arbalete de bastaque

Bonjour,
C'est dans cette vidéo:

"Au niveau du haubanage, il y a eu des innovations.

On a beaucoup travaillé avec Vincent Riou pour mettre au point un système d’arbalète sur les bastaques : au lieu d’avoir deux bastaques, il n’y en a plus qu’une avec un câble qui vient prendre la bastaque en son milieu avec retour par l’intérieur du mât. Cela réduit le câblage, donc le fardage tout en permettant de jouer sur le cintre du profil et c’est plus simple de manipulation pour un solitaire. On a surtout fait beaucoup de validations en mer pour voir si cela correspondait aux simulations."
texte trouvé sur un blog du VG, sur le site Omoca j'ai trouvé un compte rendu proposant de revenir à 2 bastaques...
J'en déduis qu'il n'y en a plus qu'une !

C'est effectivement comme cela que ça fonctionne.
Je me demande si il ne s'est pas inspiré de Katana, le bateau sur lequel il a gagné la Translémanique en solo 2021, qui est équipé de ce système, tout comme Black Swan, sur lequel je navigue parfois, le précédent bateau du propriétaire de Katana.
2 belles carènes tout carbone sorties du chantier Luthi.

Je connais les arbalétriers que mon beau-père châtelain appelait "arbalètes" ....

J'ignorais que cette manoeuvre s'appelait "arbalète".

Dans ce cas, le nom du principe de tirer latéralement sur une bastaque pour en changer le point d'application des forces parait plus ou moins logique.

Concernant les "confusions de vocabulaire", chaque domaine développe son propre jargon.

Déjà étarquer s'appelle "arbalète".
Dans le monde d'où je viens, un certain carénage est nommé "dentifrice", alors que nous appelons notre diffuseur d'entrée d'air "la trompette".

A la pêche, la manche pour laver le pont à l'eau de mer est appelée "cheval". Survivance des grands voiliers où la pompe à vapeur s'appelait "petit cheval" (peut-être bien "donkey-pump" en anglais, même image) ?

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A nous d'accepter le vocabulaire, qu'il semble logique ou pas.