Antifouling parti sur la coque.

une couche de primer, une (des) couches d'AF dur pour rattraper le niveau

Peine perdue, ce qui arrive ici, risque de se reproduire ailleurs.
J'en ai eu mare jadis et j'ai adopté jadis ce principe : plus jamais de matrice dure ni de semi-etodable, depuis je n'ai plus ce genre de surcouche.
Je vire tout l'antifouling quand j'achète un bateau (hydrogommage, sablage,ponçage, grattage, décapage, peu importe la methode...)
Je passe un bon primaire époxy (après mesure humidité) puis deux couches d'erodable sur de couleurs différentes.
Chaque année un coup de karsher m'en débarrasse, fini les plaques de lèpre et les multicouches au bout de 10 ans, fini aussi la corvée de ponçage.

Bonsoir , lors de la conférence donnée il y a 2 ans sur le stand H&H , j'avais indiqué que les antifouling érodables Utilisant l'ancienne technique de la résine de pin malléinisée , en gros tous les anciens antifouling érodables d'avant 2005 , avait tendance à partir en écailles .c'est dû à l'oxydation de cette résine de pin .
Malheureusement si on veut combattre ce défaut il faut passer soit en technologie Self Polishing Polymers dans des grandes marques ( le meilleur , Shugoku Seajet , puis International ) , ou accepter de revenir au gelcoat régulièrement tout les 3 ans pour avoir une adhérence .

Pour réparer cet écaillage qui avait touché mon bateau ( même les cordonniers sont qqfois mal chaussés ) , sur mon antifouling Triton de Castellano , j'avais appliqué du Primocon , pour un bon résultat annuel , mais tôt ou tard le décapage s'impose .