait été possible aussi je pense) , mais ne savais rien du ballast (du milieu, rempli), ce qui a favorisé d'autant plus ce "plantage" magnifique...(pas sûr qu'un matossage "arrière" l'aurait empêché d'ailleurs). je pensais aussi qu'il y avait un peu moins d'air (35 noeuds, avec rafales à plus de 40 + houle courte croisée...beau temps, belle mer pr une p'tite sortie...);

Après, sortir le spi avec 35 noeuds, + GV haute sauf erreur, c'est qu'on cherche la limite comme indiqué, et on la trouve clairement ici. Etonnant le fait qu'ils n'aient rien cassé.

23 mai 2013

Cela se voit qu'il y a des sponsors derrière pour payer l'éventuelle casse.
Je ne pense pas qu'un propriétaire de son bateau prendrait ces risques.
Malgré cela, chapeau, car pas de casse après une telle figure cela montre le degré de préparation du bateau.

surtout la fiabilité du figaro 2

2012-08-20 - Floro (Norvège)

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